estime de soi
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(FIVE YEARS 23)

H-INDEX

7
(FIVE YEARS 1)

Author(s):  
Céline Colombier ◽  
Solène Delplanque ◽  
Audrey Dirson ◽  
Anne Guaguère ◽  
Élisa Klusek ◽  
...  
Keyword(s):  

En réanimation, les patients en défaillance poly viscérale sont fragilisés par l’atteinte de leur intégrité physique et/ou psychique, mais également par une détresse sociale. Pour améliorer leur bien-être, des soins de socio-esthétique peuvent être mis en place. Ceux-ci contribuent à restaurer l’image que les patients ont d’eux-mêmes et leur estime de soi. Les soins de socio-esthétique sont des soins singuliers permettant un moment de partage et de détente avec le patient. Aussi, ce projet s’intègre parfaitement aux recommandations de la conférence de consensus de 2009 « Mieux vivre la réanimation » qui concerne les patients, les familles et les soignants.


Author(s):  
Stéphane Thibodeau ◽  
Elisabeth Giguère ◽  
Sonia Lefebvre ◽  
Eric Frenette
Keyword(s):  

2021 ◽  
Vol 20 (2) ◽  
pp. 17-29
Author(s):  
André Samson ◽  
Marie-Pier Bastien ◽  
Natasha Chénier-Ayotte ◽  
Jean-Martin Deslauriers ◽  
Natacha Godbout ◽  
...  

La recension des écrits scientifiques démontre que les hommes abusés sexuellement à l’enfance et à l’adolescence (HASE) doivent composer avec des impacts négatifs qui se répercutent tout au long de leur vie adulte. Ces impacts peuvent être multiples (p. ex., détresse psychologique sévère, estime de soi pauvre, difficultés relationnelles) et ne sont pas sans conséquence sur le rapport au travail. Du moins, c’est ce que cette recherche mixte, conduite auprès de 28 HASE, semble indiquer. En effet, les participants vivent un rapport au travail qui est perturbé et perturbateur. Le rapport au travail est perturbé, car il est un exutoire. C’est-à-dire une manière de taire leurs souffrances psychologiques causées par les abus sexuels. Ce rapport est aussi perturbateur, car il ne contribue pas à leur réalisation personnelle. Les données quantitatives corroborent les données produites par l’analyse qualitative. Par exemple, seulement 40% occupent un emploi et près du tiers des répondants (28,6 %) déclare recevoir des prestations d’aide sociale (PAS), au moment de la collecte des données. Ces pourcentages sont relativement élevés, comparativement à la population générale masculine (PGM), 5,6% de la PGM reçoivent des PAS et 74% sont des salariés.


2021 ◽  
Vol n° 52 (2) ◽  
pp. 135-146
Author(s):  
Nadia Ouzennou ◽  
Abdelmounaim Manoussi ◽  
Hicham Mejdouli ◽  
Fatim-Ezzahra Abssane ◽  
Oumaima Chakir ◽  
...  

Author(s):  
Popi René Tshibwabwa ◽  
Ebwel Joacim Mukau ◽  
Mayinzambi Jean-Paul Yawidi ◽  
Daniel Okitundu

Cette étude a évalué les déficits des fonctions neurocognitives de base, les facteurs psychologiques et ceux de la sphère sociale associés qui interfèrent avec la mauvaise adaptation des patients schizophrènes traités au C.N.P.P. de l’Université Kinshasa. Elle a fait suite à une recherche initiale menée auprès de 48 personnes souffrant de schizophrénie et qui avaient montré après la stabilisation des symptômes cliniques, la difficulté d’interagir adéquatement avec la réalité était la plainte. Le suivi psychologique en postcure a révélé une mauvaise intégration de ces patients dans le contexte familial. Quatre patients issus de cette cohorte, sélectionnés par choix raisonné ou de convenance (Pirès, 1977) ont été évalués à l’aide d’entretien clinique, des tests neuropsychologiques et des échelles de mesure sociale. L’objectif a consisté à utiliser une approche de remédiation cognitive de restauration du processus adaptée aux difficultés et des interventions individualisées de réadaptation psychosociale pouvant favoriser l’intégration de la personne à la famille et à la communauté, au rythme individuel. Les résultats des bilans individuels réalisés ont révélé des profils neurocognitifs déficitaires de mémoires, d’attention et de planification des tâches, un coping inapproprié, une estime de soi faible, une accumulation des stress, la stratégie globale de résolution de problèmes, un soutien familial non perçu, une relation malade-médecin moins bonne, une attribution causale externe de la maladie, une habitude de consommation de substances psychoactives, l’appartenance de l’enfant à une famille désunie. <p> </p><p><strong> Article visualizations:</strong></p><p><img src="/-counters-/edu_01/0748/a.php" alt="Hit counter" /></p>


2021 ◽  
Vol Numéro 572 (2) ◽  
pp. 129-136
Author(s):  
Émilie Chevallier-Rodrigues ◽  
Amélie Courtinat-Camps ◽  
Myriam de Léonardis
Keyword(s):  

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