scholarly journals CANCER DU VAGIN : UN CANCER GYNECOLOGIQUE RARE

Author(s):  
E Barekensabe ◽  
S Nyingone ◽  
Fz Alaoui ◽  
S Jayi ◽  
H Chaara ◽  
...  
2012 ◽  
Vol 6 (3) ◽  
pp. 151-162
Author(s):  
E. Venturini ◽  
C. Giacomoni ◽  
H. Hoarau ◽  
V. Conri

2021 ◽  
Vol 31 (3) ◽  
pp. 291-297
Author(s):  
Charlotte Naa Sampson ◽  
Samuel Donkor Nkpeebo ◽  
Thywill Amenuveve Degley

L’étude a été menée dans le district d’Ajumako-Eyan-Essiam (AEED) et visait à évaluer les connaissances, attitudes et croyances des femmes relativement au dépistage du cancer du col utérin. Au Ghana, ce cancer vient au deuxième rang des causes de cancer gynécologique. Dans les études et la pratique clinique effectuées auprès de femmes atteintes de cancer du col utérin, le diagnostic précoce, le traitement et la prévention du cancer sont largement influencés par leurs connaissances et leurs attitudes envers le dépistage. À ce jour, on ne dispose pas d’étude sur ces perceptions chez les femmes dans le district d’AEED. Un devis transversal quantitatif a été utilisé avec une analyse statistique descriptive de données provenant de 240 femmes. Les résultats ont révélé que 61,3 % d’entre elles ne savaient pas quel organe était touché lors d’un cancer du col utérin ou à quel intervalle un suivi était nécessaire après un résultat de test Pap normal; il y aurait donc des lacunes dans les connaissances. Au total, 36 % croyaient que le test de Papanicolaou (test Pap) était effectué une fois pour toutes, et 57,1 % pensaient qu’il était dispendieux, ce qui limite la participation au dépistage. Par peur de l’inconnu, beaucoup de répondantes avaient refusé le dépistage (48,8 %) alors que d’autres croyaient qu’elles n’étaient pas à risque (65,8 %). De plus, bon nombre de femmes (46,7 %) pensaient qu’il n’y avait pas de traitement contre le cancer du col. En conclusion, les connaissances fausses et inadéquates de ces femmes ont influencé leurs attitudes envers le dépistage du cancer.


2014 ◽  
Vol 46 (2) ◽  
pp. 181-204
Author(s):  
Armelle Lorcy

Comment des personnes avec un cancer et soignées par chimiothérapie choisissent-elles de satisfaire leur faim ? Étant donné les difficultés alimentaires rencontrées par de nombreux patients, comment leurs proches et les centres de soins en oncologie les prennent-ils en charge ? Quel est l’impact de cette gestion sur les choix alimentaires des soignés ? Pour répondre à ce questionnement, l’article proposé présente les résultats préliminaires d’une recherche anthropologique menée au Québec en 2012 et 2013 auprès de 21 femmes traitées pour un cancer gynécologique (de l’ovaire, du péritoine ou de l’endomètre) et de 10 proches sur l’expérience quotidienne d’une chimiothérapie. Il a pour objectif de prendre en compte la dimension biologique et corporelle, mais aussi le contexte social et culturel des troubles alimentaires pendant le traitement d’un cancer pour mieux en saisir l’ampleur. D’une part, sont identifiés les ressentis induits par la chimiothérapie (perte d’appétit, troubles sensoriels, fringales notamment), et leur influence sur la sensation de faim et la consommation alimentaire. D’autre part, sont analysés l’influence du personnel médical (infirmier[ère]s, nutritionnistes, pharmacien[ne]s) et le rôle de l’entourage dans les choix alimentaires des patientes et leur vécu affectif. Ils donnent à comprendre les points d’achoppement parfois problématiques dans l’observance diététique. En outre, ils permettent de saisir ce qui se joue entre les patientes et leurs proches autour de la décision alimentaire, variant selon les situations entre le choix délégué, la concertation, les cadeaux et le choix contrôlé. En définitive, entre nécessité, plaisir voire gourmandise, l’intérêt est de montrer ce que manger veut dire pendant une chimiothérapie anticancéreuse.


2010 ◽  
Vol 194 (3) ◽  
pp. 521-527
Author(s):  
Bernard Blanc ◽  
Alexandre Lazard ◽  
Jean-Philippe Estrade ◽  
Aubert Agostini ◽  
Brice Gurriet

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