Étude prospective multicentrique de la courbe d’apprentissage en chirurgie robotique pour cancer du rectum (étude ROBOT-CR)

2021 ◽  
Vol 158 (4) ◽  
pp. S43
Author(s):  
E. Cotte ◽  
A. Dubois ◽  
E. Rullier ◽  
P. Rouanet ◽  
Q. Denost ◽  
...  
ONCOLOGIE ◽  
2016 ◽  
Vol 18 (5) ◽  
pp. 305-311
Author(s):  
J. Coget ◽  
P. E. Colombo ◽  
A. Mourregot ◽  
D. Traoré ◽  
P. Rouanet

ONCOLOGIE ◽  
2011 ◽  
Vol 13 (1) ◽  
pp. 35-38
Author(s):  
L. Bresler ◽  
A. Germain ◽  
A. Ayav ◽  
L. Brunaud

ONCOLOGIE ◽  
2009 ◽  
Vol 12 (1) ◽  
pp. 55-59 ◽  
Author(s):  
M. Jafari ◽  
N. Monsarrat ◽  
F. Narducci ◽  
L. Boulanger ◽  
L. Vanseymortier ◽  
...  

Obésité ◽  
2019 ◽  
Vol 14 (3) ◽  
pp. 92-97
Author(s):  
P. Blanc ◽  
C. Breton

But de l’étude : Le court-circuit gastrique par cœlioscopie est le geste de référence en chirurgie bariatrique, la chirurgie robotique se développe en chirurgie digestive et bariatrique. Le but de ce travail est de rapporter les résultats de la chirurgie robotique bariatrique lors de la période d’apprentissage. Patients et méthodes : De septembre 2017 à septembre 2018, les 50 premiers courts-circuits gastriques par cœlioscopie avec robot assistance ont été analysés. La période d’apprentissage a été évaluée prospectivement par la durée opératoire, la durée moyenne de séjour et, le taux de complications précoces. Résultats : Il a été réalisé 50 courts-circuits gastriques avec anse en Y. Il s’agissait d’une chirurgie de première intention dans 39 cas, une chirurgie de révision dans 11 cas (6 après anneau périgastrique modulable, 5 après gastrectomie en manchon pour reflux gastro-œsophagien). Il y avait 43 femmes 7 hommes, l’âge moyen était de 43,8 ans (22-65) et, l’IMC moyen de 41,45 kg/m2 (35-55). La durée opératoire moyenne a été de 155,1 min. (90-252) en cas de chirurgie de première intention et, de 181,4 min. (124-252) en cas de chirurgie de révision. La durée moyenne de séjour a été de 3,4 jours (2-12) en cas de chirurgie de première intention et, de 4,5 jours (2-12) en cas de chirurgie de révision. Il n’y a eu aucune conversion, aucun décès. Le taux de complications a été de 12% en cas de chirurgie de première intention (5/39) de 45 % en cas de chirurgie de révision (5/11), le taux de réintervention précoce a été de 8%. Il n’y a eu aucune mortalité. Conclusion : A la condition de suivre une formation spécifique, et de sélectionner les premiers patients, la chirurgie bariatrique par cœlioscopie avec robot assistance est une technique réalisable sans augmenter la morbidité postopératoire et ceci même lors de la période d’apprentissage.


Praxis ◽  
2020 ◽  
Vol 109 (1) ◽  
pp. 9-12
Author(s):  
Martin Preisig ◽  
Marie-Pierre F. Strippoli ◽  
Caroline L. Vandeleur

Résumé. PsyCoLaus, comportant une investigation de la santé mentale et du fonctionnement cognitif, vise à déterminer la prévalence et l’évolution des troubles mentaux et à étudier les mécanismes qui sous-tendent l’association entre ces troubles et les maladies cardiovasculaires. Cette investigation a mis en évidence un taux de prévalence vie-entière très élevé de 43,6 % pour les troubles dépressifs majeurs à Lausanne. Nous avons également observé que l’association entre la dépression et les facteurs de risque cardio-métaboliques est essentiellement attribuable au sous-type de dépression atypique, caractérisé par une augmentation de l’appétit, une lourdeur dans les membres, une hypersomnie et une réactivité affective conservée. Les patients présentant ce type de dépression ont un risque élevé de développer du surpoids, du diabète et un syndrome métabolique et méritent une attention particulière au niveau métabolique.


2020 ◽  
Vol 21 (2) ◽  
pp. 75-82 ◽  
Author(s):  
Meriem Bouchareb ◽  
Mourad Bouaziz ◽  
Mahfoud Djebien ◽  
Mouhamed Saidani
Keyword(s):  

Contexte et problématique : De nombreux travaux ont aujourd’hui parfaitement établi l’intérêt de la simulation pour le développement des capacités opératives. Dans le contexte des pays à économie émergente tels que l’Algérie, diverses contraintes liées à la disponibilité et à la pérennité des ressources, matérielles ou humaines, peuvent obérer le développement des programmes de simulation. Il reste donc essentiel de vérifier que les dispositifs de formation recourant à la simulation tiennent toutes leurs promesses dans de tels contextes. Objectifs : Comparer les apprentissages procéduraux et comportementaux liés à la gestion des voies aériennes, sur un patient réel, de résidents respectivement formés dans le cadre de dispositifs recourant à la simulation ou par la méthode expérientielle traditionnelle. Méthodes : Etude prospective contrôlée, comparant deux groupes de 30 résidents en anesthésie-réanimation, de première année au centre hospitalo-universitaire d’Annaba (Algérie). Un groupe a reçu une formation en gestion des voies aériennes par simulation. Le deuxième a suivi une formation classique, par entraînement sur patient réel. Les résidents étaient testés sur leurs performances, observées sur un malade réel (niveau 3 selon l’échelle de Kirkpatrick). Résultats : Le groupe « enseignement par simulation » a obtenu des scores significativement supérieurs à ceux du groupe « enseignement classique » dans 7 des 10 étapes de gestion des voies aériennes. Conclusion : L’enseignement par simulation peut être intégré dans le cursus de formation des résidents en anesthésie-réanimation dès la première année. Il optimise l’apprentissage des capacités dans des conditions plus sûres pour les patients. Certaines stratégies permettent d’en limiter le coût.


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