ventilation mécanique
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333
(FIVE YEARS 33)

H-INDEX

7
(FIVE YEARS 2)

2022 ◽  
Vol 14 (1) ◽  
pp. 147
Author(s):  
C. Riaud ◽  
A. Madani ◽  
A. Hayotte ◽  
M. Ringot ◽  
V. Jean-Baptiste Serichard ◽  
...  

2022 ◽  
Vol 14 (1) ◽  
pp. 180-181
Author(s):  
M. Delorme ◽  
K. Leroux ◽  
A. Leotard ◽  
G. Boussaid ◽  
H. Prigent ◽  
...  

2021 ◽  
Vol 47 (11) ◽  
pp. 517-524
Author(s):  
Megan Striha ◽  
Rojiemiahd Edjoc ◽  
Natalie Bresee ◽  
Nicole Atchessi ◽  
Lisa Waddell ◽  
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Contexte : Le syndrome inflammatoire multisystémique chez les enfants (MIS-C) associé à la maladie à coronavirus 2019 (COVID-19) est une affection émergente qui a été identifiée pour la première fois en pédiatrie au début de la pandémie de COVID-19. Cette affection est également connue sous le nom de syndrome pédiatrique inflammatoire multisystémique associé temporairement au syndrome respiratoire aigu sévère à coronavirus 2 (SIMP-TS ou SIMP), et de multiples définitions ont été établies pour cette affection qui présente des caractéristiques communes avec la maladie de Kawasaki et le syndrome de choc toxique. Méthodes : Une revue a été menée pour déterminer la littérature décrivant l’épidémiologie du MIS-C, publiée jusqu’au 9 mars 2021. Une base de données établie à l’Agence de la santé publique du Canada avec la littérature sur la COVID-19 a été consultée pour obtenir des articles faisant référence à MIS-C, SIMP ou la maladie de Kawasaki en relation avec la COVID-19. Résultats : Au total, 195 articles sur 988 ont été inclus dans la revue. L’âge médian des patients atteints du MIS-C se situait entre sept et dix ans, bien que des enfants de tous âges (et des adultes) puissent être touchés. Le syndrome inflammatoire multisystémique chez les enfants touche de manière disproportionnée les garçons (58 % des patients), et les enfants noirs et hispaniques semblent présenter un risque élevé de développer le MIS-C. Environ 62 % des patients atteints du MIS-C ont dû être admis dans une unité de soins intensifs, un patient sur cinq nécessitant une ventilation mécanique. Entre 0 et 2 % des patients atteints du MIS-C sont décédés, selon la population et les interventions disponibles. Conclusion : Le syndrome inflammatoire multisystémique chez les enfants peut toucher des enfants de tous âges. Une proportion importante de patients a nécessité une admission à l’unité de soins intensifs et une ventilation mécanique et 0 à 2 % des cas ont été fatals. Il est nécessaire de disposer de plus de données sur le rôle de la race, de l’ethnicité et des comorbidités dans le développement du MIS-C.


2021 ◽  
Vol 9 (09) ◽  
pp. 201-203
Author(s):  
Tajellijiti Nissrine ◽  
◽  
Boukoub Naila ◽  
Errifaie Hayat ◽  
Elouardi Youssef ◽  
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La ventilation mecanique est un soutien vital qui permet dameliorer loxygenation lors dune detresse respiratoire mais qui peut aggraver les lesions pulmonaires dun poumon malade. Le syndrome de detresse respiratoire aigue (SDRA) lie au covid19 est caracterise par des lesions pulmonaires bilaterales et une compliance pulmonaire tres diminuee dans les formes severes . Lalteration des proprietes elastiques du poumon et la reduction de son volume aere induisent une forte elevation des pressions pour un faible volume insuffle dans les alveoles. La surdistensiondes alveoles induite par la ventilation peut provoquer un barotraumatisme lie a une rupture alveolaire. Le pneumothorax est la lesion la plus typique detectee sur la radiographie thoracique. Le barotraumatisme est favorise a la fois par la pathologie pulmonaire sous jacente et par lutilisation de pressions excessives delivrees par le ventilateur. La mesure de la pression de plateau en fin dinspiration reflete la pression alveolaire maximale. Cest le meilleur moyen de monitorage du risque de surdistension alveolaire : cette pression ne doit pas depasser 30 cmH2O.


