Prise en charge de la dépression en médecine générale de ville

2014 ◽  
Vol 90 (5) ◽  
pp. 341 ◽  
Author(s):  
Hélène Dumesnil,, ◽  
Sébastien Cortaredona,, ◽  
Marie Cavillon ◽  
Fanny Mikol ◽  
Catherine Aubry ◽  
...  
2015 ◽  
Vol 30 (S2) ◽  
pp. S82-S82
Author(s):  
I. Poirot

Le recours aux benzodiazépines à visée hypnotique est fréquent dans la prise en charge des plaintes d’insomnie chronique, notamment en médecine générale. L’ANSM estime que 4,2 millions de français a utilisé une benzodiazépine à visée hypnotique en France en 2012 et souligne l’augmentation de leur utilisation dans cette indication chez les femmes de plus de 65 ans (18 % des femmes de cette tranche d’âge). La littérature internationale actuelle est à charge : troubles cognitifs, somnolence, dépendance, chutes… Oubliant les effets thérapeutiques recherchés de ce type de traitement en tant qu’« antidouleur psychique » puissant. Si on peut s’interroger sur l’intérêt des benzodiazépines dans le long terme pour la prise en charge des troubles du sommeil, notre expérience montre qu’elles constituent une alternative de court terme dans le cadre d’une souffrance psychique certaine. Dès lors, quelle place peuvent-elles avoir dans la prise en charge de l’insomnie ? Quelles sont les préconisations actuelles de leur utilisation ? Quelles alternatives peut-on proposer pour améliorer la prise en charge des troubles du sommeil et éviter leur recours abusif ?


2021 ◽  
pp. 417-421
Author(s):  
P. Cornet ◽  
V. Miramont ◽  
S. Duverne

2015 ◽  
Vol 30 (S2) ◽  
pp. S110-S110
Author(s):  
E. Watrin ◽  
J. Madigand

IntroductionIntégrés dans la prise en charge globale du trouble de l’usage d’alcool, les traitements addictolytiques présentent un réel intérêt mais restent relativement peu prescrits [1]. Afin de faciliter leur utilisation, nous proposons une mise au point sur les différentes possibilités pharmacologiques actuelles et les pistes thérapeutiques d’avenir. État des lieux : en partenariat avec le patient, deux types d’objectif de consommation peuvent être proposés : la réduction ou l’abstinence [1]. Dans le 1er cas, seul le nalméfène a actuellement l’AMM en France [2]. En cas d’objectif d’abstinence, la naltrexone, l’acamprosate et le disulfirame sont les traitements addictolytiques de 1er choix [2]. Encadré par son actuelle recommandation temporaire d’utilisation, le baclofène peut être employé en 2e intention [2] et nécessite certaines précautions d’emploi lors de son instauration et de son sevrage [3]. Les résultats de son évaluation dans les 2 types d’objectif (études Bacloville et Alpadir) devraient être éminemment diffusés [2]. D’autres travaux en cours permettront d’étayer nos connaissances sur les systèmes de neurotransmission et les potentialités thérapeutiques qui en découlent [4]. En complément du traitement addictolytique, une bonne relation soignant–malade reste une base indispensable du parcours de soins [2]. Ce dernier permettra au patient un suivi médical de type entretiens motivationnels, une psychothérapie, le traitement d’éventuelles comorbidités somatiques ou psychiatriques, et des entretiens avec des membres d’associations d’anciens buveurs [2].ConclusionRelativement peu prescrit, le traitement addictolytique nécessite une plus large diffusion et une meilleure utilisation en santé mentale et en médecine générale.


2007 ◽  
Vol 24 (3) ◽  
pp. 289-297 ◽  
Author(s):  
S. Pontier ◽  
M. Matiuzzo ◽  
J.M. Mouchague ◽  
E. Garrigue ◽  
H. Roussel ◽  
...  

2020 ◽  
Vol 16 (5) ◽  
pp. 306
Author(s):  
I. Agrebi ◽  
F. Khrifech ◽  
R. Lahouimel ◽  
N. Dammak ◽  
S. Yaich ◽  
...  

2003 ◽  
Vol 33 (4) ◽  
pp. 215-220 ◽  
Author(s):  
A Ben Abdelaziz ◽  
C.Attia Lotfi ◽  
I Harrabi ◽  
R Gaha ◽  
H Ghannem

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