scholarly journals DÉTECTION À HAUTE RÉSOLUTION SPATIALE DE LA DESSERTE FORESTIÈRE EN MILIEU MONTAGNEUX

2015 ◽  
Vol 1 (211-212) ◽  
pp. 103-117
Author(s):  
Antonio Ferraz

En milieu montagneux et forestier, la localisation de la route et ses caractéristiques géométriques sont des informations cruciale pour de nombreuses applications écologiques et liées à la gestion forestière. Par ailleurs, le lidar aéroporté topographique est devenu une technique de télédétection reconnue pour la caractérisation fine de la surface terrestre : les Modèles Numériques de Terrain (MNT) en sont le produit standard.Cet article aborde le problème de la détection de routes sur de grandes surfaces (>1000 km2) dans de tels environnements. Pour cela, nous avons proposé une méthode fondée sur l’hypothèse que les routes peuvent être modélisées par des objets planaires suivant une direction privilégiée et avec de fortes variations du relief dans la direction orthogonale. La connaissance seule du MNT lidar à 1 m de résolution est suffisante dans notre processus, qui ne requiert donc pas le traitement supplémentaire des nuages de points 3D lidar ni de données à retour d’onde complète. L’intégralité de l’analyse se fait donc en deux dimensions. Tout d’abord, trois attributs morphologiques sont extraits du MNT et introduits dans une classification supervisée par Forêts Aléatoires des zones potentiellement "routes". Ensuite, un graphe est créé à partir de ce masque de focalisation afin de combler les éventuels manques et occlusions dus principalement à la végétation. En particulier, les noeuds sont sélectionnés avec un Processus Ponctuel, puis le graphe est élagué en suivant le modèle de route initial. Enfin, la largeur et la pente des routes sont estimées grâce au MNT avec une analyse orientée-objet. D’une part, on obtient une qualité de détection convaincante, tant au niveau de l’exhaustivité (>80%) que de la précision géométrique, supérieure à celle des bases de données topographiques 2D existantes. De plus, de nouvelles routes sont détectées grâce à la capacité du lidar à restituer le terrain sous le couvert végétal. Cependant, en présence d’un trop faible nombre de mesures lidar au niveau du sol, des routes peuvent ne pas être restituées. Enfin, nous montrons que notre méthode est adaptée à une analyse sur de grandes surfaces puisqu’elle permet des rendements de moins de 2 minutes par km2.

Author(s):  
Faten Katlane ◽  
Mohamed Saber Naceur

L'apparition de capteurs d'observation de la terre ayant une haute résolution spatiale a permis la réalisation de beaucoup d'applications liées à l'analyse de la surface terrestre ou de l'environnement comme le suivi de la végétation, la mise à jour de la cartographie et aussi la gestion des risques.Il existe plusieurs approches pour la détection de changement en imagerie : des méthodes qui se sont fondées sur l'analyse par vecteurs de changement, les détecteurs simples et la régression, des méthodes d'analyse de texture, d'analyse en composantes principales, d'analyse de formes, de différence de l'indice de végétation, et des ondelettes et finalement les méthodes de classification multi-dates directes, de comparaison post classification et de comparaison post classification flou, d'intelligence artificielle, de réseaux artificiels de neurones et des systèmes experts.\\ La détection de changement peut se faire entre deux images ayant différentes dates, tandis que le suivi de l'évolution de l'occupation du sol se fait à partir d'une multitude d'images multidates.L'application de l'approche a contrario en traitement d'images, repose sur la détection de structures non attendues. Ainsi, on peut détecter des "évènements" sans faire d'hypothèse sur la forme de ces événements, ce qui justifie le qualitatif de détection a contrario.Au cours de ce travail, nous avons appliqué l'approche a contrario pour faire le suivi de l'évolution de l'occupation du sol en combinant plusieurs indicateurs de changement.


