Une encéphalite limbique à anti-GAD-65 révélée en post-partum : rapport de cas et revue de la littérature

Author(s):  
C. Desjardins ◽  
M. Yger ◽  
C. Benoit ◽  
S. Alamowitch
2015 ◽  
Vol 25 (17) ◽  
pp. 1191-1203 ◽  
Author(s):  
A. Villot ◽  
X. Deffieux ◽  
G. Demoulin ◽  
A.-L. Rivain ◽  
C. Trichot ◽  
...  

2016 ◽  
Vol 26 (7) ◽  
pp. 385-394 ◽  
Author(s):  
B. Gachon ◽  
D. Desseauve ◽  
L. Fradet ◽  
A. Decatoire ◽  
P. Lacouture ◽  
...  

2015 ◽  
Vol 44 (4) ◽  
pp. 418-424 ◽  
Author(s):  
Florence Gressier ◽  
Myriam Tabat-Bouher ◽  
Odile Cazas ◽  
Patrick Hardy

2015 ◽  
Vol 30 (S2) ◽  
pp. S126-S126
Author(s):  
A. Letranchant ◽  
O. Cazas ◽  
P. Hardy ◽  
A.L. Sutter-Dallay ◽  
B. Falissard ◽  
...  

IntroductionLa dépression du post-partum (DPP) est une pathologie multifactorielle survenant chez 13 à 15 % des femmes dans l’année suivant l’accouchement . Les évènements de vie stressants ont été identifiés comme facteur de risque. Parallèlement, le recours aux traitements pour infertilité ne cesse de croître . Actuellement en France, 1 naissance sur 40 est issue de la procréation médicalement assistée (PMA). Lors de la procédure, le parcours peut être une source de stress chez la femme . Nous avons émis l’hypothèse que le risque de symptômes dépressifs et/ou DPP après aide médicale à la conception pourrait être majoré.MéthodesNous avons réalisé une revue de la littérature des études comparant la survenue de symptômes dépressifs dans le post-partum et/ou DPP entre traitement pour infertilité et grossesse spontanée à partir des bases de données Pubmed, ISI Web of Knowledge et PsycINFO jusqu’en décembre 2014. Nous avons ensuite effectué une méta-analyse des données disponibles sur DPP et aide à la conception, et une méta-analyse secondaire se focalisant sur la PMA (logiciel RevMan5).RésultatsNotre revue de la littérature, prenant en compte 18 études, ne met pas en évidence de risque majoré de symptômes dépressifs et/ou de DPP après traitement pour infertilité. Notre méta-analyse sur la DPP, prenant en compte 8 études (n = 2451), ne montre pas de différence significative entre aide médicale à la conception et grossesse spontanée (OR = 0,93 [0,67–1,31], z = 0,40, p = 0,69), sans hétérogénéité entre les études. La méta-analyse secondaire concernant les PMA, sur 6 études (n = 1773), ne retrouve également pas d’association (OR = 1,04 [0,71–1,52], z = 0,18, p = 0,86).DiscussionNotre étude ne montre pas de risque majoré de DPP après aide médicale à la conception. D’autres études sont nécessaires afin de mieux connaître les spécificités des DPP après traitement pour infertilité (selon la technique utilisée, l’origine ou la nature de l’infertilité).


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