variation géographique
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Naturae ◽  
2020 ◽  
Author(s):  
Laurène TRUDELLE ◽  
Isabelle WITTÉ ◽  
David HAPPE ◽  
Philippe ANTONETTI ◽  
Charles LEMARCHAND ◽  
...  

À partir des Listes rouges régionales de l’ancienne région Auvergne et des données d’occurrence disponibles, des analyses croisées multi-groupes ont été réalisées pour fournir une synthèse sur le statut de conservation des espèces du territoire auvergnat et illustrer les grandes tendances et les principaux enjeux pour la biodiversité locale. Les résultats montrent qu’il existe un grand nombre d’espèces menacées et quasi menacées notamment pour plus de la moitié des Amphibiens, des Bryophytes et des Oiseaux. Les proportions les plus élevées d’espèces de la catégorie Données insuffisantes concernent certains Vertébrés (Amphibiens et Mammifères) et la Flore. On note l’absence de cadres de politiques publiques ou de statuts réglementaires pour plus de 170 espèces de la catégorie Données insuffisantes et autant d’espèces menacées. On constate également une forte variation géographique dans la distribution des espèces en déclin et des espèces de la catégorie Données insuffisantes qui se concentrent sur l’axe de la rivière Allier et dans les massifs montagneux. Par ailleurs, il existe un endémisme marqué dans le secteur des monts Dore, des monts du Cantal et du massif du Mézenc. Dans le cadre de stratégies régionales de conservation et de priorités de connaissance, une attention particulière doit être portée aux espèces endémiques d’Auvergne actuellement menacées et une série d’espèces remarquables parmi la Flore vasculaire. Bien que d’autres facteurs existent, les principales menaces sont liées à la détérioration des habitats. La dynamique d’élaboration des Listes rouges régionales, outil d’aide à la décision, doit être maintenue afin de poursuivre le suivi et la conservation de la biodiversité régionale.


Author(s):  
James Ted McDonald ◽  
Heather Conde

RÉSUMÉLe coût croissant de soins de santé et le changement des profils démographiques ont entraîné le déplacement et la redistribution du financement et des services entre les zones rurales et urbaines. La plupart des analyses économétriques de l’utilisation de services de santé au Canada incluent des contrôles larges selon la province et l’état rural/urbain; mais relativement peu du travail économétrique a porté sur la variation géographique dans l’utilisation de services de santé. À l’aide de l’Enquête sur la santé dans les collectivités canadiennes (ESCC 2.1), nous avons examiné les déterminants de diverses mesures d’utilisation des services de santé par les Canadiens âgés de 55 ou plus d’une gamme de zones urbaines et rurales de résidence. Notre analyse de régression a montré que les anciens résidents dans les zones rurales font moins visites chez un omnipraticien, chez un spécialiste et chez un dentiste par rapport aux résidents urbains. Tout étant égal, il n’existe aucune différence significative parmi nuits passées à l’hôpital ou dans les besoins de soins de santé non satisfaits. Cependant, apres contrôle pour les caractéristiques démographiques, le statut socioéconomique, l’assurance santé privée et l’état de santé, ces différences sont importantes.


2008 ◽  
Vol 9 (2) ◽  
pp. 157-184 ◽  
Author(s):  
Russell Wilkins

RÉSUMÉ Nous avons examiné la mortalité par lieu de résidence dans la région de Montréal durant la période 1975-1977. Selon nos résultats, l’écart en espérance de vie entre les quartiers aisés de proche banlieue et les quartiers pauvres du centre, se chiffre à plus de neuf ans (moyenne des deux sexes à la naissance). Par rapport aux cinq grandes zones de résidence que nous avons établies pour fins d’analyse, on remarque que la courbe des espérances de vie suit très fidèlement la courbe des revenus, de scolarité et de professions, tous les trois étant nos meilleurs indices de la classe sociale des résidents. En même temps, on constate une variation géographique de la mortalité en zones concentriques autour du centre, correspondant à la disposition spatiale des classes sociales à Montréal. L’étude examine aussi la mortalité infantile, la surmortalité masculine, les probabilités de survie et l’espérance de vie à 55 ans, de même que les conséquences de l’ensemble de ces disparités sociales de mortalité sur la structure des populations stationnaires.


Mammalia ◽  
2006 ◽  
Vol 70 (1-2) ◽  
Author(s):  
Richard T. Stevens ◽  
Michael L. Kennedy

AbstractSpatial variation in 26 morphological characters of American mink ( Mustela vison ) from 35 localities in North America was investigated using univariate and multivariate statistical analyses. Localities were chosen based on watersheds, and it was hypothesized that high levels of gene flow in minks would prevent partitioning of body size variation within watersheds. All 26 characters in males and 25 of 26 in females exhibited significant interlocality variation. The patterns of variation in body size resulting from principal components analysis indicated that, for both sexes, minks were largest in Alaska, Manitoba, and Alberta; smallest minks were found in Florida and Quebec. There did not appear to be a relationship between body size and geographic proximity. Environmental factors collectively were found to be related to body size, although individual variables were not typically significant. Of 16 environmental variables examined, only longitude was correlated with body size in both sexes, with largest minks in the west and smallest in the east. Latitude was also correlated with body size in females. It was concluded that variation in body size of mink was likely the result of more than one factor that includes both biotic and abiotic features.


Mammalia ◽  
2006 ◽  
Vol 70 (1-2) ◽  
Author(s):  
Richard T. Stevens ◽  
Michael L. Kennedy

AbstractSpatial variation in 26 morphological characters of American mink ( Mustela vison ) from 35 localities in North America was investigated using univariate and multivariate statistical analyses. Localities were chosen based on watersheds, and it was hypothesized that high levels of gene flow in minks would prevent partitioning of body size variation within watersheds. All 26 characters in males and 25 of 26 in females exhibited significant interlocality variation. The patterns of variation in body size resulting from principal components analysis indicated that, for both sexes, minks were largest in Alaska, Manitoba, and Alberta; smallest minks were found in Florida and Quebec. There did not appear to be a relationship between body size and geographic proximity. Environmental factors collectively were found to be related to body size, although individual variables were not typically significant. Of 16 environmental variables examined, only longitude was correlated with body size in both sexes, with largest minks in the west and smallest in the east. Latitude was also correlated with body size in females. It was concluded that variation in body size of mink was likely the result of more than one factor that includes both biotic and abiotic features.


2001 ◽  
Vol 33 (S1) ◽  
Author(s):  
Henri Descimon ◽  
Marie Zimmermann ◽  
Emmanuel Cosson ◽  
Bernard Barascud ◽  
Gabriel Nève

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