épuisement professionnel
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2020 ◽  
Vol 81 (6) ◽  
pp. 820-829
Author(s):  
H. Kalboussi ◽  
M. Bouhoula ◽  
H. Kraiem ◽  
M. Maoua ◽  
J. Maatoug ◽  
...  

2018 ◽  
Vol 39 (1) ◽  
pp. 161-179
Author(s):  
Catherine Esnard

L’objectif de cette étude était d’observer si des soignants français, infirmier(e)s et aides-soignants(e)s, adaptaient leurs explications relatives aux causes de leur épuisement professionnel afin de répondre aux attentes normatives de l’organisation de travail (Dubois, 2003). Quatre-vingt-neuf soignants ont répondu à un questionnaire d’autoprésentation. Les résultats ont effectivement montré une plus grande clairvoyance, c’est-à-dire une meilleure connaissance de ces attentes normatives 1) en matière de valorisation sociale des explications relatives à l’effort (explications internes et contrôlables) et face à un supérieur davantage que face à des collègues et amis; 2) davantage chez les soignants-cadres que chez les non-cadres. La discussion porte sur la pertinence, en termes de prévention, d’une analyse socionormative du discours relatif à l’épuisement professionnel.


2017 ◽  
Vol 42 (2) ◽  
pp. 197-218 ◽  
Author(s):  
Élodie Hartmann ◽  
Cynthia Mathieu

Cet article correspond à une synthèse des écrits mettant en lumière les liens qui existent entre l’ergomanie, l’épuisement professionnel et les traits de personnalité pouvant leur être liés, selon le modèle des cinq facteurs de personnalité. L’identification de liens entre l’ergomanie et l’épuisement professionnel, de même que leurs déterminants communs au niveau des traits de personnalité dominants permettraient d’avoir une meilleure compréhension de ces troubles de santé mentale liés au travail. De plus, dans une perspective pratique visant la prévention, ces connaissances pourraient permettre aux organisations de mieux cibler les individus à risque et d’établir des processus d’intervention adaptés afin d’en diminuer l’occurrence. Les résultats indiquent que la personnalité contribue significativement à expliquer l’ergomanie et l’épuisement professionnel. Plus spécifiquement, le névrotisme serait central, étant lié à toutes les composantes de l’ergomanie et de l’épuisement professionnel. Ainsi, les individus présentant un niveau élevé de névrotisme seraient plus susceptibles de développer ces troubles en raison d’une prédisposition affective orientée vers l’expérimentation d’émotions négatives. La conscienciosité, l’extraversion et l’agréabilité contribuent également au modèle, mais seraient davantage liées à des composantes spécifiques. Cette synthèse des écrits illustre l’importance de poursuivre les études sur les liens entre l’ergomanie, l’épuisement professionnel et les traits de personnalité non pathologiques pouvant leur être liés.


2017 ◽  
Vol 42 (1) ◽  
pp. 65-83
Author(s):  
Véronique Dansereau ◽  
Nancy Beauregard ◽  
Alain Marchand ◽  
Pierre Durand

But Cette étude s’intéresse à la comorbidité en santé mentale au travail. Précisément, des liens concomitants entre l’épuisement professionnel (cynisme, épuisement émotionnel, inefficacité professionnelle) et la consommation de substances psychoactives (consommation d’alcool épisodique excessive, consommation hebdomadaire à risque d’alcool, consommation de médicaments psychotropes) sont examinés. Méthodes L’étude s’appuie sur des données transversales provenant de l’enquête SALVEO composée de 1966 travailleurs de la province du Québec, Canada. Des analyses en classes latentes ont été utilisées afin de dégager des profils types correspondant à des formes distinctes de comorbidité de santé mentale au travail. Des régressions multinomiales logistiques ont été effectuées sur les profils types en considérant des covariables issues de l’environnement de travail et hors travail, ainsi que des caractéristiques individuelles des travailleurs. Résultats Quatre profils types ont été identifiés : 1– « Épuisement professionnel sévère et consommation de médicaments psychotropes » ; 2– « Consommation d’alcool à risque et cynisme » ; 3– « Épuisement émotionnel et inefficacité professionnelle » ; et 4– « État relativement sain ». Comparativement à tous les profils types observés, celui associé au profil type « Épuisement professionnel sévère et consommation de médicaments psychotropes » présente le plus grand nombre de facteurs de risque cumulés (environnementaux, individuels). Conclusion La comorbidité en santé mentale au travail existe dans les milieux de travail québécois. La sévérité des différentes formes de comorbidité identifiées tend à refléter un effet cumulé de caractéristiques néfastes de l’environnement de travail et hors travail ainsi que des caractéristiques individuelles des travailleurs.


GRH ◽  
2017 ◽  
Vol 23 (2) ◽  
pp. 13 ◽  
Author(s):  
Emmanuel Abord de Chatillon ◽  
Céline Desmarais

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