2021 ◽  
Vol 47 (09) ◽  
pp. 420-441
Author(s):  
Aireen Wingert ◽  
Jennifer Pillay ◽  
Dorothy L Moore ◽  
Samantha Guitard ◽  
Ben Vandermeer ◽  
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Les infections par le virus respiratoire syncytial sont fréquentes chez les jeunes enfants et représentent un fardeau important pour les patients, leurs familles et le système de santé canadien. Nous procédons ici à un examen rapide du fardeau lié au virus respiratoire syncytial chez les enfants âgés de 24 mois ou moins. Quatre bases de données (Medline, Embase, Cochrane Database of Clinical Trials, ClinicalTrials.gov de 2014 à 2018), la littérature grise et les listes de référence ont été examinées pour trouver des études portant sur les éléments suivants : enfants avec ou sans facteur de risque, sans prophylaxie et avec une infection par le virus respiratoire syncytial confirmée en laboratoire. Sur les 29 études trouvées, 10 ont fourni des comparaisons intraétudes et peu ont fait l’examen des conditions cliniques autres que la prématurité. Pour les nourrissons âgés de 33 à 36 semaines de grossesse (SG) par rapport aux nourrissons nés à terme, il existe des preuves de certitude faible à modérée d’une augmentation des hospitalisations dues au virus respiratoire syncytial (n = 599 535 nourrissons; RR 2,05 [IC 95 % 1,89 à 2,22]; 1,3 de plus pour 100 [1,1 à 1,5 de plus]) et de la durée d’hospitalisation (n = 7 597 nourrissons; différence moyenne de 1,00 jour [IC 95 % 0,88 à 1,12]). Il y avait des preuves de certitude faible à modérée d’une différence faible à nulle entre les nourrissons nés entre 29 à 32 SG et ceux nés entre 33 à 36 SG pour l’hospitalisation (n = 12 812 nourrissons; RR 1,20 [IC 95 % 0,92 à 1,56]). Il existe des preuves de faible certitude d’une ventilation mécanique accrue pour les nourrissons hospitalisés nés à 29 à 32 SG par rapport à 33 à 35 SG (n = 212 nourrissons; RR 1,58; IC 95 % 0,94 à 2,65). Chez les nourrissons nés entre 32 et 35 SG, l’hospitalisation pour le virus respiratoire syncytial dans la petite enfance peut être associée à une augmentation de la respiration sifflante et de l’utilisation de médicaments contre l’asthme au cours du suivi de six ans (RR de 1,3 à 1,7). Les enfants atteints du syndrome de Down peuvent avoir une durée d’hospitalisation plus longue que ceux qui n’en sont pas atteints (n = 7 206 enfants; différence moyenne de 3,00 jours, IC 95 % 1,95 à 4,05; certitude faible). Les preuves pour les autres comparaisons intraétudes étaient d’un niveau de certitude très faible. En résumé, la prématurité est associée à un risque plus élevé d’hospitalisation pour le virus respiratoire syncytial et à une durée d’hospitalisation plus longue, et le syndrome de Down peut être associé à une hospitalisation plus longue pour le virus respiratoire syncytial. L’hospitalisation due au virus respiratoire syncytial dans la petite enfance peut être associée à une plus grande respiration sifflante et à une plus grande utilisation de médicaments contre l’asthme dans la petite enfance. L’absence de groupe de comparaison a constitué une limite majeure pour de nombreuses études.


2021 ◽  
Vol 51 (5) ◽  
pp. S67-S68
Author(s):  
X. Leroux ◽  
M. Schock ◽  
H. Lessire ◽  
C. Bouterra ◽  
L. Belilita ◽  
...  

2021 ◽  
Vol 51 (5) ◽  
pp. S70
Author(s):  
M. Rouyer ◽  
T. Youbong ◽  
A. Strazzulla ◽  
P. Tarteret ◽  
S. Devatine ◽  
...  

2021 ◽  
Vol 193 (27) ◽  
pp. E1062-E1066
Author(s):  
Reshma Amin ◽  
Regina Pizzuti ◽  
Francine Buchanan ◽  
Louise Rose

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