scholarly journals Etude ethnobotanique de plantes de la flore du Département d’Abengourou, en Côte d’Ivoire et évaluation in vitro de l’activité antifongique d’extraits de Terminalia superba Engl. Diels sur deux espèces de champignons, Aspergillus niger Van Tieghem et Fusa

2018 ◽  
Vol 12 (3) ◽  
pp. 1208 ◽  
Author(s):  
Ruffin Kouakou Angaman ◽  
Bernadine Marie Arobia Bosson Orsot ◽  
Djeneb Camara ◽  
Kouabenan Abo ◽  
Noël Guédé Zirihi
2017 ◽  
Vol 113 (1) ◽  
pp. 11257 ◽  
Author(s):  
Arthur Stéphane Gnagne ◽  
Djeneb Camara ◽  
N’Guessan Bra Yvette Fofie ◽  
Kouadio Bene ◽  
Guédé Noël Zirihi

2013 ◽  
Vol 317 (317) ◽  
pp. 51 ◽  
Author(s):  
Aurélien Masson ◽  
Jean-Marc Julien ◽  
Luc Boedt

L'importance de l'hévéa (caoutchouc), Hevea brasiliensis, en tant que culture de rente ne cesse d'augmenter justifiant de s'intéresser à de nouvelles techniques de clonage plus efficaces que le greffage (écussonnage) traditionnellement utilisé pour la production industrielle de matériel de plantation de qualité supérieure. Les bonnes performances sur le terrain (croissance rapide, haut rendement) des hévéas produits par embryogenèse somatique n'ont été constatées jusqu'à présent qu'à l'échelle expérimentale. La propagation de masse in vitro par embryogenèse somatique ou microbouturage de clones d'hévéas sur leurs propres racines reste pénalisée par un manque de réactivité de la plupart des génotypes sélectionnés et par des coûts de production prohibitifs. Face à cette situation, la propagation par bouturage de clones matures sélectionnés issus de micropropagation in vitro a été tentée par la SoGB en Côte d'Ivoire comme une alternative possible à l'utilisation exclusive des techniques in vitro. Les deux clones matures industriels, A (70 ans) et B (53 ans), ont d'abord été rajeunis in vitro par embryogenèse somatique puis micropropagés en plus grand nombre par microbouturage. Après acclimatation, les microboutures enracinées in vitro ont été rempotées dans des pots individuels pour être gérées de manière intensive comme pieds-mères destinés au bouturage. Après 3 semaines en conditions horticoles adéquates, les taux d'enracinement obtenus pour les boutures des clones A et B ont été respectivement de 74,6 % (1203/1613) et 76,5 % (198/259). Les racines adventices néoformées étaient généralement vigoureuses. A l'issue d'une phase d'acclimatation réussie, les boutures se sont développées de façon conforme pour atteindre 4 mois plus tard une hauteur de 25-30 cm suffisante pour être plantées au champ. En sus d'une plus grande vigueur et conformité sur le terrain, les clones issus de bouturage peuvent être produits plus rapidement, sur des surfaces plus réduites à moindre coût et dans des conditions de travail plus faciles par rapport aux plantes issus d'écussonnage. Des analyses en cours devraient permettre d'établir les avantages comparatifs des boutures par rapport aux plants écussonnés en ce qui concerne d'autres caractères à fort impact économique tels que le rendement de latex.


2016 ◽  
Vol 9 (6) ◽  
pp. 2633 ◽  
Author(s):  
Adon Basile Yapi ◽  
N’Dja Justin Kassi ◽  
N’Guessan Bra Yvette Fofie ◽  
Guédé Noël Zirihi

2017 ◽  
Vol 13 (3) ◽  
pp. 371 ◽  
Author(s):  
Doga Dabé ◽  
Zirihi Guédé Noël ◽  
Zézé Adolphe

The high cost of fungicides, the international markets standards for agricultural product quality, the environmental issues and consumer health discourage to the application of chemical control. The strategy is therefore to develop alternative solutions, less expensive and addresses environmental concerns. This study was conducted to evaluate the fungicidal potency of Crotalaria retusa L. on Phytophthora sp. and Fusarium solani, two phytopathogenic fungi. This plant was selected after an ethnobotanical study conducted in the sub-prefecture of Lauzoua in Côte d'Ivoire. It is considered to be the most widely used in the treatment of microbial diseases. The phytochemical screening of this legume species was carried out, and showed the presence of saponosides, sterols, tannins, alkaloids, flavonoids, polyphenols, quinones and polyterpenes. The sensitivity of these two phytopathogenic fungi strains was tested in vitro in presence of the aqueous extract of Crotalaria retusa L. by using double dilution method on PDA medium (Potato Dextrose Agar). The minimum inhibitory concentration (MIC) of spawn growth was 1.56 mg/ml for both fungi. The minimum fungicide concentration (CMF) was 6.25 mg/ml for Phytophthora sp and 12.50 mg/ml for Fusarium solani. The presence of chemical compounds in this plant justifies its antifungal activity and its traditional use areas.


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