scholarly journals Between private and public law : The contribution of late medieval ius commune to the conceptualisation of diplomatic representation

Author(s):  
Dante Fedele

Cet article examine l’élaboration, par les juristes du ius commune médiéval, d’une notion de représentation diplomatique qui plonge ses racines dans la doctrine de la représentation en droit privé. En particulier, il s’attache à étudier le fondement et les limites des pouvoirs de négociation de l’ambassadeur, par une analyse de quelques questions concernant la procuration et la ratification des traités. La conclusion montre que cette notion de représentation diplomatique joua un rôle central dans la discussion de la matière jusqu’à la fin du XVIIIe siècle, permettant d’apercevoir l’importance de la contribution apportée par le ius commune de la fin du Moyen Âge à la discussion sur le statut de l’ambassadeur au début de l’époque moderne.

1979 ◽  
Vol 34 (5) ◽  
pp. 956-983 ◽  
Author(s):  
Robert Descimon ◽  
Jean Nagle

Hier comme aujourd'hui, quartier désigne une fraction de territoire urbain dotée d'une unité reconnue. Mais cette unité résulte-t-elle d'une réalité géographique (« endroit de ville », dit le Dictionnaire de Richelet), ou d'un acte administratif (« division d'une ville », définit Furetière) ?« Réelle », la tripartition Cité, Ville, Université, traduisait une perception historique et globale de l'espace parisien, effacée des institutions, mais lisible aux consciences. Le cadre politique devait se conformer à la géographie : en 1649, les habitants de l'île Notre-Dame furent d'avis que « l'isle soit divisée en quatre compagnies [de milice] pour les quatre quartiers d'icelle isle ». Ces quatre quartiers étaient les quatre secteurs déterminés par l'intersection des deux axes principaux, la rue des Deux-Ponts et la rue Saint-Louis.


2003 ◽  
Vol 98 (1) ◽  
pp. 210
Author(s):  
Angus J. Kennedy ◽  
Francois Bessire

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