Bilan des interventions pharmaceutiques sur un an dans un centre hospitalier spécialisé en psychiatrie

2018 ◽  
Vol 1 ◽  
pp. S173-S174
Author(s):  
J.L. Longuefosse ◽  
P. Rhodes ◽  
G. Liguori ◽  
A. Baudu
Keyword(s):  
2009 ◽  
Vol 48 (4) ◽  
pp. 337-341
Author(s):  
P. Gandaho ◽  
F. TchegnonsI ◽  
M.G. Gansou ◽  
P.P Gbaguidi

Endoscopy ◽  
2009 ◽  
Vol 41 (03) ◽  
Author(s):  
C Barrault ◽  
D Gillot ◽  
B Pellat ◽  
I Rosa Hezode ◽  
A Chryssostalis ◽  
...  

2019 ◽  
Author(s):  
Y Thiyfa ◽  
T Gharbi ◽  
H Laarabi ◽  
L Kabbage ◽  
I Dadamessi
Keyword(s):  

Endoscopy ◽  
2008 ◽  
Vol 40 (03) ◽  
Author(s):  
S Ollivier ◽  
M Vergnieres ◽  
JL Faillie ◽  
F Khemissa ◽  
AJ Remy ◽  
...  
Keyword(s):  

2019 ◽  
Vol 32 (2) ◽  
pp. 115-121
Author(s):  
C. Bertrand ◽  
L. Percheron

Objectif : Étudier l’effet de l’utilisation de la tablette numérique sur la douleur lors des ponctions veineuses chez les enfants lors de consultations non programmées. Matériels et méthodes : Étude prospective contrôlée randomisée monocentrique au sein du service de pédiatrie du centre hospitalier du Val d’Ariège du 20 mars au 20 mai 2017 incluant 37 enfants de deux mois à sept ans. L’intensité de la douleur lors des ponctions veineuses a été comparée grâce au score FLACC chez deux groupes se distinguant par la technique de distraction utilisée : le groupe étudié (utilisation de la tablette) et le groupe témoin (lecture d’un livre). Résultats : Une différence significative a été retrouvée dans le groupe utilisant la tablette chez les enfants d’un à trois ans (p = 0,01) et chez les patients de sexe féminin (p = 0,02). Conclusion : Cette étude prouve l’efficacité de l’utilisation de la tablette numérique en tant que technique de distraction lors des ponctions veineuses chez les enfants d’un à trois ans.


2019 ◽  
Vol 9 (2) ◽  
pp. 81-88
Author(s):  
L.M. Bérard

Objectifs : De nombreux traitements anti-infectieux sont débutés dans les services d’urgences (SU). Nous avons étudié la qualité de la prescription d’antibiotiques dans le traitement probabiliste des infections urinaires (IU) au SU d’un centre hospitalier général français. Matériels et méthodes : Nous avons conduit une étude rétrospective monocentrique du 1er janvier au 30 juin 2017. Tous les patients pour lesquels une IU a été diagnostiquée au SU ont été inclus. Les traitements hospitaliers et ambulatoires des IU ont été analysés au regard des recommandations de 2015 de la Société d’infectiologie française. Le critère principal d’évaluation a été le classement des antibiothérapies probabilistes en deux catégories : « conforme » ou « non conforme » à ce référentiel. Le critère secondaire d’évaluation a été l’adéquation du traitement antibiotique initial à la sensibilité des souches bactériennes identifiées. Résultats : Cent quatre-vingt-onze patients ont été inclus : 99 pyélonéphrites (52 %), 18 prostatites (9 %), 48 cystites (25 %) et 26 infections urinaires de siège non précisé (14 %). L’âge moyen a été de 52 ans avec 26 % d’hommes et 74 % de femmes. Au total, 114 antibiothérapies (60 %) ont été considérées conformes aux recommandations. Des antibiotiques ont été prescrits par excès dans 35 cas. La souche identifiée n’était pas sensible au traitement instauré au SU dans neuf situations. Conclusion : Cette étude met en exergue les difficultés pour la mise en application des recommandations en thérapeutique anti-infectieuse au SU dans 40 % des situations. Un rappel et une évaluation continue des bonnes pratiques de prescription des antibiotiques au SU sont nécessaires.


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