Prévalences du MINI sur 15 sites des enquêtes santé mentale en population générale : image et réalités

2012 ◽  
Vol 60 ◽  
pp. S59
Author(s):  
F. Chabaud ◽  
I. Benradia ◽  
R. Bouet ◽  
A. Caria ◽  
J.-L. Roelandt ◽  
...  
2020 ◽  
pp. 070674372098026
Author(s):  
Roger Godbout ◽  
Julie Carrier ◽  
Célyne Bastien ◽  
Charles M. Morin

Les données recueillies lors de crises et tragédies passées prouvent que les problèmes de sommeil survenant durant ou peu de temps après un événement traumatique sont reliés à une probabilité accrue de développer des symptômes psychiatriques durables. Or la pandémie COVID-19 et ses conséquences à moyen et long-terme combinent plusieurs facteurs de risque pour le sommeil, tant pour les intervenants de la santé que la population générale. Notre relevé mensuel des publications scientifiques qui combinent COVID-19 et sommeil/insomnie entre janvier et juillet 2020 révèle un taux de croissance comparable pour les articles qui portent plus précisément sur la santé mentale mais aucune ne porte sur les résultats d’une intervention. Nous proposons qu’il faille agir rapidement sur les difficultés de sommeil en cette période de pandémie afin de protéger l’équilibre psychologique individuel à moyen et long terme, d’autant plus que les outils nécessaires à la prévention de l’insomnie, sa détection et son traitement sont à la portée de tous les professionnels de la santé mentale.


L Encéphale ◽  
2010 ◽  
Vol 36 (3) ◽  
pp. 33-38
Author(s):  
Francis Chabaud ◽  
Julie Debarre ◽  
Céline Serazin ◽  
Roland Bouet ◽  
Guillaume Vaïva ◽  
...  

2007 ◽  
Vol 83 (10) ◽  
pp. 821 ◽  
Author(s):  
Claire Ruiz ◽  
Laurence Kurkdjian

2006 ◽  
Vol 31 (1) ◽  
pp. 189-200 ◽  
Author(s):  
Emmanuel Stip ◽  
Amir Ali Sephery ◽  
Adrien Tempier ◽  
Annie Brochu-Blain

Le rôle potentiel des omnipraticiens à l’égard d’une maladie comme la schizophrénie a été redéfinie lors du dernier Plan d’organisation de la santé mentale au Québec en 2006. Dans cet article les auteurs présentent des résultats concernant la perception et les attitudes des omnipraticiens du Québec vis-à-vis des patients souffrant de cette affection. Les résultats obtenus à travers un sondage sont comparés à ceux obtenus grâce à 5 questions communes posées à la population québécoise en général. Un court questionnaire, composé de 5 items choisis à partir d’un questionnaire plus élargi et présenté à la population générale, a été proposé aux omnipraticiens du Québec. Ces items sondaient la perception et l’attitude des médecins à l’égard de la schizophrénie. À partir d’un échantillon aléatoire de 3 500 omnipraticiens, un taux de 29 %, soit un peu plus de mille (1003, 46 % de femmes et 54 % d’hommes), répondants a été observé. Les auteurs ont constaté des différences significatives entre les omnipraticiens et la population québécoise générale dans la tendance à vouloir offrir de l’aide aux personnes souffrant de schizophrénie (omnipraticiens = 58 % versus population générale : 45 %). Également, un plus haut pourcentage d’omnipraticiens (72 %) a dit ressentir de la compassion envers les patients souffrant de schizophrénie versus 27 % dans la population en général. Les omnipraticiens ont dit se sentir moins à l’aise de discuter ouvertement de la maladie à un membre de la famille si ce dernier était affligé de la schizophrénie (26 % versus 48 %). Il n’y avait pas de différence entre les deux populations en ce qui concerne le jugement de la sévérité de la schizophrénie dans le champ des maladies y compris des maladies mentales.


