Traitement mini-invasif du sinus pilonidal infecté par laser (SiLaT ou Sinus Laser Therapy) : un traitement au poil près ?

2020 ◽  
Vol 14 (4) ◽  
pp. 227-233
Author(s):  
L. Spindler ◽  
N. Fathallah ◽  
E. Pommaret ◽  
A.L. Rentien ◽  
A. Alam ◽  
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Le SiLaT ou Sinus Laser Therapy est une nouvelle technique mini-invasive pour le traitement du sinus pilonidal infecté. Il consiste à obturer le sinus par une application radiale sur 360° d’une énergie laser. Le matériel employé est similaire à celui utilisé pour le traitement laser des fistules anales (procédure FiLaC™). Les premiers résultats publiés dans des séries ouvertes sont encourageants. La cicatrisation est rapide, autour d’un mois et le taux de guérison à un an supérieur à 80 %. Le traitement est très bien toléré et réalisé en ambulatoire. De surcroît, les suites postopératoires sont simples et peu ou pas douloureuses. Aucune complication grave n’a été décrite. La seule précaution d’utilisation est de s’assurer de l’absence d’abcès aigu qui nécessiterait une incision de drainage au préalable. Cette technique peut être proposée à tout type de sinus pilonidal infecté et même en cas de récidive après une chirurgie antérieure ou d’échec d’un premier traitement laser. Des études plus rigoureuses, comparatives et avec un suivi prolongé, sont nécessaires afin de confirmer ces résultats à plus long terme.

1990 ◽  
Vol 23 (1) ◽  
pp. 123-164 ◽  
Author(s):  
Philip L. Bailin ◽  
John L. Ratz ◽  
Ronald G. Wheeland
Keyword(s):  

2009 ◽  
Vol 40 (6) ◽  
pp. 38
Author(s):  
MIRIAM E. TUCKER

2011 ◽  
Vol 42 (9) ◽  
pp. 16-17
Author(s):  
SHARON WORCESTER
Keyword(s):  

1995 ◽  
Vol 14 (1) ◽  
pp. 75-81 ◽  
Author(s):  
Karen F. Rothman

1985 ◽  
Vol 3 (1) ◽  
pp. 93-100 ◽  
Author(s):  
Garrett Lee ◽  
Ming C. Chan ◽  
Richard M. Ikeda ◽  
Marshall H. Lee ◽  
Robert L. Reis ◽  
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2019 ◽  
pp. 137-154
Author(s):  
E. Berthier ◽  
J.-S. Finck ◽  
A. Le Gall ◽  
R. Wagner ◽  
A. Gérolin ◽  
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Keyword(s):  

Le développement des systèmes d’assainissement s’appuie souvent sur des structures construites il y a plusieurs décennies. Ceux-ci font face à une augmentation des niveaux d’exigence qui leur sont assignés. C’est notamment le cas en France des performances des systèmes de collecte par temps de pluie avec la parution de l’arrêté du 21 juillet 2015 relatif aux systèmes d’assainissement. En collaboration avec l’Agence française pour la biodiversité (AFB), le Groupement pour l’évaluation des mesures en continu dans les eaux et l’assainissement (Gemcea), le ministère de la Transition écologique et solidaire et les agences de l’eau, le Centre d’études et d’expertise sur les risques, l’environnement, la mobilité et l’aménagement (Cerema) a mené le projet REx-BO consistant en un vaste retour d’expériences sur les bassins d’orage implantés sur les réseaux d’assainissement unitaires. L’objet du projet était de comprendre, à partir de la littérature et de travaux de terrain, comment les gestionnaires/exploitants avaient eu recours à cette technique pour optimiser le fonctionnement de leur système, notamment par temps de pluie, et de collecter des informations techniques et financières quant au fonctionnement, à la conception, au dimensionnement et à l’efficacité de ce type d’ouvrages. À travers une recherche bibliographique générale, des entretiens réalisés auprès de 17 maîtres d’ouvrage/exploitants, et un focus spécifique réalisé sur les usages de la métrologie autour des bassins d’orage, le projet a permis de tirer de nombreux éléments et enseignements à l’intention des acteurs opérationnels. Cet article présente le contexte et la méthodologie du retour d’expérience. Les principaux éléments sont ensuite synthétisés, notamment ceux relatifs à la conception, au dimensionnement, à la métrologie, ainsi que les points d’attention majeurs à considérer pour assurer le bon fonctionnement d’un ouvrage. L’article souligne tout d’abord l’intérêt d’inscrire la réalisation d’un (ou plusieurs) bassin(s) d’orage dans une stratégie globale de gestion du système d’assainissement. Pour ce qui concerne la conception et le dimensionnement, l’étude a permis de mettre en lumière un recours fréquent à des logiciels d’hydraulique urbaine, qui semble même être quasi systématique pour les ouvrages de taille importante.


