Les perspectives de l'énergie nucléaire dans le cadre des changements climatiques

Author(s):  
Robert Dautray
2007 ◽  
pp. 85-92
Author(s):  
A. Heduit ◽  
R. Pujol ◽  
B. Tisserand ◽  
X. Delebarre ◽  
T. Pichard

1965 ◽  
Vol 20 (5) ◽  
pp. 899-922 ◽  
Author(s):  
Emmanuel Le Roy Ladurie

Ces dernières années, diverses réunions scientifiques ont pris pour thème de leurs discussions les fluctuations climatiques récentes : ainsi, une conférence, convoquée à New York en 1961, sous les auspices de la société météorologique américaine, a étudié les changements climatiques et les phénomènes géophysiques s'y rapportant. Le colloque international d'Obergürgler (septembre 1962) s'est consacré aux « variations des glaciers existants » et aux causes qui déterminent ces variations. Quant à la conférence d'Aspen (Colorado, juin 1962), organisée par le Comité de Paléoclimatologie de l'Académie des Sciences des États-Unis, elle se situe dans le même courant de recherche fondamentale : son objet, c'est, en effet « le climat des XIe et XVIe siècles ».


2014 ◽  
Vol 44 (1) ◽  
pp. 7-80 ◽  
Author(s):  
Jacques Papy

Le 1er janvier 2012, le Québec a lancé, dans le cadre de la Western Climate Initiative, un système de plafonnement et d’échange de droits d’émission de gaz à effet de serre (SPEDE), l’un des premiers systèmes du genre en Amérique du Nord. Le SPEDE est la clé de voûte de la politique de la province en matière de lutte contre les changements climatiques. Il appartient cependant à une catégorie d’instruments économiques de protection de l’environnement encore peu connue de la communauté juridique québécoise. Son étude paraît donc d’une grande actualité. L’article a pour objectif de proposer une première analyse des règles qui encadrent le SPEDE, à la lumière des enseignements de l’analyse économique du droit. L’analyse permet de dresser une nomenclature cohérente et intelligible des règles du SPEDE structurée autour de leur utilité dans l’échange de droits d’émission. Elle fait ainsi ressortir les stratégies de diversification de l’échange, d’institutionnalisation de ses modalités, ainsi que les enjeux de la surveillance du marché du carbone dans un contexte de fragmentation des autorités de tutelle.


Author(s):  
Massimiliano Grava ◽  
Nicola Gabellieri ◽  
Giancarlo Macchi Janica

L’analyse des sources géohistoriques pour l’étude de la saisonnalité rurale du passé et des changements climatiques a commencé à susciter l’intérêt de la recherche internationale. Plusieurs chercheurs réclament de nouvelles sources afin de concevoir un cadre interprétatif qualitatif ou quantitatif. Dans cet esprit, l’article présente une élaboration cartographique d’un cadastre créé par le Grand-Duché de Toscane au XIXe siècle et auparavant inconnu, qui contient la liste de tous les produits agricoles et leurs temps de maturation dans les communautés toscanes. Sur la base de la cartographie du XIXe siècle, les données du registre ont été numérisées et géolocalisées à l’aide d’applications d’applications basées sur un SIG. Cette source permet de reconstituer la distribution spatiale et temporelle des semaines nécessaires dans le passé pour que ces produits murissent dans différentes régions de la Toscane. Ensuite, les périodes pendant lesquelles les espèces herbacées et arborées atteignaient la maturité et où elles étaient commercialisées ont été cartographiées. L’analyse montre qu’il existe entre les régions toscanes, au XIXe siècle, de nombreuses différences que les facteurs environnementaux ne suffisent pas à expliquer. De plus, l’examen des périodes de maturation du châtaignier entre le XIXe siècle et aujourd’hui nous permet d’étudier les effets de la hausse des températures sur la maturation. Pour conclure, nous présentons un portail SIG en ligne où les disciplines intéressées par la phytologie peuvent consulter les données.


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