Investigation chez le rat de l’interaction pharmacodynamique impliquée dans la dépression respiratoire attribuée à la combinaison diazépam/buprénorphine

2018 ◽  
Vol 30 (3) ◽  
pp. 184-185
Author(s):  
D. Vodovar ◽  
L. Chevillard ◽  
G. Pottier ◽  
S. Auvity ◽  
F. Caillé ◽  
...  
2009 ◽  
Vol 7 (1) ◽  
pp. 129-151
Author(s):  
Nancy Légaré

Résumé Les médicaments en vente libre (MVL), disponibles sans ordonnance, sont considérés par les professionnels de la santé et la population en général comme des produits sans danger, comportant peu d’effets indésirables. Certains d’entre eux possèdent des propriétés psychotropes et peuvent être utilisés dans un contexte récréatif par une minorité d’individus. Les catégories de MVL les plus souvent abusées sont les antitussifs, les antihistaminiques et les décongestionnants. Parmi les produits les plus populaires, citons le dextrométhorphane, le dimenhydrinate, la chlorphéniramine et la pseudoéphédrine. Les principaux effets psychotropes engendrés par ces substances incluent l’euphorie, les hallucinations, une stimulation et l’augmentation de la vigilance. Les effets indésirables les plus fréquents comprennent la tachycardie, l’hypertension, l’irritabilité, l’agitation et les troubles de la coordination. Des effets plus sévères comme la psychose, les convulsions, la dépression respiratoire, le coma et la mort peuvent également survenir. Les enfants et les adolescents comptent pour la majorité des consommateurs de ce type de médicaments dans un but récréatif. En plus d’abus, des cas de dépendance ont aussi été décrits avec les MVL. Conséquemment, il apparaît important de reconnaître l’abus de MVL et d’intervenir de façon appropriée auprès des individus concernés.


2009 ◽  
Vol 28 (10) ◽  
pp. 903-904 ◽  
Author(s):  
F. Bourgeade ◽  
M. Payen ◽  
C. Daigremont ◽  
J.-M. Malinovsky

2009 ◽  
Vol 28 (7-8) ◽  
pp. 701-703 ◽  
Author(s):  
A.F. Ouro-Bang’na Maman ◽  
H.D. Sama ◽  
F. Alassani ◽  
P. Egbohou ◽  
M. Chobli

2010 ◽  
Vol 22 (3) ◽  
pp. 123-128 ◽  
Author(s):  
Luc Humbert ◽  
Jean François Wiart ◽  
Alexandra Binoche ◽  
Raphaël Cornez ◽  
Delphine Allorge ◽  
...  

2021 ◽  
Author(s):  
V. Martinez

Utilisée en anesthésie depuis les années 1960, la kétamine a montré son intérêt particulier par l’absence de dépression respiratoire et par le maintien de la stabilité hémodynamique. Elle se positionne comme une substance de choix dans l’anesthésie de guerre, de catastrophe et d’urgence. La kétamine a longtemps souffert d’une mauvaise image du fait de ses effets secondaires psychodysleptiques. Dans les années 1990, la kétamine a connu un regain d’intérêt au bloc opératoire avec l’émergence de l’analgésie multimodale. Utilisée à dose subanesthésique, elle devient l’antihyperalgésique de choix. Elle présente le meilleur rapport bénéfice/risque avec une épargne morphinique importante, plus particulièrement dans les chirurgies les plus traumatiques. À ce jour, les études suggèrent que son effet antihyperalgésique dans la période périopératoire permettrait de prévenir les douleurs chroniques postopératoires. Les mécanismes d’action de la kétamine sont nombreux, elle n’agit pas seulement sur les récepteurs NMDA, mais elle a une action ubiquitaire sur le système nerveux central, en particulier dans la neuro-inflammation, qui a été étudiée récemment en périopératoire. Ces mécanismes ouvrent de nouvelles perspectives de recherche dans la dépression et les troubles cognitifs postopératoires.


1984 ◽  
Vol 3 (3) ◽  
pp. 237 ◽  
Author(s):  
M. Starkman ◽  
A. Abergel ◽  
J.L. Sebbah ◽  
T. Marsepoil

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