Bilan d’activité de l’unité de prise en charge des femmes et des enfants victimes de violences au centre hospitalier universitaire Ibn Sina de Rabat au cours de l’année 2016

2019 ◽  
Vol 10 (2) ◽  
pp. 63-69
Author(s):  
F. Irgui ◽  
F. Ait Boughima
2014 ◽  
Vol 29 (S3) ◽  
pp. 601-601
Author(s):  
D. Carmelo ◽  
S. Lamy ◽  
A. Charles-Nicolas ◽  
N. Pascal ◽  
L. Jehel

IntroductionLa suicidalité à l’adolescence est une question importante de santé publique, en termes de mortalité, de morbidité. Celle-ci est peu évaluée et quantifiée dans les en Martinique au sujet des adolescents. Notre objectif à travers de notre étude prospective exploratoire est de déterminer de la prévalence des tentatives de suicide chez les adolescents en Martinique consultant au CHUM.MéthodesNous avons inclus tous les adolescents âgés de 11 à 18 ans ayant réalisé une tentative de suicide en Martinique, admis sur les différents services d’urgences et de réanimations du CHUM, sur une période continue de 4 mois.RésultatsQuarante-trois tentatives de suicide ont été enregistrées au cours de cette période : 88,4 % des cas impliquaient des filles (avec une récidive sur la période d’inclusion), 58,1 % des jeunes ont utilisé comme méthode l’intoxication médicamenteuse volontaire, la majorité concernait des primosuicidants (60,5 %), près de la moitié des cas avait identifié un événement traumatisant, 34,9 % ont déclaré consommer de façon régulière une substance psychoactive enfin 72,5 % des situations ont fait intervenir le SAMU et 65,2 % de ces adolescents ont bénéficié d’une prise en charge hospitalière.ConclusionCette étude pilote permet de contribuer à la description de la tentative de suicide chez les adolescents, qui s’estimerait à 1 tentative de suicide tous les 3 jours, et confirme bien une problématique suicidaire touchant cette population spécifique dans ce département. Elle suggère par ailleurs la nécessité de renforcer l’offre de soins qui semble insuffisante à ce jour. Au vu des résultats de cette étude, l’implication forte du SAMU dans ce travail pourrait être un partenaire idéal dans le repérage de ces conduites suicidaires dans cette région.


2002 ◽  
Vol 47 (2) ◽  
pp. 143-149 ◽  
Author(s):  
P Montoya ◽  
M Bigorre ◽  
G Captier ◽  
H Baylon ◽  
J Pietrera ◽  
...  

2021 ◽  
Vol 38 ◽  
Author(s):  
Tchaa Hodabalo Towoezim ◽  
Kolima Ehlissou Komlavi ◽  
Noufanague Kanfitine Kombaté ◽  
Batarabadja Bakriga ◽  
Yaovi Yanick Dellanh ◽  
...  

2018 ◽  
Vol 23 (suppl_1) ◽  
pp. e1-e1
Author(s):  
Claude Cyr

Abstract BACKGROUND Chez les adolescents, une visite à l’urgence reliée à l’alcool est un facteur prédictif important de problèmes continus de consommation. OBJECTIVES Décrire le type de présentation, les caractéristiques cliniques et la prise en charge des jeunes intoxiqués à l’alcool admis aux urgences. DESIGN/METHODS Étude rétrospective descriptive des jeunes (12 à 24 ans) admis aux urgences du Centre Hospitalier Universitaire de Sherbrooke (CHUS) en raison d’une intoxication à l’alcool entre janvier 2012 et janvier 2017. RESULTS Sur un total de 855 admissions, 56% étaient des garçons. Un hospitalisation de plus de 24 heures a été nécessaire pour 77 jeunes (9%) et 44 ont nécessité une ventilation méchanique (5%). L’âge moyen était de 19,7 ans, 167 (20%) avait entre 12 et 17 ans. Le taux d’éthanolémie moyen était de 208.8 mg/dl, 55 (6) avec des taux de plus de 300 mg/dl. Une altération de l’état de conscience a été documentée dans 68% des cas avec 23% des patients présentant une menace potentielle pour la vie. Des pics de consultation étaient présents aux semaines 35 (rentrée universitaire) et 44 (Halloween). L’utilisation d’alcool fort a été identifié dans 74% des cas. Seulement 29% avait consommé une autre substance psychotrope. La co-intoxication la plus fréquente étant le cannabis (n=119,14%). Des complications ont été identifié dans 57% des admissions dont 195 (23%) traumatismes, 85 (10%) bagarres, 22 (3%) blessures auto-infligées, 10 (1%) abus sexuelles. Seulement 52% des patients ont reçu un councelling lors de leur séjour à l’urgence. CONCLUSION Les intoxications aigues à l’alcool chez les jeunes sont fréquentes et sévères. Ce projet permettra de dégager des pistes préventives au sein de la communauté sherbrookoise.


