Simulation de l'impact des aérosols sur le rayonnement solaire à Mbour, Sénégal

2012 ◽  
Vol 8 (79) ◽  
pp. 51
Author(s):  
M. S. Drame ◽  
M. Camara
Keyword(s):  
1986 ◽  
Vol 58 (3) ◽  
pp. 43-59
Author(s):  
André Hufty ◽  
L. Davy ◽  
M. Theriault ◽  
O. Cancigh
Keyword(s):  

1959 ◽  
Vol 9 ◽  
pp. 143-148
Author(s):  
B. Vauquois

La composante lentement variable du rayonnement radioélectrique solaire provient de régions d'étendue finie de l'atmosphère du soleil, dans lesquelles la température et la densité électronique sont normalement élevées. Ces régions appelées “centres d'activité radioélectrique” (C.A.R.) ne sont pas connues directement par les observations. En effet, les mesures journalières effectuées avec un radiotélescope fournissent une valeur du rayonnement solaire sur une longueur d'onde qui est la somme du rayonnement de base d'origine thermique de l'atmosphère normale et de l'émission d'un nombre indéterminé de C.A.R. sur cette longueur d'onde.


2005 ◽  
Vol 6 (1) ◽  
pp. 47-61 ◽  
Author(s):  
H. El Halouani ◽  
B. Picoti ◽  
C. Casellas ◽  
G. Pena ◽  
J. Bontoux

L'objectif de cette étude est de comprendre le fonctionnement épuratoire de l'écosystème particulier que constitue le lagunage à haut rendement (LHR) afin de déterminer les principaux facteurs responsables de l'élimination de l'azote et du phosphore. Sur un bassin de 48 m2, alimenté eu eaux usées domestiques préalablement traitées pendant une semaine dans un bassin primaire ont été suivies selon un rythme hebdomadaire les formes carbonées, azotées et phosphorées dis-soutes et particulaires, les variables caractéristiques de l'activité photosynthétiques (chlorophylle a, pH et 02) et les données climatiques (rayonnement solaire et température). Une analyse en composantes principales réalisée sur l'ensemble des résultats a montré, d'une part l'opposition des variables climatiques et photosynthétiques aux formes minérales de l'azote et du phosphore (N-NH4 et P-PO4) et d'autre part l'influence de la charge organique sur le fonctionnement du système. L'évolution des formes azotées et phosphorées présente un effet saisonnier marqué. En hiver ou lors de surcharge organique importante, une augmentation du temps de séjour peut améliorer les rendements épuratoires. L'évolution de la matière organique dissoute est indépendante du cycle saisonnier. Au cours des deux années du suivi on observe une adaptation progressive de l'écosystème à la dégradation de la matière organique. Dans le lagunage à haut rendement l'élimination de l'azote et du phosphore est liée principalement à l'activité algale, qui entraîne une assimilation biologique et une élévation du pH, responsables des phénomènes chimiques de volatilisation de l'azote ammoniacal et de précipitation de phosphate de calcium.


2020 ◽  
Vol 7 (2) ◽  
pp. 151-158
Author(s):  
Henni Chader ◽  
◽  
Hocine Gacem ◽  

L’exposition aux irradiations solaires n’est pas sans risque sur la santé bien que l’homme lui attribue des effets bénéfiques pour l’organisme et une source d’embellissement pour les adeptes du bronzage. Des irradiations électromagnétiques du soleil, les rayons ultraviolets (UV) sont les plus dangereux pour l’organisme malgré qu’ils soient derrière la transformation du 7-déshydrocholestérol en cholécalciférol (D3), une vitamine impliquée grandement dans le métabolisme phosphocalcique. Les innombrables effets délétères que provoque le rayonnement solaire peuvent être d’apparition précoce, retardée ou à long terme ; ils peuvent être bénins comme l’effet coup de soleil ou graves à l’image du cancer de la peau. La réactivité du revêtement cutané vis-à-vis des rayons UV solaires varie avec le phototype qui se trouve sous l’influence de facteur génétique conditionnant la qualité et la quantité de la mélanine synthétisée par les mélanocytes.


2002 ◽  
Vol 53 (2) ◽  
pp. 223-234 ◽  
Author(s):  
Xiaogang Hu ◽  
Wayne H. Pollard ◽  
John E. Lewis

RésuméLa formation de nappes de glace stratifiée est un phénomène hydrologique cou- rant en milieu subarctique. Il résulte de l'accumulation d'écoulements successifs pendant l'hiver. La taille et l'épaisseur des couches de glace sont déterminées par l'interaction entre les systèmes microclimatologique et hydrologique de l'eau de surface. On étudie ici les échanges d'énergie suivant différentes épaisseurs de nappes de glace. Dans le cas d'épaisses nappes d'écoulement, les couches de glace prennent plus de temps à geler entièrement en raison de la plus grande quantité de chaleur latente emmagasinée dans les volumes d'eau. Des températures de l'air plus douces vont davantage ralentir le processus. Dans de telles conditions, l'eau circulant entre le couvert de glace supérieur et la glace sous-jacente procure des quantités d'énergie appréciables. De 60 à 87 % de l'énergie est fournie par l'eau libre. Avec des températures progressivement plus froides, l'englaciation accélérée réduit le temps d'écoulement de l'eau, diminuant ainsi la quantité relative d'énergie fournie par l'eau. Dans ce cas, l'énergie est livrée par la chaleur latente libérée par le gel de l'eau contenue dans la couche de débordement. Dans certaines conditions, l'absortion du rayonnement solaire produit aussi une quantité considérable d'entrée d'énergie dans le régime thermique. Cette énergie est libérée par l'entremise de pertes appréciables de chaleur irradiante. Pendant la formation d'une nappe de glace, la chaleur latente est la moins importante, ne comptant que pour 6 à 17 % de la perte totale de chaleur.


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