Transe et réalité virtuelle. L'homo religiosus à l'ère des nouvelles technologies

Sociétés ◽  
2011 ◽  
Vol 111 (1) ◽  
pp. 49 ◽  
Author(s):  
Frédéric Vincent
2021 ◽  
Vol 172 (4) ◽  
pp. 198-204
Author(s):  
Christian Rosset

La valeur ajoutée de la digitalisation: être plusinformé, connecté et agile La digitalisation et les nouvelles technologies représentent un grand potentiel pour soutenir une gestion des écosystèmes forestiers qui soit proche de la nature, multifonctionnelle et durable. Il existe déjà de nombreux exemples concrets de l’utilisation judicieuse de ces technologies dans ce domaine exigeant et complexe. Les capteurs des satellites, des drones ou des smartphones fournissent des informations toujours plus précises sur l’état de la forêt et son évolution. La digitalisation et la mise en réseau des processus de gestion favorisent une pensée systémique et aident à mieux appréhender la complexité de la gestion forestière. Les plateformes d’échange d’expériences et de connaissances permettent de mettre en commun les nombreuses et diverses expertises venant de la pratique, ce qui permet de mieux comprendre, en fonction des situations et des faits, la dynamique des écosystèmes forestiers, les techniques sylvicoles utilisées et leurs effets. La réalité virtuelle offre la possibilité de rapprocher la forêt du grand public. Par exemple, le «voyage dans le temps», permis par une documentation visuelle de la forêt au cours du temps, peut être utilisé pour illustrer les effets des mesures sylvicoles et les relier concrètement aux attentes de la société et des propriétaires forestiers. Etre bien informé et renforcer la pensée systémique et les échanges avec les acteurs forestiers sont des conditions préalables importantes pour pouvoir s’adapter rapidement, de façon flexible et efficace et faire preuve d’agilité, ce d’autant plus dans un contexte de changements profonds, tels que les changements climatiques.


2013 ◽  
Vol 28 (S2) ◽  
pp. 94-94
Author(s):  
R. Jouvent

les progrès des connaissances en particulier dans les domaines des neurosciences affectives et sociales apportent une nouvelle lisibilité aux mécanismes d’action des différentes psychothérapies. Qu’il s’agisse de psychanalyse, de thérapies cognitives, de l’hypnose, de l’EMDR… Nous développerons la présentation selon trois axes : (1) la nécessité de découpler les théories de la pratique et les théories de la connaissance, en vue de clarifier les débats, en particulier entre la démarche étio-pathogénique et la perspective thérapeutique. (2) L’élaboration des bases d’une physiopathologie de l’esprit, au plus près des mécanismes de régulation des émotions, des croyances, et des processus de maintien du self. Dans la ligne de ces propositions, nous discuterons l’opportunité d’une distinction entre les thérapies utilisant les processus de généralisation et celles utilisant la mémoire auto-biographique comme cible et aussi comme outil des psychothérapies (la psychanalyse s’inscrivant dans ce dernier champ). (3) Enfin l’apport des Nouvelles Technologies de l’Information et de la Communication (NTIC) (remédiation cognitive, réalité virtuelle, robotique…) comme outils permettant de réparer ou modifier à la fois la flexibilité mentale et aussi les mécanismes d’agentivité, d’embodiement, et l’ensemble des composants de la théorie de l’esprit. Enfin comme conclusion nous proposerons l’idée de psychothérapies intégratives réunissant des pratiques thérapeutiques jusqu’ici séparées voire incompatibles.


Author(s):  
Alain Grumbach

De nouvelles formes d’expression théâtrale, de scénographie sont rendues accessibles par le développement de nouvelles technologies. Il devient envisageable d’élaborer une scénographie répartie sur plusieurs sites. Dans cette scénographie, chaque site produit une partie de la scène. Ces parties sont rassemblées par transmission électronique, puis traitées par informatique pour composer la scène globale en respectant la contrainte que les spectateurs des différents sites assistent à la même représentation. Cette étude s’inscrit dans une démarche de création de scénographies dont un des maîtres contemporains est Jacques Polieri. Par ailleurs, nous nous appuyons sur des recherches menées par Béatrice Picon-Vallin relatives aux écrans sur la scène et Franck Bauchard sur théâtre et numérique. Enfin nous faisons référence à des technologies qui s’apparentent au domaine de la réalité virtuelle, dont des précurseurs dans le domaine de la création théâtrale sont Brenda Laurel et Mark Reaney. Partant de la traditionnelle scène à l’italienne, le cheminement adopté dans cet article consiste à concevoir des scénographies et les technologies associées, en suivant une progression logique vers l’objectif : théâtre réparti.


2019 ◽  
pp. 117-121
Author(s):  
Didier Roult

L'hydroélectricité reste la plus importante des énergies renouvelables. Ses apports au système énergétique sont indéniables. Offrant à la fois la possibilité de stockage à différentes échelles de temps (de l'heure à l'année), une grande flexibilité et permettant de répondre aux besoins de services systèmes, l'hydroélectricité joue un rôle essentiel dans la transition énergétique. L'hydroélectricité participe largement au développement économique des territoires. L'usage multiple de l'eau (eau potable, irrigation, soutien d'étiage, navigation) est devenu la règle. Au-delà de la production énergétique, elle est au centre des enjeux liés à la gestion des ressources en eau et au développement des territoires. Mais, dans un contexte énergétique en pleine mutation, l'hydroélectricité doit s'adapter. La question environnementale reste une priorité, avec notamment de nombreuses solutions à apporter sur la continuité piscicole, reposant sur des actions de recherche et d'innovation importantes. De nouvelles technologies sont testées, telles que le couplage énergie photovoltaïque/ STEP, l'installation d'hydroliennes fluviales, et un nouveau regard est porté sur l'énergie des marées. Ce document présente une synthèse de la conférence internationale HydroES 2019 ≪ Quel avenir voulons-nous pour l'hydroélectricité en France et en Europe ? », organisée par la SHF et accueillie par INP ENSE3 à Grenoble, les 29 et 30 janvier 2019.


2019 ◽  
pp. 54-57
Author(s):  
Louis Carlier ◽  
Stéphane Leclerc

En matière de sûreté nucléaire, la qualité des soudures est primordiale. Les nouvelles technologies utilisées ces dernières années ont augmenté le degré d’exigence dans ce domaine. Qu’est-ce qui différencie la notion de qualité d’une soudure « classique » de celle de l’industrie nucléaire ?


2002 ◽  
Vol 29 (1) ◽  
pp. 28-45
Author(s):  
Jean-François Marrens

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