Author(s):  
Robin Mainieri ◽  
Christophe Corona ◽  
Nicolas Eckert ◽  
Jérôme Lopez-Saez ◽  
Franck Bourrier

Depuis deux décennies, de nombreuses publications scientifiques ont mis en évidence les impacts du changement climatique sur la fréquence des chutes de pierres dans les parois englacées de haute altitude. À plus basse altitude, les inventaires rares et incomplets existants n’ont pas permis d’identifier un impact significatif de l’augmentation des températures. Dans ce travail, nous avons utilisé une approche dendrogéomorphologique, basée sur l’étude des perturbations dans les cernes de croissance des arbres, pour reconstituer l’activité passée des chutes de pierres sur deux versants forestiers des Préalpes françaises calcaires (massifs du Vercors et du Diois). Les incertitudes liées à la diminution du nombre d’arbres dans le temps ont été précisément quantifiées grâce à un inventaire forestier exhaustif et à une cartographie à haute résolution du peuplement forestier. En accord avec la littérature, la comparaison des reconstitutions dendrogéomorphologiques avec les réanalyses météorologiques SAFRAN montre que les précipitations estivales et les évènements pluvieux intenses sont les principaux facteurs qui conditionnent l’activité de l’aléa sur les deux sites. En revanche, aucun impact significatif des températures ou des cycles de gel–dégel n’a pu être détecté. À l’échelle décennale (60 dernières années), nous expliquons l’augmentation apparente de l’activité des chutes de pierres depuis 1959 dans le Vercors par la recolonisation forestière rapide de la parcelle étudiée au cours des dernières décennies et par une sur-représentation des jeunes arbres, plus sensibles aux impacts. Dans le massif du Diois, l’absence de tendance dans la reconstitution dendrogéomorphologique au cours des dernières décennies suggère que le réchauffement climatique n’a pas eu d’impact sur la fréquence de l’aléa à basse altitude. Cependant, le nombre réduit de sites et la robustesse limitée des analyses statistiques développées suggèrent que ces résultats doivent être interprétés avec prudence et devront nécessairement être répliqués dans le futur afin de conclure définitivement quant à l’absence de réponse au réchauffement de l’aléa rocheux dans les zones de basse altitude des préalpes calcaires.


Author(s):  
Agnès d’Arripe ◽  
Alexandre Oboeuf ◽  
Cédric Routier

Cet article montre pourquoi nous avons fait le choix d’une approche inductive dans une recherche interdisciplinaire effectuée au sein d’un établissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes. Nous indiquons les conditions qui ont impliqué le recours à cette approche et son intérêt. Cinq facteurs sont discutés : l’interdisciplinarité, la flexibilité du travail collaboratif, la dimension « action » de la recherche, notre proximité avec l’interactionnisme symbolique et notre ancrage communicationnel. Nous montrons enfin comment les résultats de ce travail reflètent notre démarche inductive.


Author(s):  
Abdelghani Boudhar ◽  
Lahoucine Hanich ◽  
Ahmed Marchane ◽  
Lionel Jarlan ◽  
Abdelghani Chehbouni

Le présent travail a pour objectif d'améliorer notre connaissance du cycle de l'eau et en particulier de l'apport du manteau neigeux dans le bilan hydrologique au niveau du bassin versant montagneux du Rheraya au Sud de la ville de Marrakech. Vue la faiblesse du réseau de mesures hydrométéorologiques, nous nous sommes appuyés sur les données issues d'une séries d'images FORMOSAT2 de haute résolution spatiale (8 mètres) et temporelle (4 jours). Les données de télédétection, si elles permettent d'obtenir avec une bonne précision la surface occupée par la neige, ne permettent pas seules d'estimer leur équivalent en eau alors que c'est cette quantité qui régit le bilan hydrologique.La combinaison de ces données spatiales avec les mesures de terrain a permis la validation du modèle de fonte que nous avons calibré à l'échelle locale. Le modèle de fonte utilisé et de type degré jour a été initié à l'aide des données mesurées à une station située à 2600 mètres d'altitude. Les équivalents en eau (SWE) spatialisés sont ensuite validés de deux manières : 1) à l'aide des mesures au niveau d'une station à 3200m et 2) avec les surfaces enneigées obtenues à partir des données FORMOSAT2. Les résultats obtenus indiquent que les images FORMOSAT2 permettent une meilleure estimation du couvert nival à l'échelle du bassin versant. Les simulations des SWE indiquent une grande cohérence avec les mesures et les surfaces de neige observées.


