La douleur fluctue chez la majorité des patients suivis pour une polyarthrite rhumatoïde ou une spondyloarthrite, surtout chez les femmes avec un niveau d’activité de la maladie élevé : une étude prospective de 12 semaines chez 165 patients

2021 ◽  
Vol 88 ◽  
pp. A22
Author(s):  
J. Drouet ◽  
L. Gossec ◽  
C. Jacquemin ◽  
B. Fautrel ◽  
V. Foltz ◽  
...  
2011 ◽  
Vol 46 ◽  
pp. S149
Author(s):  
A. Pierreisnard ◽  
H. Gin ◽  
T. Schaeverbeke ◽  
T. Barnetche ◽  
C. Gonzalez ◽  
...  

2018 ◽  
Vol 85 (5) ◽  
pp. 519-520
Author(s):  
Marie Hugo ◽  
Audrey Pierreisnard ◽  
Nadia Mehsen-Cetre ◽  
Henri Gin ◽  
Thierry Schaeverbeke ◽  
...  

2001 ◽  
Vol 68 (1) ◽  
pp. 40-48
Author(s):  
Alain Daragon ◽  
Katarzyna Krzanowska ◽  
Olivier Vittecoq ◽  
Jean-François Menard ◽  
Isabelle Hau ◽  
...  

2006 ◽  
Vol 73 (9) ◽  
pp. 916-920 ◽  
Author(s):  
Bernard Fournié ◽  
Nathalie Margarit-Coll ◽  
Thibaud Lalande Champetier de Ribes ◽  
Laurent Zabraniecki ◽  
Anne Jouan ◽  
...  

2019 ◽  
Vol 35 (1) ◽  
pp. 5-10
Author(s):  
E. Hammel ◽  
M. Younan ◽  
Y. Mériane ◽  
M.M. Diallo

L’arthrodèse de l’articulation métatarsophalangienne du premier rayon (MTP1) est une solution éprouvée en cas d’altération importante de la MTP1. Différentes techniques sont utilisées. L’objectif de cette étude prospective était d’évaluer les résultats d’une ostéosynthèse fondée sur le recours à une agrafe à mémoire, associée à un dispositif oblique de type vissage ou broche. Quarante-cinq pieds ont été opérés pendant 48 mois. Le matériel utilisé était une agrafe en alliage titane-nickel et une vis de Scarf ou bien une broche. La décharge postopératoire d’avant-pied était de 45 jours. L’étude du score moyen AOFAS a retrouvé un bon résultat sans aucun cas de douleur MPT1 ni de mobilité résiduelle. La fusion radiologique complète a été retrouvée dans 95,5 % des cas, il y a eu deux cas (4,5 %) de pseudarthroses serrées, indolores sans réintervention. Le choix d’utiliser des agrafes à mémoire de forme pour cette arthrodèse repose sur trois raisons : le faible encombrement du matériel, la facilité de pose et surtout la mise en compression du site par l’effet de la mémoire de forme. Le choix de mettre l’agrafe en position dorsale repose sur deux raisons : la résistance maximale de l’agrafe dans le plan défini par ses deux pattes et les contraintes maximales s’exerçant sur la MTP1 dans le plan de la flexion–extension, l’arthrodèse fixée en extension MTP1 met l’agrafe qui est en position dorsale et en zone concave à distance des tendons et plan cutané. Les séries les plus récentes de la littérature montrent des taux de fusion qui sont très proches quel que soit le mode d’ostéosynthèse (90 à 96 %). L’arthrodèse pour hallux valgus majeur a le taux de pseudarthrose le plus élevé, à 14,3 %. L’arthrodèse fusionne mieux en cas de polyarthrite rhumatoïde qu’en cas d’arthrose simple et mieux en cas d’arthrose qu’en cas de reprise. Dans une méta-analyse de 2 656 cas d’arthrodèses MTP1, toutes étiologies confondues, le taux de pseudarthrose global était de 5,4 %. L’arthrodèse MTP1 avec utilisation systématique d’une agrafe à mémoire de forme donne des résultats aussi bons que ceux des autres techniques publiées. L’utilisation d’une seule agrafe, contre deux pour les autres séries publiées, ne change pas les résultats sur la fusion de l’arthrodèse.


2001 ◽  
Vol 68 (3) ◽  
pp. 250-254
Author(s):  
Eero A Belt ◽  
Kalevi Kaarela ◽  
Heikki Mäenpää ◽  
Markku J Kauppi ◽  
Janne T Lehtinen ◽  
...  

2006 ◽  
Vol 73 (10-11) ◽  
pp. 1096
Author(s):  
N. Courvoisier ◽  
M. Dougados ◽  
A. Cantagrel ◽  
P. Goupille ◽  
J.-P. Daurès ◽  
...  

2011 ◽  
Vol 25 ◽  
pp. S149
Author(s):  
A. Pierreisnard ◽  
H. Gin ◽  
T. Schaeverbeke ◽  
T. Barnetche ◽  
C. Gonzalez ◽  
...  

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