L Encéphale ◽  
2010 ◽  
Vol 36 (3) ◽  
pp. 39-57 ◽  
Author(s):  
T. Danel ◽  
J. Vilain ◽  
J.L. Roelandt ◽  
J. Salleron ◽  
G. Vaiva ◽  
...  

2007 ◽  
Vol 22 (2) ◽  
pp. 195-217 ◽  
Author(s):  
Jean Caron ◽  
Céline Mercier ◽  
Raymond Tempier

RÉSUMÉ La version québécoise de l'Échelle de satisfaction avec les domaines de la vie (ESDV), développée aux Etats-Unis auprès de la population générale et adaptée pour des personnes avec des problèmes sévères et persistants de santé mentale a été validée auprèsI d'un échantillon de 266 personnes de la population générale, et de 245 personnes avec des troubles mentaux sévères. Les analyses factorielles ont permis d'identifier quatre sous-échelles dans la population clinique et cinq dans la population générale. La consistance interne de l'échelle globale (alpha = 0,90) et des sous-échelles (alpha entre 0,60 et 0,84) s'est avérée excellente et la stabilité temporelle de l'instrument s'est avérée bonne (r = 0,73). De plus, des analyses de la variance et l'analyse discriminante permettent de constater que les sous-échelles ont un pouvoir discriminant élevé ; elles permettent de distinguer la population générale, les bénéficiaires d'aide sociale et les personnes psychotiques. Les résultats obtenus suggèrent que l'ESDV possède de très bonnes qualités psychométriques et constitue une mesure valide de qualité de vie subjective pour desI études descriptives ou évaluatives.


2008 ◽  
Vol 18 ◽  
pp. S188
Author(s):  
L. Jehel ◽  
F. Ducrocq ◽  
P. Genest ◽  
C. Duchet ◽  
C. Omnes ◽  
...  

2015 ◽  
Vol 30 (S2) ◽  
pp. S76-S76 ◽  
Author(s):  
C. Hingray ◽  
A. Biraben

Les comorbidités psychiatriques des épilepsies sont nombreuses et fréquentes. Un patient épileptique sur trois présente au cours de sa vie une pathologie psychiatrique (contre une personne sur cinq en population générale). Les études retrouvent des prévalences augmentées chez les patients épileptiques, en particulier pour les troubles de l’humeur, les troubles anxieux et les troubles psychotiques. Les troubles psychiatriques précèdent, accompagnent ou compliquent les différentes formes d’épilepsie. On sait, de plus, aujourd’hui que l’existence d’un trouble de l’humeur ou d’un trouble psychotique chez un sujet non épileptique augmente significativement le risque ultérieur de développer une épilepsie. Ces comorbidités ont un impact considérable, non seulement en termes de souffrance psychique et de qualité de vie, mais également sur le contrôle des crises épileptiques et sur l’efficacité et la tolérance des traitements antiépileptiques. De toute évidence, le lien qui unit épilepsie et troubles mentaux n’est pas celui d’une causalité unidirectionnelle où les troubles mentaux se réduiraient aux conséquences de l’épilepsie sur la santé mentale. En réalité, il s’agit moins d’une causalité que d’une association ; la relation entre pathologies épileptiques et psychiatriques est bidirectionnelle, voire triangulaire – certains facteurs physiopathologiques exposant les sujets à la fois à la survenue de troubles épileptiques et psychiatriques. L’usage des critères diagnostiques issus du DSM s’avère souvent problématique dans le cas des comorbidités psychiatriques de l’épilepsie. En effet, bon nombre de patients épileptiques présentent des symptômes psychiatriques sévères et invalidants mais atypiques, spécifiques qui ne réunissent pas l’ensemble des critères nécessaires au diagnostic d’un trouble particulier. Une attention particulière doit être notamment portée aux rapports temporels entre les crises d’épilepsie et l’apparition des symptômes psychiatriques. On distingue ainsi les troubles psychiatriques péri-ictaux (pré-ictaux, ictaux, postictaux) des troubles psychiatriques interictaux. Nous détaillerons, en outre, le syndrome dysphorique interictal, la psychose postictale et les crises non épileptiques psychogènes.


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