Author(s):  
Ahmed Marchane ◽  
Lionel Jarlan ◽  
Lahoucine Hanich ◽  
Abdelghani Boudhar
Keyword(s):  

Dans le Sud de la Méditerranée, de nombreux bassins versants sont caractérisés par un fonctionnement pluvio-nival où une partie des ressources en eau est stockée en hiver sous forme de neige en montagne alors que la zone de consommation se situe en plaine souvent dominée par l'agriculture irriguée. L'objectif de ce travail est double : (1) évaluer les capacités de la télédétection visible/proche infrarouge pour caractériser la variabilité interannuelle de l'enneigement sur l'Atlas marocain comme alternative aux données in situ éparses sur ces zones difficiles d'accès ; (2) identifier les déterminants climatiques qui gouvernent cette variabilité. Dans cet objectif, nous avons analysé plus de 10 ans d'acquisitions journalières issues du capteur MODIS (produits MOD10A1). Dans un premier temps, nous nous sommes attachés à corriger les produits bruts contaminés par la couverture nuageuse à l'aide de méthodes de filtrage basées sur le voisinage spatial et temporel et nous les avons confrontées à des mesures d'équivalent en eau de la neige mesurée à la station nivale de l'Oukamaïden, près de Marrakech, entre 2009 et 2011. Dans un deuxième temps, nous avons caractérisé la variabilité interannuelle à l'aide d'indicateurs saisonniers: enneigement maximum et moyen, et date des premières neiges. Enfin, nous avons mis en évidence une relation significative entre la valeur de l'oscillation Nord Atlantique (ONA) moyenne sur le mois de mars et l'enneigement maximum. Nous montrons également qu'il existe une relation significative entre les anomalies de températures de surface de l'Atlantique équatorial et tropical à la fin de l'été et l'enneigement maximum rencontré sur l'Atlas marocain l'hiver suivant. Ces résultats ouvrent des perspectives pour la prévision saisonnière de l'enneigement sur la région.


