tabagisme chez les jeunes
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2016 ◽  
Vol 33 ◽  
pp. A272-A273
Author(s):  
A. Ayari ◽  
J. Ben Amar ◽  
B. Dhahri ◽  
H. Zaibi ◽  
S. Azzabi ◽  
...  

2015 ◽  
Vol 32 ◽  
pp. A135
Author(s):  
K.S. Adjoh ◽  
K. Koumako ◽  
T.S. Adambounou ◽  
H. Agoudavi ◽  
O. Tidjani

2014 ◽  
Vol 34 (4) ◽  
pp. 287-294
Author(s):  
AG Cole ◽  
ST Leatherdale ◽  
VL Rynard

Introduction Les cigarettes roulées représentent une solution de rechange abordable par rapport aux cigarettes industrielles, en particulier pour les jeunes à faible revenu. Cette étude a pour but de caractériser les variations de prévalence de la consommation de tabac à rouler des jeunes Canadiens entre 2008 et 2010 et d'examiner les caractéristiques sociodémographiques associées à cette consommation en 2010. Méthodologie Cette étude utilise des données représentatives recueillies chez des élèves de la 9e à la 12e année dans le cadre des cycles 2008-2009 et 2010-2011 de l'Enquête sur le tabagisme chez les jeunes (ETJ). Résultats Parmi les fumeurs, 30,5 % consommaient des cigarettes roulées. Les jeunes bénéficiant d'un revenu disponible de plus de 100 $ par semaine étaient moins nombreux à consommer ce type de produit (rapport de cotes [RC] = 0,49; intervalle de confiance [IC] à 95 % : 0,34 à 0,71). Les consommateurs de tabac à rouler étaient plus nombreux à consommer également de l'alcool (RC=2,01; IC à 95% : 1,09 à 3,72) ou de la marijuana (RC = 2,63; IC à 95 % : 1,73 à 4,01). Conclusion Les cigarettes roulées continuent d'être une solution de rechange abordable pour les jeunes fumeurs. Les programmes de prévention ciblant les consommateurs de cigarettes roulées en milieu scolaire pourraient contribuer à réduire la consommation de ce type de cigarettes.


2014 ◽  
Vol 34 (2/3) ◽  
pp. 122-130
Author(s):  
A Barisic ◽  
ST Leatherdale ◽  
R Burkhalter ◽  
M Math ◽  
R Ahmed

Introduction Nous étudions dans cet article la prévalence de l'exposition à la fumée secondaire (FS) chez les jeunes à la maison et en voiture, les variations du niveau d'exposition à la FS dans le temps et les facteurs associés aux croyances des jeunes au sujet de l'exposition à la FS, grâce à un échantillon représentatif à l'échelle nationale des jeunes Canadiens. Méthodologie Nous avons mené une analyse descriptive de l'exposition à la FS à la maison et en voiture à l'aide des données de l'Enquête sur le tabagisme chez les jeunes (2004, 2006 et 2008). Une analyse de régression logistique a été effectuée afin d'analyser les facteurs associés aux croyances des jeunes au sujet de l'exposition à la FS en 2008. Résultats En 2008, 21,5 % des jeunes ont signalé avoir été exposés à la FS à la maison chaque jour ou presque chaque jour, tandis que 27,3 % des jeunes ont déclaré avoir été exposés à la FS à bord d'une voiture au moins une fois au cours de la semaine précédente. Entre 2004 et 2008, la prévalence de l'exposition quotidienne à la FS au domicile et en voiture a diminué respectivement de 4,7 % et de 18,0 %. Conclusion Malgré la diminution de l'exposition à la FS au fil du temps, un nombre important de jeunes Canadiens continuent à être exposés à la FS chez eux et en voiture. Il faut redoubler d'efforts pour mettre en œuvre et évaluer des politiques visant à protéger les jeunes de la FS.


2014 ◽  
Vol 34 (2/3) ◽  
pp. 131-142
Author(s):  
SC Kaai ◽  
SR Manske ◽  
ST Leatherdale ◽  
KS Brown ◽  
D Murnaghan

Introduction Il est essentiel de comprendre les caractéristiques du tabagisme expérimental chez les jeunes pour élaborer des programmes de prévention. Dans cette étude, nous avons analysé, à partir d'un échantillon représentatif des élèves canadiens de la 9e à la 12e année, les facteurs relatifs aux élèves et les facteurs relatifs aux écoles qui différenciaient les fumeurs à titre expérimental des élèves n'ayant jamais fumé. Méthodologie Des données relatives aux écoles recueillies dans le cadre du Recensement de 2006 ainsi qu'une caractéristique relative au milieu bâti (densité des détaillants de produits du tabac) ont été reliées à des données relatives aux élèves du secondaire tirées de l'Enquête sur le tabagisme chez les jeunes de 2008-2009 et ont été soumises à une série d'analyses par régression logistique multiniveaux. Résultats Le taux de tabagisme expérimental variait d'une école à l'autre (p $lt; 0,001). Après ajustement en fonction des caractéristiques des élèves, on a observé une association entre l'emplacement (rapport de cotes ajusté = 0,66, intervalle de confiance à 95 % : 0,49 à 0,89) de l'école (milieu urbain ou rural) et le risque qu'un élève soit fumeur à titre expérimental plutôt qu'élève n'ayant jamais fumé. Les élèves étaient plus susceptibles d'être fumeurs à titre expérimental s'ils étaient d'un niveau scolaire inférieur, s'ils avaient un faible sentiment d'appartenance à leur école, s'ils consommaient de l'alcool ou de la marijuana, s'ils croyaient que le tabagisme avait un effet apaisant, s'ils recevaient de l'argent de poche chaque semaine et si un membre de leur famille ou un de leurs amis intimes fumait des cigarettes. Conclusion Les programmes de prévention du tabagisme en milieu scolaire doivent à la fois être adaptés au niveau scolaire et exhaustifs, comprendre des stratégies visant à accroître le sentiment d'appartenance des élèves à leur école et tenir compte du phénomène de polyconsommation, des croyances relatives au tabagisme et de l'utilisation qui est faite de l'argent de poche. Ces programmes devraient également cibler les élèves dont un ami ou un membre de la famille fume. Par ailleurs, les écoles situées en milieu rural pourraient avoir besoin de ressources supplémentaires.


