Abus sexuel précoce, accès à la maternité et résilience

2015 ◽  
Vol 58 (2) ◽  
pp. 325
Author(s):  
Elena Shabanova Vandelet ◽  
Mélanie Laurent ◽  
Claude de Tychey ◽  
Joëlle Lighezzolo-Alnot ◽  
Salomé Garnier
Keyword(s):  
Enfance ◽  
2010 ◽  
Vol 2010 (04) ◽  
pp. 433
Author(s):  
Raffaella Torrisi ◽  
Céline Dessarzin ◽  
Olivier Halfon ◽  
Blaise Pierrehumbert
Keyword(s):  

2006 ◽  
Vol 1 (3) ◽  
pp. 281-284
Author(s):  
A.-M. Leroi
Keyword(s):  

2000 ◽  
Vol 7 (8) ◽  
pp. 897-898
Author(s):  
N. Parez ◽  
J.P. Dommergues ◽  
P. Alvin
Keyword(s):  

2005 ◽  
Vol 163 (6) ◽  
pp. 465-475 ◽  
Author(s):  
C. Blanchouin ◽  
M.-C. Olivier ◽  
J. Lighezzolo ◽  
C. de Tychey
Keyword(s):  

2013 ◽  
Vol 28 (S2) ◽  
pp. 105-106
Author(s):  
H. Delavenne ◽  
S. Lamy ◽  
F.D. Garcia ◽  
F. Thibaut

IntroductionLa prise en charge des patients paraphiles peut nécessiter la mise en place de traitement pharmacologique : antidépresseurs ou traitements anti-androgènes. Le but de notre étude est de mieux connaître cette population d’agresseurs sexuels et d’évaluer l’efficacité et la tolérance des traitements pharmacologiques dans cette indication.MéthodeCette étude s’appuie sur l’analyse rétrospective des dossiers médicaux. Tous les patients paraphiles ayant commis une agression sexuelle en France sont potentiellement incluables.RésultatsVingt-trois patients ont été inclus avec un âge moyen de 44 (± S.D.  =  12) ans. Les paraphilies retrouvées sont les suivantes : pédophilie 61 % (n = 14), exhibitionnisme 35 % (n = 8) et un violeur en série. Les comportements sexuels déviants sont décrits comme exclusifs pour 39 % (n = 9) de l’échantillon. Dix-sept pour cent (n = 4) des patients rapportent une hypersexualité associée et 39 % (n = 9) rapportent un abus sexuel durant leur enfance. Cinq patients (22 %) recevaient un traitement antidépresseur, six patients (26 %) recevaient quotidiennement de l’acétate de cyprotérone et 12 patients (52 %) une injection d’analogues de la GnRH tous les trois mois. Deux patients ont récidivé après la mise en route du traitement pharmacologique. Un patient exhibitionniste a récidivé durant le traitement par acétate de cyprotérone et un patient pédophile a récidivé durant une interruption du traitement par analogue de la GnRH due à un désir de paternité. Tous les patients décrivent une diminution de leur activité sexuelle déviante durant le traitement pharmacologique (antidépresseurs et antiandrogènes). Quatre patients (17 %) présentaient une ostéoporose, toutefois, la densité osseuse n’a pas été mesurée chez 14 patients (61 %).ConclusionLe traitement pharmacologique semble diminuer l’intensité des comportements et des fantasmes sexuels déviants parmi les patients paraphiles agresseurs sexuels. Notre étude permettra aux cliniciens d’avoir accès à des informations complémentaires à propos de l’efficacité et de la tolérance des traitements pharmacologiques dans cette indication.


1997 ◽  
Vol 4 (11) ◽  
pp. 1148 ◽  
Author(s):  
C Rey ◽  
P Chariot ◽  
P Werson
Keyword(s):  

2008 ◽  
Vol 166 (10) ◽  
pp. 799-807
Author(s):  
S. Mangeney-Hirsch ◽  
R. Courtois ◽  
G. Lecocq ◽  
E. Rusch ◽  
E. Porcheron
Keyword(s):  

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