Author(s):  
Michel De Vroey ◽  
Luca Pensieroso

Depuis quelques années, un vent de contestation souffle dans les facultés d’économie de nombreuses universités européennes. On y voit des étudiants et des étudiantes se plaindre de ce qu’ils considèrent être une absence de pluralisme dans la discipline économique. La plainte peut se résumer en deux propositions. La production théorique à l’intérieur de la discipline manque de pluralisme car elle est dominée par ce qu’on appelle un "mainstream" identifié à l’approche néoclassique. Cette critique porte sur un manque de pluralisme méthodologique. Cette prépondérance n’est pas neutre dans la mesure où il s’avère que la théorie néoclassique est largement au service de la cause dite néolibérale. Ici la critique porte sur un manque de pluralisme idéologique. Cette démarche des étudiants nous interpelle en tant qu’économistes et intellectuels. Elle doit être prise au sérieux, et tel est l’esprit dans lequel nous avons entrepris d’écrire ce numéro de Regards économiques. Son objectif est de passer ces deux propositions au crible de la critique. Notre analyse nous amène à objecter aux deux propositions. La première de celle-ci affirme la domination de l’approche néoclassique dans la profession. Notre étude montre le caractère pluriel et les frontières mouvantes de l’approche néoclassique, depuis son essor jusqu’à aujourd’hui. Nous mettons aussi en avant que la composition du mainstream a évolué au cours du temps et que, parmi les courants non-mainstream, plusieurs sont néoclassiques. De plus, les années récentes ont mis en avant la présence dans le mainstream d’une composante non-néoclassique. La seconde proposition affirme que l’approche néoclassique est au service du néolibéralisme, entendu comme plein libéralisme ou laissez-faire. De notre analyse, il apparaît clairement qu’aucun lien univoque entre les divers courants néoclassiques et le néolibéralisme ne peut être établi. Nous montrons aussi, à l’aide d’exemples, que l’appareillage conceptuel de l’approche néoclassique, ainsi d’ailleurs que celui de l’approche classique qui l’a précédée, a été mis au service de causes idéologiques différentes. Notre étude n’a pas abordé les aspects plus proprement sociologiques motivant le mouvement des étudiants et des chercheurs dit-hétérodoxes, les questions d’organisation de l’enseignement et de la recherche. On songe à la question de savoir s’il faut enseigner les courants minoritaires dans le curriculum d’étude et, si oui, en quelle mesure et à quel niveau. On songe aussi à la question des règles de gouvernance institutionnelles permettant d’éviter les entraves d’ordre non-scientifique à l’éventuelle montée en puissance des courants minoritaires. Ces questions renvoient à un autre clivage, qui concerne la définition des standards de scientificité en science économique. Dans ce dernier débat, la dimension sociologique, les rapports de force dans la profession et la dimension méthodologique s’interpénètrent. Les démêler implique une recherche plus ambitieuse et complexe que celle que nous avons entreprise. Nous sommes toutefois convaincus que les questions méthodologiques que nous avons abordées dans cet article constituent un préalable nécessaire pour les débats ultérieurs.


2018 ◽  
Vol 4 (1) ◽  
pp. 52-66 ◽  
Author(s):  
Virginie Maris ◽  
Jean-Pierre Revéret
Keyword(s):  

Devant le constat du déclin toujours plus rapide de la diversité biologique et les limites des ressources disponibles pour l’enrayer, il est nécessaire de déterminer quels moyens devraient être engagés dans sa protection. Pour ce faire, une méthode efficace serait d’évaluer les bénéfices tirés de la biodiversité afin d’estimer rationnellement les coûts légitimes de sa protection. L’évaluation économique, qui se présente d’emblée sur un mode quantitatif, serait alors un outil précieux. Dans ce texte, nous présentons différentes méthodes d’évaluation économique de la biodiversité ainsi que certaines de leurs limites méthodologiques. Par la suite, nous montrons qu’en dépit de ses avantages pratiques, l’évaluation économique échoue à représenter l’ensemble des valeurs en jeu dans la protection de la biodiversité. Nous décrivons alors trois types de valeurs incommensurables avec des bénéfices économiques : la valeur de legs, qui renvoie aux obligations de transmission du patrimoine naturel dont nous avons hérité ; la valeur d’existence, qui renvoie à la considération morale d’intérêts autres que ceux des êtres humains ; la valeur de transformation, qui renvoie à la capacité d’examiner et de critiquer nos préférences et inclinaisons afin d’inclure celles-ci dans une vision du monde rationnelle et cohérente. Pour conclure, nous plaidons en faveur de l’élaboration de méthodes de concertation et d’évaluation participatives et pluralistes permettant de rendre compte de la diversité et de l’hétérogénéité des valeurs de la biodiversité.


2014 ◽  
Vol 18 (2) ◽  
pp. 195-208 ◽  
Author(s):  
Carole Jean-Amans ◽  
Mahamat Abdellatif
Keyword(s):  

Cette contribution vise à analyser le choix de s’engager sur les marchés étrangers sous la forme d’entreprises conjointes ou de filiales totalement détenues dans le contexte des PME. Cette recherche s’appuie sur une série d’entretiens semi-directifs conduits sur la période de juillet 2010 à septembre 2010 auprès de 10 PME françaises internationalisées. Nous avons adopté une analyse quali-quantitative comparée (AQQC), méthode initiée par Ragin (1987) et bien adaptée pour étudier un petit nombre de cas, particulièrement dans une démarche comparative. Nous montrons que l’implantation d’une filiale industrielle dans un pays culturellement perçu éloigné de la France se fait par recours à un partenariat local, tandis que les filiales totalement détenues sont le fait de PME s’inscrivant dans un modèle d’internationalisation rapide.