2013 ◽  
Vol S1 (HS1) ◽  
pp. 65 ◽  
Author(s):  
Jean-Louis Wilquin ◽  
Juliette Clément ◽  
Béatrice Lamboy

2013 ◽  
Vol 63 (1) ◽  
pp. 61
Author(s):  
Romain Guignard ◽  
François Beck

2011 ◽  
Vol 31 (4) ◽  
pp. 141-147 ◽  
Author(s):  
ST Leatherdale ◽  
R Ahmed

Objectif Déterminer le pourcentage de jeunes Canadiens qui respectent les recommandations en matière de temps passé devant un écran et caractériser les différents comportements associés au temps passé devant un écran. Méthodologie Au moyen des données représentatives à l’échelle nationale recueillies dans le cadre de l’Enquête sur le tabagisme chez les jeunes (ETJ) de 2008-2009, nous avons analysé trois comportements associés au temps passé devant un écran en lien avec le tabagisme, l’allocation hebdomadaire, l’estime de soi, la région, le niveau scolaire et le sexe. Nous avons créé quatre modèles de régression logistique pour examiner les facteurs associés au fait de consacrer plus de 2 heures par jour à une activité sédentaire devant un écran. Résultats Sur les 51 922 jeunes Canadiens de la 6e à la 12e année, 50,9 % passaient plus de 2 heures par jour devant un écran. Le temps moyen passé chaque jour devant un écran était de 7,8 (± 2,3) heures. Les garçons et les fumeurs étaient plus nombreux à déclarer passer plus de 2 heures par jour à regarder la télévision et des vidéos ou à jouer à des jeux vidéo, tandis que les élèves de niveau scolaire plus élevé et ceux qui recevaient une allocation hebdomadaire étaient plus nombreux à déclarer jouer à des jeux sur un ordinateur ou naviguer sur Internet. Les jeunes qui avaient une plus grande estime de soi étaient moins nombreux à déclarer consacrer plus de 2 heures par jour aux trois comportements associés au temps passé devant un écran faisant l’objet de l’étude. Conclusion Mieux comprendre les facteurs associés à un plus grand nombre d’heures passées devant un écran va permettre de cibler les interventions contribuant à diminuer le temps passé devant un écran.


2010 ◽  
Vol 30 (3) ◽  
pp. 79-85
Author(s):  
J. Nowatzki ◽  
A.S.H. Schultz ◽  
E.J. Griffith

Objectif Comparer la façon dont les jeunes de 5e à 9e année et les parents perçoivent le milieu familial en lien avec la socialisation du tabagisme. Méthodes Nous avons effectué une analyse secondaire de l’Enquête sur le tabagisme chez les jeunes 2004-2005 et de l’enquête correspondante visant les parents. Nous avons utilisé le test McNemar pour comparer les réponses des jeunes et celles de leurs parents. Résultats À la plupart des étapes d’adoption du tabagisme chez les jeunes, il existe des tendances statistiquement significatives de désaccord entre les réponses des jeunes et celles des parents à propos du tabagisme des parents, des règles sur le tabagisme à domicile et du tabagisme à domicile et dans les véhicules. Lorsque les réponses des jeunes et celles des parents n’ont pas concordé, les tendances suivantes ont émergé : les jeunes non-fumeurs non prédisposés à devenir fumeurs percevaient leurs parents comme non-fumeurs alors que les jeunes ayant une plus grande expérience du tabagisme percevaient leurs parents comme des fumeurs. À quelque étape d’adoption du tabagisme qu’en soient les jeunes, selon eux il y avait moins de règles à domicile que ce qu’avaient indiqué les parents, davantage de tabagisme à domicile que ce qu’avaient indiqué les parents et leur exposition à la fumée à l’intérieur d’un véhicule ne correspondait pas aux interdictions de fumer à l’intérieur d’un véhicule indiquées par les parents. Conclusion Pour autant que nous le sachions, cette étude est la première à comparer les perceptions des jeunes et celles de leurs parents à l’égard des variables relatives aux ménages en matière de socialisation au tabagisme. Les divergences entre les réponses des jeunes et celles des parents laissent penser qu’il y a encore des progrès à faire quant à l’établissement d’un milieu familial interdisant clairement le tabagisme, ce qui pourrait influencer la prédisposition des jeunes à devenir fumeurs.


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