système visuel
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Galaxies ◽  
2021 ◽  
pp. 5-57
Author(s):  
Ronald BUTA
Keyword(s):  

La classification des formes des galaxies dans un système visuel bien défini est une étape cruciale dans l’étude des galaxies en tant qu’objets physiques. Le système complet de Hubble-Sandage révisé par de Vaucouleurs (CVRHS) est actuellement l’approche la plus détaillée qui puisse être appliquée efficacement à plus de 95 % de toutes les galaxies. Ce texte décrit les différents types de galaxies et les facteurs qui peuvent déterminer leurs diverses caractéristiques morphologiques.


2021 ◽  
pp. 137-169
Author(s):  
Pascal LEFÈVRE ◽  
Philippe CARRÉ ◽  
David ALLEYSSON
Keyword(s):  

Ce chapitre présente les différentes stratégies permettant d'assurer l'invisibilité d'un message enfoui dans une image couleur. Le terme invisibilité concerne ici l'aspect visuel. Nous présentons ici les différentes solutions qui ont été développées tentant de prendre en compte l’aspect la modélisation du système visuel humain (SVH), afin de limiter les dégradations pour les images couleur. Nous verrons que le défi se traduit par le bon choix de la direction couleur d'insertion, même lorsque la méthode repose sur une représentation dédiée à la couleur (comme avec les Quaternions).


2019 ◽  
Vol 81 (4) ◽  
pp. 60-67
Author(s):  
Paul Rollett ◽  
Garrett Morandi
Keyword(s):  

La dysfonction oculomotrice est un symptôme courant du syndrome de post-commotion (SPC). Dans cette étude, on a étudié rétrospectivement l’efficacité de la thérapie visuelle (TV) pour le traitement des symptômes liés au SPC par rapport au système visuel. Dans l’ensemble, 56 patients ont été sélectionnés, qui présentaient tous une déficience sur le plan clinique d’au moins une mesure du fonctionnement oculomoteur. Les activités liées à la TV étaient grandement variées et établies au cas par cas, mais elles visaient toutes à améliorer l’une des cinq principales fonctions visuelles. À la suite de la TV, tous les patients ont démontré des améliorations statistiquement ou cliniquement significatives, comme définies par l’utilisation des normes de Morgan, dans au moins une mesure du fonctionnement oculomoteur lié au SPC. En général, les améliorations les plus importantes des mesures du fonctionnement oculomoteur concernaient le point de convergence proche, la flexibilité de vergence et la flexibilité d’accommodation. Les patients qui ont suivi 20 séances de TV avaient de meilleurs résultats (aussi moins variables) que ceux qui ont suivi entre 5 et 10 séances. De plus, la TV a diminué les symptômes d’inconfort visuel chez les patients qui présentaient un SPC. Les résultats de cette analyse rétrospective démontrent des améliorations importantes dans les résultats mesurés pour tous les patients qui ont suivi une TV et appuient la TV comme option de traitement pour les symptômes du SPC.


2014 ◽  
Vol 29 (S3) ◽  
pp. 578-578 ◽  
Author(s):  
A. Poisson

Les hallucinations dans la maladie de Parkinson sont une complication relativement fréquente au stade des complications cognitives de la maladie. Étant généralement peu inquiétantes, le sujet ne les rapportera pas toujours spontanément. Pourtant, elles peuvent en effet signer l’entrée dans une psychose ou une démence parkinsonienne. Elles grèvent la qualité de vie du patient, de son entourage et parfois mettent en péril le maintien à domicile des sujets. Elles ne doivent donc pas êtres négligées. Classiquement les hallucinations dans la maladie de Parkinson sont d’abord visuelles, parfois mineures (simples de passage à la périphérie du champ visuel) ou au contraire très élaborées.Leur physiopathologie demeure imparfaitement connue. L’atteinte visuelle centrale, et notamment au niveau de l’intégration des données visuelles semble jour un rôle majeur. Cependant, d’autres systèmes dont le fonctionnement est perturbé dans la maladie de Parkinson sont impliqués dans la survenue des hallucinations : système visuel périphérique (rétine), voies régulatrices du cycle veille sommeil et notamment du sommeil paradoxal et enfin le système frontal et notamment exécutif.La prise en charge des hallucinations dans la maladie de Parkinson est relativement stéréotypée. Il faut tout d’abord dépister pour les éliminer les facteurs favorisants, notamment de type médicamenteux ou métabolique. Si les hallucinations persistent, le traitement antiparkinsonien doit être revu rapidement avec en priorité la diminution ou l’arrêt des anticholinergiques, des agonistes dopaminergiques et de l’amantadine, puis des inhibiteurs de la catéchol-O-méthyltransférase (COMT) et de la monoaminoxydase B (MAO B). Au besoin, les doses de dopamine peuvent être diminuées. Ces adaptations thérapeutiques permettent en général de contrôler les hallucinations, parfois au détriment de l’état moteur. Malgré tout, si les hallucinations persistent, un traitement neuroleptique par petites doses de clozapine peut être indiqué avec en générale une excellente efficacité.


2011 ◽  
Vol 111 (04) ◽  
pp. 753 ◽  
Author(s):  
Emmanuelle Ménétrier ◽  
André Didierjean ◽  
Évelyne Marmèche
Keyword(s):  

2011 ◽  
Vol Vol. 111 (4) ◽  
pp. 753-773
Author(s):  
Emmanuelle Ménétrier ◽  
André Didierjean ◽  
Évelyne Marmèche
Keyword(s):  

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