2013 ◽  
Vol 28 (S2) ◽  
pp. 27-27
Author(s):  
S. Boukezzi ◽  
P.F. Rousseau ◽  
A. Cancel ◽  
M. Comte ◽  
S. Khalfa

IntroductionUne controverse existe concernant la nature et l’origine des réductions de densité de matière grise (dMG) dans l’État de Stress Post-Traumatique (ESPT). Ces atrophies pourraient être des facteurs de vulnérabilité pour le développement de l’ESPT [2] ou bien être la conséquence des symptômes liés au traumatisme [1]. Le but de cette étude a été d’étudier la question. Notre hypothèse est que les principales atrophies décrites dans la littérature évolueront avec l’amélioration des symptômes une semaine et 6 mois après une thérapie de désensibilisation et de retraitement de l’information par les mouvements oculaires (EMDR). Patients et méthodesNous avons étudié l’évolution des symptômes et la dMG chez 9 sujets atteints d’ESPT et chez 17 sujets témoins avant, une semaine et 6 mois après thérapie. Cette étude a été réalisée avec une technique d’IRM à haute résolution : la Voxel Based Morphometry (VBM).RésultatsAvant thérapie, les patients atteints d’ESPT présentaient des atrophies au niveau de 4 régions incluant le lobe frontal (Aire de Brodmann [BA] 32 droite, BA 10 droite, BA 9 gauche, BA 11 droite), le lobe pariétal (BA 43 droite, BA 40 droite), le lobe temporal (BA 42 droite, BA 38 droite) et le cervelet postérieur gauche. L’intensité des symptômes a diminué une semaine et 6 mois après thérapie. Pour BA 38, nous avons observé une augmentation de la dMG une semaine et 6 mois après traitement, mais pas pour les autres régions. Discussion et conclusionLes atrophies trouvées dans cette étude sont en accord avec la littérature et expliqueraient notamment les déficits concernant les processus de peur et la régulation des émotions [3]. Certaines structures semblent constituer des facteurs de risque et leurs atrophies pourraient préexister avant la venue de l’événement traumatique alors que d’autres atrophies pourraient être la conséquence de cet événement.


Semiotica ◽  
2017 ◽  
Vol 2017 (214) ◽  
pp. 373-391
Author(s):  
Diana Luz Pessoa de Barros

RésuméLe propos de cette étude est de montrer comment les sémioticiens de ligne française ont contribué, surtout au Brésil, à produire des connaissances sur les discours sociaux. Lors de précédentes études, nous avons montré que l’une des préoccupations majeures des sémioticiens latino-américains était d’expliquer les processus de signification de l’homme et de la société dans leurs pays. Selon nous, la cause en revient à deux questions principales : d’une part, le paradigme dans lequel s’inscrivent la théorie et la méthodologie de la sémiotique ; d’autre part, les conditions d’accueil et de développement de la sémiotique au Brésil et plus généralement en Amérique latine. Trois parties composent notre article : dans la première partie, nous montrons que les relations de la proposition sémiotique avec la société, avec l’histoire et la culture sont préalablement données, en raison du paradigme théorico-méthodologique de la sémiotique et de son projet analytique. Nous y soulignons également que la sémiotique n’implique ni les excès du formalisme qui nie l’histoire, ni ceux de l’idéologisme qui ignore l’intégration entre la réalité sociale et l’organisation linguistique ; dans la deuxième partie, nous traitons des conditions d’accueil de la sémiotique au Brésil et en Amérique latine ; enfin, dans la troisième partie, nous présentons deux exemples brésiliens de ces études de société.


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