rectocolite hémorragique
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H-INDEX

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(FIVE YEARS 0)

2021 ◽  
Vol 1 (8) ◽  
pp. A236-A237
Author(s):  
Perrine Rousset ◽  
Pierre-Michel Dugourd ◽  
Nathalie Cardot-Leccia ◽  
Henri Montaudie ◽  
Thierry Passeron ◽  
...  

2020 ◽  
Vol 81 (4) ◽  
pp. 287
Author(s):  
E. Bouillet ◽  
C. Duhamel ◽  
H. Hoth-Guechot ◽  
L. Humbert ◽  
M.C. Vantyghem ◽  
...  

2020 ◽  
Vol 14 (2) ◽  
pp. 74-79
Author(s):  
P. Rivière

Le microbiote intestinal est un terme désignant l’ensemble des micro-organismes présents dans la lumière digestive. Depuis quelques années, son étude connaît un essor considérable grâce au développement de la génomique. Les maladies inflammatoires chroniques de l’intestin (MICI), la maladie de Crohn et la rectocolite hémorragique sont des pathologies apparues au fur et à mesure de l’occidentalisation du mode de vie. Le microbiote intestinal étant un acteur majeur de la physiologie intestinale et sensible aux modifications environnementales, l’hypothèse d’un rôle pivot du microbiote intestinal dans la pathogénie des MICI s’est donc imposée. Le microbiote intestinal des patients atteints d’une MICI se caractérise par des différences de composition et d’activité métabolique par rapport aux sujets sains. Une dysbiose, c’est-à-dire un déséquilibre entre les bactéries pro-inflammatoires et anti-inflammatoires, est observée, associée à une perte de la diversité et à une activité fonctionnelle modifiée. Néanmoins, le rôle causal du microbiote dans la pathogénie des MICI n’est pas clairement élucidé. Pour l’instant, cette analyse du microbiote n’a pas d’intérêt en pratique clinique à l’échelon individuel. Néanmoins, dans les années à venir, il pourrait servir de biomarqueur pour prédire l’évolution de la maladie ou la réponse au traitement. Les applications thérapeutiques sont encore au stade de l’essai clinique mais que ce soit via l’alimentation ou la transplantation de microbiote fécal, des prises en charge ayant comme cible le microbiote devraient voir le jour dans les prochaines années pour les patients atteints d’une MICI.


2018 ◽  
Vol 27 (4) ◽  
pp. 309-316
Author(s):  
S. Nahon

Les patients ayant une maladie inflammatoire chronique de l’intestin (MICI) [maladie de Crohn ou rectocolite hémorragique] ont une probabilité plus importante d’être hospitalisés en médecine intensive et réanimation (MIR) soit en raison de leur traitement immunosuppresseur et/ou biothérapie (parfois associés) qui est à l’origine d’un surrisque d’infections notamment respiratoires soit en raison d’un risque accru de thromboses veineuses profondes ou artérielles. Ces complications directement ou non liées à la MICI sont associées à une morbidité et à une mortalité accrues. Certaines de ces complications peuvent être prévenues notamment par une vaccination adaptée des patients traités par immunosuppresseurs et par la prescription systématique d’une héparine de bas poids moléculaire chez tout patient ayant une MICI en poussée et/ou hospitalisé quelle qu’en soit la raison.


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