Place de la nutrition entérale et de l’autosondage dans la prise en charge nutritionnelle au cours du cancer digestif. Étude prospective sur 298 patients

2017 ◽  
Vol 31 (3) ◽  
pp. 227
Author(s):  
A. Malgras ◽  
N. Michot ◽  
J. Krier ◽  
L. Germain ◽  
L. Bresler ◽  
...  
2020 ◽  
Vol 14 (2) ◽  
pp. 80-87
Author(s):  
R. Enaud ◽  
C. Tétard ◽  
T. Lamireau

Même si la physiopathologie des maladies inflammatoires chroniques intestinales (MICI) fait encore l’objet de nombreuses études, il est admis qu’elle implique une interaction inadaptée entre le microbiote intestinal et le système immunitaire digestif. L’incidence croissante des MICI durant les dernières décennies, en lien avec l’occidentalisation du mode de vie, souligne le rôle des facteurs environnementaux dans cette interaction. Ces facteurs seraient notamment impliqués dans les perturbations du microbiote intestinal ou dysbioses, maintenant bien décrites dans les MICI. Parmi ces facteurs, l’alimentation suscite beaucoup d’intérêt. Symbole de nos changements de mode de vie, elle a un impact bien démontré sur la composition du microbiote, dès la naissance puis tout au long de la vie. Des études épidémiologiques ont permis de montrer des associations entre l’alimentation et le risque de survenue de MICI. Certains de ces liens ont également pu être mis en évidence chez l’animal ou en culture cellulaire, renforçant l’hypothèse d’une relation étroite entre l’alimentation, le microbiote et l’inflammation intestinale. L’alimentation bénéficie également d’une attention croissante ces dernières années dans la prise en charge des MICI. Au-delà de l’utilisation de la nutrition entérale exclusive dans la maladie de Crohn pédiatrique, dont l’efficacité est maintenant bien démontrée, de nouvelles approches émergent. Parmi elles, des régimes d’exclusion spécifiques pourraient constituer les prochaines avancées majeures dans la prise en charge de MICI au cours des prochaines années.


2014 ◽  
Vol 29 (S3) ◽  
pp. 601-601
Author(s):  
D. Carmelo ◽  
S. Lamy ◽  
A. Charles-Nicolas ◽  
N. Pascal ◽  
L. Jehel

IntroductionLa suicidalité à l’adolescence est une question importante de santé publique, en termes de mortalité, de morbidité. Celle-ci est peu évaluée et quantifiée dans les en Martinique au sujet des adolescents. Notre objectif à travers de notre étude prospective exploratoire est de déterminer de la prévalence des tentatives de suicide chez les adolescents en Martinique consultant au CHUM.MéthodesNous avons inclus tous les adolescents âgés de 11 à 18 ans ayant réalisé une tentative de suicide en Martinique, admis sur les différents services d’urgences et de réanimations du CHUM, sur une période continue de 4 mois.RésultatsQuarante-trois tentatives de suicide ont été enregistrées au cours de cette période : 88,4 % des cas impliquaient des filles (avec une récidive sur la période d’inclusion), 58,1 % des jeunes ont utilisé comme méthode l’intoxication médicamenteuse volontaire, la majorité concernait des primosuicidants (60,5 %), près de la moitié des cas avait identifié un événement traumatisant, 34,9 % ont déclaré consommer de façon régulière une substance psychoactive enfin 72,5 % des situations ont fait intervenir le SAMU et 65,2 % de ces adolescents ont bénéficié d’une prise en charge hospitalière.ConclusionCette étude pilote permet de contribuer à la description de la tentative de suicide chez les adolescents, qui s’estimerait à 1 tentative de suicide tous les 3 jours, et confirme bien une problématique suicidaire touchant cette population spécifique dans ce département. Elle suggère par ailleurs la nécessité de renforcer l’offre de soins qui semble insuffisante à ce jour. Au vu des résultats de cette étude, l’implication forte du SAMU dans ce travail pourrait être un partenaire idéal dans le repérage de ces conduites suicidaires dans cette région.


2019 ◽  
Vol 105 (4) ◽  
pp. 468-473
Author(s):  
Solène Prost ◽  
Cédric Barrey ◽  
Benjamin Blondel ◽  
Stéphane Fuentes ◽  
Laurent Barresi ◽  
...  

2019 ◽  
Vol 6 (1) ◽  
pp. 27-30
Author(s):  
Yacine AMOURACHE ◽  
◽  

La chirurgie d’exérèse de la glande thyroïde repose sur les principes d’une chirurgie vasculaire fine avec en conséquence une hémostase parfaite ainsi que sur la préservation des nerfs laryngés et les glandes parathyroïdes ; le coût des moyens techniques doit aussi être mis en exergue. Notre étude tient à montrer qu’outre l’hémostase parfaite sans drainage post opératoire, la recherche des nerfs récurrents n’est pas indispensable en utilisant une technique dite « Thyroïdectomie par technique de microchirurgie vasculaire », avec un coût de prise en charge réduit. Patients et méthodes : Il s’agit d’une étude prospective, comprenant 41 patients ; la technique chirurgicale mise à l’oeuvre est dite : technique de microchirurgie vasculaire thyroïdienne. Les paramètres étudiés sont : l’indication opératoire concertée, l’état antérieur et post-opératoire de la mobilité des cordes vocales et de la calcémie, la technique chirurgicale (type d’hémostase et la recherche ou non des nerfs récurrents), la place du drainage, la durée d’hospitalisation et le coût de prise en charge globale. Résultats : 62 lobo-isthmectomies ont été réalisées. L’état antérieur et post-opératoire de la mobilité des cordes vocales et de la calcémie était bien notifié. La quasi-totalité des patients n’avaient pas été drainés. Il n’y avait aucune complication hémorragique et aucune paralysie récurrentielle, on a relevé 3 cas d’hypocalcémie transitoire. Conclusion : la Thyroïdectomie par technique de microchirurgie vasculaire trouverait bien une place parmi les autres techniques chirurgicales. Notre mode de prise en charge s’avère assez concurrentiel, notamment en termes d’économies de santé.


2000 ◽  
Vol 21 ◽  
pp. 493
Author(s):  
S. Rivière ◽  
C. Boyer ◽  
P. Ginies ◽  
P. Céballos ◽  
A. Konaté ◽  
...  

2013 ◽  
Vol 48 ◽  
pp. S142
Author(s):  
M. Vallée ◽  
E. Vastel ◽  
M. Musikas ◽  
C. Poignavant ◽  
M.A. Piquet ◽  
...  

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