tumeur bénigne
Recently Published Documents


TOTAL DOCUMENTS

26
(FIVE YEARS 2)

H-INDEX

3
(FIVE YEARS 0)

2021 ◽  
Vol 9 (11) ◽  
pp. 739-741
Author(s):  
Zenab Alami ◽  
◽  
Fatima Zahrae Farhane ◽  
Sara Amrani ◽  
Wissal Hassani ◽  
...  

Le papillome inverse (IP) est un type inhabituel de tumeur benigne marque par une forte agressivite locale, un taux eleve de recidive après chirurgie et un risque imprevisible dassociation a un carcinome epidermoide. Le traitement du papillome inverse degenere est principalement chirurgical associe a une radiotherapie complementaire. Nous rapportant le cas dune patiente agee de 63ans traitee au service de radiotherapie du CHU Hassan II de FES pour un carcinome epidermoide sur papillome inverse.


Author(s):  
J. Sergheraert ◽  
S. Grenier ◽  
C. Mauprivez ◽  
B. Lefevre ◽  
S. Laurence

Les tumeurs des glandes salivaires sont rares et représentent 2 à 6.5 % des néoplasies de la tête et du cou. L’atteinte des glandes salivaires accessoires représente moins de 25% de l’ensemble des tumeurs des glandes salivaires [Auclair et al. 1991]. Les localisations les plus fréquentes sont : le palais, la joue et la région linguale postérieure [Tijoe et al., 2015]. La grande variabilité de l’expression clinique de ces tumeurs rend difficile l’établissement d’un diagnostic précis, d’où l’importance de l’analyse histologique. Le cas d’une tumeur bénigne des glandes salivaires accessoires de la joue est rapporté. Il s’agit d’une femme de 68 ans adressée initialement pour l’exérèse d’une lésion kystique maxillaire. Elle ne présente aucun antécédent médico-chirurgical. L’examen endobuccal révèle la découverte fortuite de plusieurs lésions nodulaires indépendantes et de tailles variables (de 0,5 à 1,5 cm de longueur dans leur grand axe) situées sur la face interne des lèvres et des joues, passées inaperçues par la patiente. La muqueuse de recouvrement est d’aspect normal. L’hygiène bucco-dentaire est défectueuse (PI>50%) et les édentements sont compensés par prothèses amovibles. A la palpation, aucune symptomatologie douloureuse n’est mise en évidence, ni d’adhésion avec les plans profonds. Ces nodules sont fermes, et pour le nodule ayant fait l’objet de l’exérèse, une suppuration apparaît. L’examen exobuccal est sans particularité, les aires ganglionnaires sont libres. L’examen radiographique est sans particularité exceptée la lésion motivant la consultation au niveau du site de 12. Les caractéristiques cliniques peuvent faire évoquer une pseudo-tumeur de glandes salivaires accessoires de type mucocèle ou une hyperplasie épithéliale (diapneusie). L’exérèse complète de la lésion de plus grande taille présentant une suppuration a été pratiquée sous anesthésie locale. Les suites opératoires ont été simples et asymptomatiques. L’examen anatomopathologique de la pièce opératoire conclut à un cystadénome papillaire d’une glande salivaire accessoire. Le cystadénome papillaire est une tumeur épithéliale bénigne rare des glandes salivaires [OMS, 2017]. Il intéresse spécialement les glandes salivaires principales, notamment la glande parotide (45%), et dans seulement 0.6 à 4% des cas une glande salivaire accessoire [Tijoe et al., 2015]. L’âge moyen de découverte se situe entre 50 et 70 ans. Le traitement de cette lésion réside dans sa simple exérèse et les récidives sont exceptionnelles. Histologiquement, la lésion est multiloculaire et du tissu conjonctif sépare les kystes, la littérature souligne la possibilité de lésions uniloculaires dans 20% des cas. Une seconde forme muqueuse moins fréquente est décrite. Le diagnostic différentiel du cystadénome papillaire comprend principalement le kyste muqueux de rétention. L’absence d’une composante lymphöde écarte le diagnostic de tumeur de Warthin. Dans ce contexte, le carcinome mucoépidermöde de bas grade doit être écarté [Stojanov et al., 2017].


2018 ◽  
Vol 29 ◽  
Author(s):  
Mohamed Khoulali ◽  
Mohammed Yasssine Haouas ◽  
Jihad Mortada ◽  
Robin Srour
Keyword(s):  

2017 ◽  
Vol 26 ◽  
Author(s):  
Hicham El Bote ◽  
Sihem Atik ◽  
Rami Fares ◽  
Ernest Hage
Keyword(s):  

2015 ◽  
Vol 9 (7-8) ◽  
pp. 471
Author(s):  
Ahmed Saadi ◽  
Abderrazak Bouzouita ◽  
Mohamed Cherif ◽  
Haroun Ayed ◽  
Amine Derouiche ◽  
...  

Introduction : Les léiomyomes sont des tumeurs mésenchymateuses bénignes. La localisation vésicale de ces tumeurs est rare et représente moins de 0,5 % de toutes les tumeurs vésicales. Le léiomyome vésical est la plus fréquente de ces tumeurs mésenchymateuses et il représente le tiers des lésions bénignes de la vessie. Notre but était d’étudier les particularités épidémiologiques, cliniques, radiologiques, thérapeutiques et évolutives de ce type de tumeur.Matériel et méthodes : Nous rapportons une série de cinq cas de léiomyome vésical, colligés entre 2001 et 2014. Il s’agit de trois femmes et de deux hommes. La symptomatologie clinique est non spécifique et dominée par la cystite. Trois patients ont eu une énucléation et deux ont eu une résection endoscopique de la tumeur.Résultats : Le suivi moyen est de six ans. Un seul patient a présenté une récidive expliquée par la persistance d’un nodule vésical lors de la première intervention, avec une bonne évolution après la deuxième cure chirurgicale.Conclusion : Le léiomyome vésical est une tumeur bénigne et rare. Sa symptomatologie est peu spécifique. Son diagnostic est histologique. Son traitement est toujours chirurgical, offrant un excellent pronostic, sous réserve d’une exérèse complète pour éviter les récidives.


2015 ◽  
Vol 38 (2) ◽  
pp. e29-e32 ◽  
Author(s):  
A. Benarous ◽  
H. Sevestre ◽  
A. Drimbea ◽  
A.-S. Claisse ◽  
S. Milazzo
Keyword(s):  

2014 ◽  
Vol 8 (11-12) ◽  
pp. 910
Author(s):  
Mohamed Hicham Benazzouz ◽  
Karima Laadam ◽  
Younes Essatara ◽  
Hachem Elsayegh ◽  
Ali Iken ◽  
...  

Le léiomyome de l’urètre est une tumeur bénigne rare constituée detissus musculaires lisses. Cette tumeur se traduit par une variété designes cliniques ; le recours à l’histologie est donc nécessaire pourposer le diagnostic. Le traitement de choix est l’exérèse chirurgicale.Aucun cas de dégénérescence maligne n’a été signalé jusqu’àprésent, mais une récidive locale est possible en cas d’exérèseincomplète. Les auteurs font état d’un nouveau cas de léiomyomeintéressant à la fois le col vésical et l’urètre, et se traduisant par ladysurie chez une patiente ; ils proposent également une revue dela littérature concernant cette pathologie.


Sign in / Sign up

Export Citation Format

Share Document