Stimulation cognitive chez les personnes âgées : effets d’une méthode de stimulation cognitive par les jeux sur les fonctions cognitives et l’estime de soi

Author(s):  
E. Grimaud ◽  
D. Clarys ◽  
S. Vanneste ◽  
L. Taconnat
2014 ◽  
Vol 29 (S3) ◽  
pp. 576-576
Author(s):  
A. Ionita

La transition vers le grand âge s’accompagne des modifications neurobiologiques, physiques, psychologiques et environnementales augmentant le risque de décompensation psychiatrique. Cette vulnérabilité psychique du sujet âgé intègre des dimensions multiples endophénotypiques (génétiques, épigénétiques), diachroniques (traumas précoces, expériences de vie passées) et synchroniques (facteurs de stress actuels liés à la transition vers le grand âge). Les troubles psychiatriques, sous diagnostiqués dans ce groupe d’âge sont représentés notamment par la dépression, suivie des troubles anxieux, abus de substance et suicide. Un des mécanismes neurobiologiques impliqué dans cette vulnérabilité psychique du sujet âgé est la perturbation de l’axe du stress (hypothalamo-hypophyso-surrénalien) [1]. Deux profiles sont retrouvés dans la dépression chez la personne âgée : une hypercortisolemie urinaire, marquer de vulnérabilité à la dépression a tout âge et l’hypocortisolemie urinaire retrouvée chez des personnes âgées déprimés avec plus de fragilités physiques [2]. L’ hypercortisolémie sérique est une cause possible d’atrophie hippocampique secondaire, la dépression du sujet âgé représentant ainsi un facteur de risque important d’une démence ultérieure [3]. La relation dépression tardive/démence est probablement bidirectionnelle, la physiopathologie de la maladie Alzheimer pouvant induire une atrophie hippocampique, les symptômes dépressifs représentent alors un prodrome du processus neurodégénératif.La dépression représente le trouble psychiatrique le plus fortement associé aux conduites suicidaires chez la personne âgée (60–90 % des cas). La vulnérabilité suicidaire chez le sujet âgé semble avoir comme mécanismes étiopathogénique spécifique le vieillissement pathologique [4]. L’atrophie cérébrale au cours du vieillissement affecte les circuits connectant le cortex frontal aux noyaux gris centraux qui jouent un rôle important dans la régulation des comportements, des émotions et des fonctions cognitives complexes.Détecter la vulnérabilité psychique chez le sujet âgé est particulièrement pertinent dans une démarche de screening des patients à risque pour lesquels des mesures thérapeutiques spécifiques doivent être proposées.


Praxis ◽  
2016 ◽  
Vol 105 (20) ◽  
pp. 1205-1212
Author(s):  
Olga Papaefthymiou ◽  
Sylvain N’Guyen ◽  
Cindi Smith ◽  
Christophe Büla ◽  
Jean François Demonet ◽  
...  
Keyword(s):  

Zusammenfassung. Zur Abklärung und Behandlung von kognitiver Dysfunktion empfehlen schweizerische Guidelines ein Screening auf eine mögliche Schilddrüsendysfunktion. Die Rolle des Schilddrüsenhormons bei normaler zerebraler Funktion sowie in der Pathogenese der kognitiven Dysfunktion bei Erwachsenen und insbesondere bei betagten Menschen wird jedoch kontrovers diskutiert. Basierend auf Daten der jüngsten Literatur geben wir einen Überblick hierzu.


2019 ◽  
Vol 29 (2) ◽  
pp. 135-158
Author(s):  
Anh Tu Hoang ◽  
Philippe Apparicio ◽  
Thi-Thanh-Hien Pham

L’objectif de cet article est de poser un diagnostic d’équité environnementale quant à l’accessibilité aux parcs à Ho Chi Minh Ville (HCMV) pour quatre groupes de population (les enfants, les personnes âgées, les personnes faiblement et hautement scolarisées). Pour ce faire, deux mesures d’accessibilité calculées à partir de la distance réticulaire sont mises en œuvre dans les SIG : la distance au parc le plus proche (proximité immédiate) et la méthode du enhanced two-step floating catchment area (disponibilité en fonction de l’offre et de la demande). Puis, plusieurs modèles de régression sont construits avec, comme variables dépendantes, les mesures d’accessibilité et, comme variables indépendantes, les pourcentages des quatre groupes. Les résultats montrent que l’accessibilité aux parcs est très faible à HCMV : en moyenne, les habitants résident à 1,879 kilomètre du parc le plus proche et on retrouve uniquement 0,286 hectare de parc pour 1 000 habitants dans un rayon de deux kilomètres. De plus, les jeunes enfants subissent une double iniquité avec de plus faibles proximité et disponibilité de parcs comparativement au reste de la population.


1995 ◽  
Vol 34 (3) ◽  
pp. 103-122 ◽  
Author(s):  
Laurent Caussat ◽  
Pascale Genier
Keyword(s):  

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