activité physique
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(FIVE YEARS 81)

H-INDEX

7
(FIVE YEARS 0)

2021 ◽  
Vol 88 ◽  
pp. A76
Author(s):  
M.C. Trojani ◽  
C. Fréderic ◽  
P. Gerus ◽  
V. Breuil ◽  
C. Michel ◽  
...  

2021 ◽  
Vol 88 ◽  
pp. A234-A235
Author(s):  
Z. Zarrouk ◽  
O. Hamdi ◽  
S. Jemmali ◽  
S. Boussaid ◽  
R. Sonia ◽  
...  

Author(s):  
Nathalie LE FLOC’H ◽  
Anne BOUDON ◽  
Lucile MONTAGNE ◽  
Hélène GILBERT ◽  
Florence GONDRET ◽  
...  

Le projet européen PROHEALTH portait sur les maladies de production des porcs et des volailles. Pour l’espèce porcine, INRAE a apporté des connaissances nouvelles permettant de comprendre les mécanismes biologiques qui conduisent ou non à l’expression de ces maladies et de proposer des voies d’amélioration des conditions d’élevage pour préserver la santé des porcs. Ainsi, enrichir l’environnement des truies pendant la gestation a permis de réduire leur stress et donc d’améliorer leur bien-être et de réduire la mortalité néonatale des porcelets. Chez les porcelets, la dynamique de réponse aux stress du sevrage et la prévalence des problèmes digestifs ont été modulées par l’alimentation. Chez les porcs en croissance, augmenter la surface disponible en élevage contribuerait à prévenir l’apparition de troubles locomoteurs selon la prédisposition génétique des porcs à augmenter leur activité physique. Chez les porcs en croissance également, le respect de bonnes conditions d’hygiène du logement permet de préserver la santé et les performances de croissance en limitant l’inflammation systémique et les troubles respiratoires. En s’appuyant sur un modèle de lignées génétiques divergentes sélectionnées sur la Consommation Moyenne Journalière Résiduelle (CMJR), un indicateur de l’efficacité alimentaire, nous avons montré l’implication de facteurs génétiques dans la susceptibilité des porcs à certaines maladies comme les troubles digestifs du sevrage, l’ostéochondrose et l’inflammation causée par les mauvaises conditions d’hygiène du logement.


Author(s):  
Charline Frandemiche ◽  
Anaïs Briant ◽  
Marina Le Clinche ◽  
Camille Quinton ◽  
Xavier Blaizot

2021 ◽  
Author(s):  
Boris Cheval ◽  
Matthieu P Boisgontier

La théorie présentée dans cet article vise à expliquer pourquoi de nombreuses personnes ne parviennent pas à transformer leur intention d’être physiquement actif en actions. Les principaux modèles de la motivation humaine indiquent que les processus cognitifs et affectifs sont des déterminants essentiels des comportements de santé, tels que l’activité physique. Cependant, des résultats récents suggèrent qu’un autre processus, l’attrait automatique pour la minimisation de l’effort pourrait permettre de mieux comprendre l’écart entre l’intention d’être actif physiquement et l’engagement réel dans l’activité physique. Les sociétés modernes offrant de nombreuses occasions de réduire la dépense énergétique, surmonter cette attrait automatique pour la minimisation de l’effort s’avère être un défi. La théorie de la minimisation de l’effort en activité physique propose un cadre théorique pour étudier le rapport de force qui régit les interactions entre l’attrait pour la minimisation de l’effort, les ressources cognitives allouées pour y résister et les affects impliqués dans les comportements d’activité physique. Ce cadre théorique a pour objectif de contribuer à une compréhension plus complète et précise des mécanismes neuropsychologiques impliqués dans l’autorégulation de l’activité physique.


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