Author(s):  
J Kone ◽  
B Bellahcen ◽  
A Awab ◽  
R El Moussaoui ◽  
M Alilou ◽  
...  

L'antibiorésistance croissante des bactéries responsables des infections urinaires limite le choix des antibiotiques en chirurgie urologique. Parmi ces germes sont retrouvées les entérobactéries productrices de bétalactamases à spectre élargi (EBLSE) dont la progression devient inquiétante. L'objectif de cette étude était de déterminer la prévalence des entérobactéries sécrétrices de BLSE dans les prélèvements d'urines en péri opératoire de chirurgie urologique. Il s'agissait d'une étude rétrospective réalisée au centre hospitalier universitaire Ibn Sina de Rabat sur une période de 19 mois. N'ont pas été inclus  dans cette étude, les prélèvements urinaires réalisés à dans un laboratoire externe. Les données  étaient traitées avec le logiciel SPSS, les comparaisons faites par test du Khi deux ou de Student  avec un seuil de risque alpha fixé à 5%. Sur 830 prélèvements positifs 656 étaient des entérobactéries soit 79 % des germes isolés. E.coli représentait 53,2%, K.pneumoniae 28%, E.cloacae 7,8% et P.mirabillis 7%. Les producteurs de BLSE représentaient 17,5% de l'échantillon avec: E.coli (12,3%), K.pneumoniae (23,6%), E.cloacae (39,2%) et P.mirabillis (6,7%). On note une augmentation  de la prévalence des entérobactéries BLSE entre 2008 et 2009 : respectivement de 14,4% à 22,3% des entérobactéries isolées; pour E.coli de 32,76% à 40,68% et pour K.pneumoniae de 34,48% à 42,37%. Plusieurs facteurs de risque d'acquisition des EBLSE sont rapportés dans la littérature, dont principalement l'utilisation antérieure d'antibiotiques par ces patients.  Une politique de gestion rationnelle des antibiotiques  en  ambulatoire et  au sein des établissements de santé  contribuera à une réduction de l'émergence des germes résistants


2019 ◽  
Vol 11 (3) ◽  
pp. 135-141
Author(s):  
O.-B. Tchagbele ◽  
K.E. Djadou ◽  
K.E.R. Segbedji ◽  
F. Agbeko ◽  
K.D. Azouma ◽  
...  

Introduction : Les soins maternels kangourou favorisent une meilleure prise en charge des nouveau-nés de faible poids de naissance (FPN). L’objectif de cette étude était d’évaluer la qualité des soins offerts dans l’unité kangourou du centre hospitalier universitaire Sylvanus-Olympio (CHU-SO) de Lomé au Togo. Matériel et méthodes : Il s’est agi d’une étude transversale qui s’est déroulée du 1er mars au 31 août 2017 portant sur 500 mères de nouveau-nés de FPN dans l’unité de néonatologie du CHU-SO de Lomé. Les aspects sociodémographiques et ceux liés à la qualité des soins dans l’unité ont été évalués. Résultats : L’âge moyen des mères était de 28,8 ± 5,8 ans avec des extrêmes de 15 et 42 ans. Les mères ont déclaré dans 99 % des cas ne pas connaître l’existence de l’unité ; pourtant, 45,6 et 82,2 % d’entre elles avaient déjà soit présenté une menace d’accouchement prématuré, soit accouché d’un nouveau-né prématuré. Les mères étaient satisfaites de l’unité kangourou dans une forte proportion (62 %), même si seulement un peu plus de la moitié (51,6 %) d’entre elles avaient des informations sur leur(s) nouveau-né(s). En revanche, un faible taux de satisfaction était enregistré pour la communication avec les personnels (20 %) et les conditions de confort (45,2 %). Soixante-dix pour cent (70 %) des mères estimaient être prêtes à prendre en charge leur nouveau-né à domicile avant la sortie de l’unité. Conclusion : La satisfaction des patientes de l’unité dépend du fonctionnement, de l’organisation et de l’environnement de l’unité.


Sign in / Sign up

Export Citation Format

Share Document