2012 ◽  
Vol 25 (01) ◽  
Author(s):  
A Klein ◽  
G Shafirstein ◽  
E Kohl ◽  
W Bäumler ◽  
M Landthaler ◽  
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1962 ◽  
Vol 08 (03) ◽  
pp. 406-424 ◽  
Author(s):  
Alina Janiak ◽  
J.-P Soulier
Keyword(s):  

RésuméUne méthode d’adsorption préférentielle du facteur VIII à partir du plasma ACD par le phosphate tricalcique à pH 6 est décrite. Le facteur VIII est élue et concentré par fractionnement alcoolique. Afin de stabiliser le facteur VIII, au cours de la préparation, on ajoute 5 mg/cm3 d’acide epsilon-amino-caproïque.Le produit final contient 3 à 10 fois l’activité d’un même volume de plasma ACD (la concentration par mg de protéines est en moyenne de 30 à 50 fois). Le rendement moyen est de l’ordre de 60 p. 100. A côté du facteur VIII, la fraction contient environ la moitié du facteur IX et 20 à 30% de complexe VII; par contre, il est à peu près totalement dépourvu de fibrinogène.Des recherches demeurent nécessaires afin d’apprécier si cette technique peut être appliquée à un fractionnement semi-industriel.


Author(s):  
VARSHA PALLED ◽  
DR. JITENDRA RAO ◽  
DR. RAGHUWAR DAYAL SINGH ◽  
DR. SHUCHI TRIPATHI ◽  
DR. KALPANA SINGH ◽  
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The purpose of this study was to evaluate whether Low-Level Laser Therapy (LLLT) improves the healing of the implant surgical site with clinical and biochemical parameters.Thirty patients with an edentulous space spanning a single tooth were selected. The patients were randomly allocated to two groups - the control group and the test group. The test group received laser energy at a power of 2J/cm 2 with a total of 4-6J energy over each implant. Clinical parameters (Implant Stability Quotient, probing index, modified sulcus bleeding index)and osteoprotegerin (OPG) were assessed at baseline and follow-up intervals (2 weeks, 6 weeks, and 3 months).The test group showed significantly higher implant stability quotient compared to thecontrol group at 2 weeks(57.93±3.95 and 35.67±3.08; p<0.01) and 3months(58.86±3.75 and 67.06±3.78; p<0.01). A significant rise in OPG levels of the test group(686.30±125.36pg/ml at baseline and 784.25±108.30pg/ml at 3months;p<0.01) was seen contrary to significant decline in the control group (839.50±249.08pg/ml at baseline,415.30±78.39pg/ml at 3months;p<0.01). Within the limitations of the study, the study suggests that the healing of peri-implant hard and soft tissues may be enhanced with the use of LLLT as an explicit modality during the post-operative period.


2020 ◽  
Vol 69 (3) ◽  
Author(s):  
Paulo Esteves Pinto Faria ◽  
Astrid Temprano ◽  
Fábio Piva ◽  
Eduardo Sant'ana ◽  
Dênis Pimenta

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