Pour quelles raisons les patients ayant un médecin traitant consultent au centre de dépistage anonyme et gratuit lors d’une demande de dépistage du VIH ?

2017 ◽  
Vol 47 (4) ◽  
pp. S145-S146
Author(s):  
K. Nivard Duguet ◽  
I. Le Hen ◽  
E. Prothon ◽  
J.-P. Joseph
2010 ◽  
Vol 194 (6) ◽  
pp. 1045-1069 ◽  
Author(s):  
Jacques Bazex ◽  
Emmanuel Alain Cabanis ◽  
Mmes Brugère-Picoux ◽  
Moneret-Vautrin ◽  
M.M. Ardaillou ◽  
...  

Praxis ◽  
2003 ◽  
Vol 92 (5) ◽  
pp. 179-186
Author(s):  
Müntener ◽  
Suter ◽  
Praz ◽  
Hauri

Depuis l'introduction de médicaments efficaces par voie orale, l'approche diagnostique et thérapeutique de la dysfonction érectile a changé fondamentalement. Les examens complexes ainsi que les options thérapeutiques invasives ont été largement relégués au second plan, au profit d'une prise en charge pragmatique et centrée sur le symptôme. En conséquence, seule une minorité de patients impotents doit être référée à l'urologue, ce qui rend plus attractif la prise en charge de tels patients pour le médecin traitant. Cependant, le succès du traitement de la dysfonction érectile requiert du temps et de l'intérêt pour ce domaine. Cet article décrit une évaluation diagnostique raisonnable des patients impotents dans la pratique courante d'un médecin traitant. De plus, sont discutées l'indication et l'utilisation de différentes formes de traitements non ou mini-invasifs.


2020 ◽  
Author(s):  
K. Benistan ◽  
S. Dugué

L’hypermobilité articulaire généralisée est fréquente en population pédiatrique et diminue avec l’âge. Les étiologies peuvent être variables. L’hypermobilité favorise des traumatismes orthopédiques répétés, responsables de douleurs intenses, dont la répétition fait le lit du syndrome douloureux chronique. La douleur est un symptôme cardinal du syndrome d’Ehlers-Danlos hypermobile (SEDh). De nouveaux critères internationaux élaborés par un consortium d’experts en 2017 permettent de mieux distinguer les patients ayant un SEDh des patients présentant un désordre du spectre de l’hypermobilité. La prise en charge de ces patients doit être multidisciplinaire et globale, selon le modèle biopsychosocial, associant au médecin traitant une structure de prise en charge de la douleur chronique pédiatrique et un centre de référence ou de compétence des SED non vasculaires. Dans ce sens, un protocole national de diagnostic et de soins a été récemment publié.


2019 ◽  
Vol 13 (2) ◽  
pp. 122-124
Author(s):  
S. Masmoudi ◽  
F. Ellouze ◽  
S. Abidi ◽  
H. Boussen ◽  
F. M’rad

L’influence du cancer du sein et de ses traitements sur la sexualité reste encore très peu explorée en Tunisie. Dans ce travail, on se propose de rapporter les difficultés et le vécu sexuels de deux femmes tunisiennes présentant un cancer du sein. À travers ces deux vignettes, il s’avère que les causes sont multiples et intriquées, on pourrait schématiquement les classer en cinq catégories : difficultés dans la communication avec le médecin traitant, croyances erronées, réaction dépressive, iatrogénie et modification de l’image du corps, troubles de la communication au sein du couple. Maintenir une image de soi positive, se sentir encore féminine et rester sexuellement attirante contribuent au bien-être des femmes confrontées au cancer du sein.


2020 ◽  
Vol 10 (1) ◽  
pp. 09-13
Author(s):  
F. Balen ◽  
A. Boyer ◽  
P. Auboiroux ◽  
S. Charpentier

Introduction : Acteur central du soin primaire, le médecin généraliste peut être amené à adresser des patients aux structures d’urgences (SU). Les objectifs de notre travail étaient d’évaluer l’incidence des patients adressés en SU par leur médecin traitant, d’évaluer leur gravité par rapport aux autres patients admis en SU et de connaître leur motif de consultation. Méthode : Il s’agit d’une étude de cohorte se déroulant sur les SU adultes du CHU de Toulouse au cours d’une semaine de 2019. Tous les malades admis dans les SU ont été inclus. Les variables démographiques, le caractère « adressé par le médecin traitant » ou non, le score de tri initial sur la classification infirmière des malades aux urgences (CIMU) et l’hospitalisation post-SU ont été relevés. Résultats : Sur les 2 289 passages dans les SU sur la période, 212 (9 %) étaient liés à des patients adressés par leur médecin traitant. Ces malades étaient plus âgés (58 ans vs 45 ans, p < 0,001), plus graves (taux de CIMU 3 plus élevés : 65 vs 38 %, p < 0,001) et plus souvent hospitalisés (39 vs 19 %, p < 0,001) que les patients admis en SU non adressés par leur médecin traitant. Le motif le plus fréquent d’admission était la douleur abdominale (21 %). Discussion : Une attention particulière doit être portée sur les malades admis en SU adressés par leur médecin traitant. Ils semblent en effet plus graves et nécessitant plus de ressources hospitalières.


2018 ◽  
Vol 30 (3) ◽  
pp. 313
Author(s):  
Frédéric Bauduer ◽  
Edson Vanz ◽  
Nicolas Guillet ◽  
Sylvie Maurice
Keyword(s):  

2012 ◽  
Vol N°108 (1) ◽  
pp. 43 ◽  
Author(s):  
Judith Leblanc ◽  
Kayigan Wilson d’Almeida ◽  
France Lert ◽  
Anne-Claude Cremieux
Keyword(s):  

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