O PRONAĐENOM I IZGUBLjENOM SEĆANjU I IDENTITETU U ROMANU „AUSTERLIC“ VINFRIDA GEORGA ZEBALDA

Der Zusammenhang von Erinnerung und Identität ist ein zentrales Thema in den zeitgenössischen literatur- und kulturwissenschaftlichen Diskussionen. In An- lehnung an theoretische und methodische Ansätze, die vor allem Astrid Erll, Marion Gymnich und Ansgar Nünning im deutschsprachigen Raum vertreten, ist das Ziel dieser Arbeit, am Beispiel von W. G. Sebalds Roman Austerlitz (2001) die Möglichkeit der Literatur aufzuzeigen, die unterschiedlichen (Erinnerungs-) Medien zusammenführt. Literatur generiert Erinnerungsräume die auf komplexe Weise lesbar werden und plädiert somit für eine vielseitige Erinnerungspraxis. Dabei wird die Unzulänglichkeit der Möglichkeiten einer Nacherinnerung im Roman eine zentrale Rolle zukommen. Die Untersuchung verweist auf verschiedene Verfahrensweise des Textes, in dem kein Medium für sich allein steht und in dem Formen der Zeugenschaft thematisch und problematisch werden. Auf dieser Weise werden die begrenzten Möglichkeiten der narrativen Übertragung der traumatischen Vergangenheit aufgezeigt.

IZGUBLjENO DETINjSTVO I SLOBODA U FILMOVIMA O ŠPANSKOM GRAĐANSKOM RAT

The paper deals with the presentation of children’s lives and the consequences of the Spanish Civil War in the film achievements of Spanish cinema. The corpus material consists of the films The Language of Butterflies (La lengua de las mariposas) and Black Bread (Pan negro) in which children interpret the roles of the protagonists. Taking into account the consequences that almost every war brings with it, we want to examine the extent to which children in Spain were deprived of a normal childhood and freedom at that time. Based on the analyzed scenes, we will show the gradational change of children from innocent victims of war to brave fight- ers for their own ideals. A peaceful and happy childhood was replaced by growing up and maturing prematurely, and the consequences of the war remained present in the years after this horrific event.

POETIKA I LjUBAV U „LIRICI ITAKE“ MILOŠA CRNjANSKOG

Dans cet article nous nous focalisons sur la question de la présence du contexte de l’amour dans Lirika Itake, en prenant en compte que la conception de l’amour dans cet œuvre peut être observée de différents points de vue. Nous allons présenter la manière dont l’auteur, dans une partie de sa création, radicalement re- pousse l’amour et le dirige sur l’objet de la blasphémie qui est, de sa part, artistiquement justifiée. Nous allons démontrer l’attitude parodique et sarcastique de l’auteur envers la tradition de l’amour, mais qui ne nie pas sa propre présence ni la possibilité de sa réalisation. S’appuyant sur l’esthétique lirique de l’auteur qui sousentend l’esthétique de la vie, de la nature, de la femme et de l’amour, nous démontrerons que l’auteur dans les poèmes à la thématique de l’amour lie les émotions liriques aux sensations personnelles, en donnant non seulement l’empreinte esthétique à sa poésie sinon sa philosophie de l’amour et de la femme.

L’INFLUENCE DU GAULLISME SUR LES SERBES

L’œuvre historique de Charles de Gaulle a-t-elle eu de l’influence sur les événements politiques en Serbie? La réponse est oui, même plus qu’on ne le pense. Le parallélisme du comportement politique pendant la Seconde Guerre mondiale du général Milan Nedić avec celui du maréchal Philippe Pétain et du colonel Dragoljub Draža Mihajlović avec celui du général de Gaulle est fascinant. Les deux militaires serbes ont été formés par l’armée française. Comme Pétain, le général Nedić a décidé de se soumettre à l’occupant en créant un État serbe fantoche. Comme de Gaulle, le général Mihajlović est convaincu de la victoire des Alliés, refusant la capitulation et décidant de continuer le combat. La constitution gaulliste de la V République de 1958 a-t-elle inspirée les rédacteurs de la constitution serbe de 2006 ? Dans une certaine mesure oui, mais peut-être pas assez. Voici une analyse du rapport des Serbes face au gaullisme.

RECEPCIJA I REPREZENTACIJA HOLOKAUSTA U ISTOČNOM BERLINU I BEOGRADU NAKON DRUGOG SVETSKOG RATA

The goal of this paper is to investigate the memory of the Holocaust, i.e. the reception and representation of the suffering of the Jewish population during the rule of the Third Reich (under Nazi rule and occupation) in the capitals of the states constituted after the Second World War - in East Berlin, GDR, and Belgrade, SFRY, during the period from 1945 to 1989/1991. Relying on the achievements of memory studies and analyzing the political moods of that time and the ways of constructing official narratives about Jewish suffering in selected post-war Communist countries, the similarities and differences in the policy of representing Jewish suffering in these two countries and the memory of Jewish victims in places of remembrance and in the practices of remembrance in their capitals will be pointed out.