scholarly journals La classe media brasiliana e l’archetipo del pregiudizio di classe

Author(s):  
Daniel Florence Giesbrecht
Keyword(s):  

Questo articolo ha lo scopo di elaborare una ricostituzione storica, dal seriale a lungo termine, la formazione della classe media brasiliana e anche il suo archetipo di pregiudizio di classe. Abbiamo usato come punto di partenza per la nostra riflessione il fatto che il Brasile ha vissuto più di trecento anni di schiavitù, che ha fatto la profusione di un immaginario razzista, con conseguente pregiudizio e naturalizzato alle popolazioni afrodiscendenti, oltre ad essersi esteso al povero cittadino, in generale. Cerchiamo di mettere in relazione in modo storicista gli oggetti studiati ai concetti sociologici della socializzazione, oltre a caratterizzare le idee borghesi della classe media e delle élite brasiliane dalla storia delle mentalità. Intendiamo contribuire a una migliore comprensione degli ostacoli creati dalla mancanza di pratiche di alterità nelle relazioni sociali quotidiane. Parole chiave: Classe sociale, pregiudizio, schiavitù, esclusione sociale, alterità.

1962 ◽  
Vol 4 (1) ◽  
pp. 1-14 ◽  
Author(s):  
Suzanne Keller ◽  
Marisa Zavalloni
Keyword(s):  

1989 ◽  
Vol 54 ◽  
Author(s):  
J. Reh ◽  
N. Lust

Des  mesurages des caractères morphologiques, biométriques et analitiques, ainsi  de processus de croissance ont été exécutés dans deux fourrés de hêtre, issus  d’une régénération naturelle dans la forêt de Soignes.     Le but de la recherche était de caractériser les brins de hêtre en fonction  de leur âge et de l’étage social auquel ils appartiennent.     Les résultats permettent de conclure que les fourrés sont d’une bonne  qualité et qu’ils descendent d’une provenance convenable. Ils permettent aussi  de mettre en graphique les arbres modèles de chaque groupe d’âge et de chaque  classe sociale.


1982 ◽  
Vol 23 (2) ◽  
pp. 329
Author(s):  
Jean-René Tréanton ◽  
François Gresle ◽  
Jean-Rene Treanton ◽  
Francois Gresle
Keyword(s):  

2005 ◽  
Vol 40 (3) ◽  
pp. 9-23 ◽  
Author(s):  
Lise Noël
Keyword(s):  

Le propos de cet article est d'ébaucher une problématique de l'intolérance et de l'oppression par la voie de deux objectifs : soulever la question des causes de ces phénomènes et essayer de déterminer s'il existe une oppression fondamentale. Un tour d'horizon des causes nous apprend très vite que les « explications » fournies décrivent beaucoup plus un enchaînement qu'elles ne remontent aux origines. Déterminer la part de la « nature humaine » dans les rapports de domination, par exemple, est un défi insoluble. Théoriciens et gens d'action gagnent donc à se pencher sur le comment plutôt que sur le pourquoi de l'intolérance. En ce sens, on peut se demander s'il est une oppression plus fondamentale que les autres. Et en effet, parce qu'on ne peut en changer, celle qui porte sur l'identité est plus essentielle que celle qui s'articule autour des manières de penser ou d'agir. Or, l'analyse comparée permet de conclure que, parce qu'ils décuplent tous les autres, les rapports de domination fondés sur le sexe sont, non pas plus fondamentaux, mais plus universels que ceux qui reposent sur l'âge, la classe sociale, la condition physique ou mentale, l'ethnie / « race » ou l'orientation sexuelle.


Author(s):  
Maurice Moreau

L’approche structurelle que l’auteur a développée vise deux objectifs : réduire la distance sociale entre l’intervenante et la cliente, comprendre et résoudre les problèmes sociaux dans leur contexte social, politique et économique. Le postulat de base est que les conditions matérielles objectives engendrées par le patriarcat et le mode de production capitaliste déterminent la façon dont les hommes et les femmes, selon leur classe sociale, pensent et agissent. À travers le récit critique de son cheminement de formation, l’auteur expose comment divers modèles de thérapie familiale (Epstein, Minuchin, Satir) et d’intervention de réseau lui ont permis d’élaborer de façon critique son propre modèle d’approche structurelle.


2007 ◽  
Vol 43 (1) ◽  
pp. 83-100
Author(s):  
Mathilde Dargnat

Dans cet article, je discute les principaux procédés graphiques utilisés par Michel Tremblay pour rendre compte des particularités orales de langue de ses personnages, en me concentrant sur cinq pièces. Je m’intéresse plus précisément aux procédés graphiques qui permettent une « mise en texte » des caractéristiques communicationnelles de l’oralité et de ses variations. Ces éléments sont de trois ordres, en rapport avec le dispositif discursif particulier de la littérature et du genre dramatique. Je me concentre sur les éléments graphiques qui relèvent de l’échange personnage-personnage. Dans les textes choisis, ces éléments sont souvent associés à une « déraison graphique » (Christin en référence à Goody), c’est-à-dire à une certaine iconicité du langage, mais cette déraison est toute relative. Les « néographies phonétisantes » (Anis) en constituent un exemple majeur. Ces formes, qui sont détournées de l’orthographe pour rendre compte de phénomènes oraux comme le débit ou la variation phonétique, résultent plus d’une négociation avec les contraintes du code écrit, que de leur remise en cause radicale. La plupart des dramaturges qui usent de ce procédé n’inventent pas une nouvelle langue ni de nouveaux graphèmes, ils essaient de rendre compte de la variété linguistique des personnages qu’ils créent, ils bricolent des profils langagiers crédibles pour stigmatiser une classe sociale ou simplement différencier les personnages entre eux.


2003 ◽  
Vol 39 (2) ◽  
pp. 41-51
Author(s):  
John McClelland
Keyword(s):  

De son propre aveu (Essais II, 17) Montaigne n’était pas très sportif. Pourtant, dès la première édition des Essais il y inséra de nombreuses allusions aux sports et de fréquentes métaphores tirées de pratiques athlétiques.De même, pendant son voyage en Allemagne, Suisse et Italie il assista — à une exception près — à toutes les manifestations sportives qui se présentèrent, préférant toutefois celles qui impliquaient la noblesse ou qui lui rappelaient la Rome ancienne. En France à l’époque il y avait très peu de possibilités de regarder des concours athlétiques, et encore moins de parler sport avec des gens de sa classe sociale et intellectuelle. En Italie, il a pu faire les deux, et se réjouissait d’être invité parmi des nobles florentins à discourir un après-midi sur l’escrime.


Politique ◽  
2008 ◽  
pp. 5-36 ◽  
Author(s):  
Susan Judith Ship
Keyword(s):  

Résumé Dans cet article, l’auteure examine la problématique de l’identité et de la différence dans la théorie féministe et le mouvement des femmes du Québec. Les antécédents historiques et la situation actuelle des femmes noires au Québec illustrent les lacunes des principaux modèles de théorisation féministe. Ces modèles ont toujours à rendre compte de la mesure dans laquelle le racisme, les divisions découlant de caractéristiques ethniques, linguistiques et nationales, de pair avec l’appartenance à une classe sociale, façonnent différemment les situations d’oppression fondée sur le sexe que subissent les femmes ainsi que leur résistance à cette oppression. Une des tâches fondamentales que le mouvement des femmes du Québec doit encore accomplir consiste à aborder la diversité du vécu des femmes et les divisions croissantes entre elles.


Sign in / Sign up

Export Citation Format

Share Document