récidive locale
Recently Published Documents


TOTAL DOCUMENTS

52
(FIVE YEARS 10)

H-INDEX

3
(FIVE YEARS 0)

2021 ◽  
Vol 31 (13) ◽  
pp. 818-819
Author(s):  
P. Lainé-caroff ◽  
I. Ouzaïd ◽  
M. Moschini ◽  
K. Hendricksen ◽  
W. Kassouf ◽  
...  
Keyword(s):  

2020 ◽  
Vol 14 (3) ◽  
pp. 155-158
Author(s):  
M. Aubert ◽  
Y. Panis

Contexte : L’exérèse totale du mésorectum par voie transanale (TaTME) pour la prise en charge du cancer du rectum est récemment apparue comme alternative à l’exérèse totale du mésorectum par voie abdominale. Cependant, certaines inquiétudes à propos des résultats oncologiques de cette technique chirurgicale ont émergé. Le but de cette étude était d’évaluer le taux de récidives locales après TaTME. Les objectifs secondaires s’intéressaient à la mortalité postopératoire, au taux de fistule anastomotique et au taux de stomie définitive. Méthodes : Les données de tous les patients opérés par TaTME ont été rapportées et comparées aux données issues des registres nationaux norvégiens de cancers colorectaux (NCCR) et de chirurgie gastro-intestinale (NoRGast). Les taux de récidive locale étaient estimés selon Kaplan-Meier. Résultats : En Norvège, 157 patients ont été opérés par TaTME pour un cancer du rectum entre octobre 2014 et octobre 2018. Trois des sept centres hospitaliers participants ont abandonné la réalisation de cette intervention après cinq procédures. Le taux de récidive locale était de 12 sur 157 patients (7,6 %) ; huit récidives locales étaient multifocales ou étendues. Le taux de récidive locale après un suivi de à 2,4 ans était estimé à 11,6 % (IC 95 % : [6,6‒19,9]) après TaTME contre 2,4 % (IC 95 % : [1,4‒4,4]) dans le registre NCCR (p < 0,001). Le hasard ratio était estimé à 6,71 (IC 95 % : [2,94‒15,32]). Le taux de fistule anastomotique nécessitant une réintervention était de 8,4 % dans le groupe TaTME contre 4,5 % dans le registre NoRGast (p = 0,047). Cinquante-six patients (35,7 %) étaient porteurs d’une stomie à la fin du suivi, dont 39 (24,8 %) étaient définitives. Conclusion : Le taux de fistule anastomotique était plus élevé après TaTME en comparaison aux données des registres nationaux norvégiens. Le taux de récidive locale ainsi que les caractéristiques de cette récidive après TaTME étaient défavorables.


2019 ◽  
Vol 23 (6-7) ◽  
pp. 805
Author(s):  
C. Le Roy ◽  
J. Charret ◽  
F. Gassa ◽  
O. Desmettre ◽  
O. Rouvière ◽  
...  
Keyword(s):  

2019 ◽  
Vol 13 (3) ◽  
pp. 137-146
Author(s):  
S. Abdalla ◽  
A. Brouquet

La radiochimiothérapie (RCT) préopératoire avant la réalisation d’une chirurgie carcinologique du rectum (exérèse totale du mésorectum) permet d’améliorer le contrôle tumoral local chez les malades opérés d’un cancer du rectum localement avancé (CRLA). Les taux de récidive locale sont actuellement inférieurs à 10 %. En revanche, cette stratégie n’a pas d’effet démontré sur le risque métastatique et la survie à long terme, et elle est associée à un risque de séquelles à long terme susceptible d’altérer la qualité de vie de malades pourtant guéris de leur cancer. L’administration d’une chimiothérapie (CT) à pleine dose dans la période préopératoire peut avoir des effets positifs sur la prise en charge des malades opérés d’un CRLA : augmenter la réponse tumorale et optimiser le contrôle local utilisé en intensification ou induction de la RCT, limiter le risque métastatique et éviter les séquelles tardives liées si elle est utilisée comme une alternative à la RCT. Dans cet article sont abordés les différents aspects à la fois démontrés et en cours d’évaluation de la CT préopératoire dans la prise en charge des CRLA.


ONCOLOGIE ◽  
2019 ◽  
Vol 21 (1-4) ◽  
pp. 22-28
Author(s):  
F. Guillemin ◽  
F. Marchal ◽  
M. Geffroy

Objectif : Évaluation d’un deuxième traitement conservateur (T) [n = 41] par rapport à une mastectomie totale (M) [n = 93]. Étude rétrospective unicentrique de 134 patientes ayant présenté une récidive mammaire homolatérale isolée et opérable. Résultats : La survie globale à cinq ans est de 82,5 % dans les deux groupes. Pas de différence significative pour la survie spécifique et la survie sans métastase dans les deux groupes. Le contrôle local à cinq ans est de 92,9 % dans le groupe Met de 66,2 % dans le groupe T (RR de nouvelle récidive de 4,48). La présence d’emboles, le caractère multifocal et la révélation clinique de la récidive sont des facteurs pronostiques péjoratifs de survie. Sur l’ensemble de la série (n = 134), 25 (18,6 %) ont conservé leur sein. Conclusion : Pour minimiser le risque de récidive après un second traitement conservateur, on peut envisager cette chirurgie si la récidive est isolée, de petite taille, de bas grade, sans embole, et strictement unifocale. L’acte chirurgical doit assurer des marges saines et un résultat esthétique satisfaisant. La patiente participe au choix du traitement.


Sign in / Sign up

Export Citation Format

Share Document