scholarly journals Willem Boshoff (Ivan Vladislavic)

2018 ◽  
Vol 43 (1) ◽  
pp. 199-201
Author(s):  
Elfriede Dreyer
Keyword(s):  
Thesis Eleven ◽  
2016 ◽  
Vol 136 (1) ◽  
pp. 20-30
Author(s):  
Peter Beilharz ◽  
Sian Supski
Keyword(s):  

2008 ◽  
Vol 44 (4) ◽  
pp. 333-344 ◽  
Author(s):  
James Graham
Keyword(s):  

2008 ◽  
Vol 20 (1) ◽  
pp. 16-37 ◽  
Author(s):  
Sally‐Ann Murray

2015 ◽  
pp. 55-67
Author(s):  
Kudzayi Ngara

Le roman de Ivan Vladislavić The Restless Supermarket a pour cadre Johannesbourg, une ville qui subit aujourd’hui de profondes transformations sociales et politiques. En premier lieu, cet article évalue comment le personnage principal, Aubrey Tearle, homme aux vues rétrogrades et conservatrices, négocie la transition politique, en se concentrant sur les rapports qu’il entretient avec l’infrastructure sociale et physique dynamique de la ville, et les stratégies qu’il déploie pour se chercher une identité dans un contexte de fluidité. Dans ces circonstances, les notions de définition de soi sont d’abord examinées en interrogeant comment Johannesbourg, et le quartier de Hillbrow en particulier, en tant que zones urbaines en voie de démocratisation, se définissent de manière opposée aux idées que Tearle se fait de l’ordre et des conve-nances en ayant recours au bizarre ou à l’incongru. En second lieu, je propose que l’invention, par Tearle, d’une ville imaginaire comme Alibia constitue une métaphore et une allégorie de l’ordre linguistique qui se délite rapidement au fur et à mesure que la ville se transforme. Cette fantaisie utopique est conçue pour contrecarrer l’impression de descente vers un chaos dystopique que l’émergence d’une ville post-apartheid représente pour lui. Mais Tearle comprend bientôt que, même dans ce monde allégorique, il est en définitive incapable d’imposer l’ordre qu’il souhaite ; il lui faut plutôt apprendre à découvrir comment entretenir des liens nouveaux avec la ville comme espace que l’on habite.


Author(s):  
Andrew van der Vlies

This chapter argues that the work of Ivan Vladislavić offers a sophisticated response to the dangers of selective memory—and memorialization—that characterizes some responses to the disappointments of the ‘new’ South Africa. Using Svetlana Boym’s differentiation (in The Future of Nostalgia) between reflective and recuperative forms of nostalgia, the chapter considers the turn to nostalgia in South African letters, and places in that context the negotiation of a ‘critical nostalgia’ in representative work by Vladislavić—including ‘Propaganda by Monuments’, The Restless Supermarket (2001), Portrait with Keys (2006), and Double Negative (2010). It assesses the usefulness of Walter Benjamin’s work (including the ‘Theses’, Arcades Project, and ‘Work of Art in the Age of Mechanical Reproduction’ essay) for engaging with the affective politics and formal provocativeness of Vladislavić’s work, which balances past and future, disappointment and utopianism, a concern with this place and every place.


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