service d’urgences
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120
(FIVE YEARS 11)

H-INDEX

5
(FIVE YEARS 0)

2021 ◽  
Vol 51 (5) ◽  
pp. S84
Author(s):  
M. Ben Selma ◽  
S. Mabrouk ◽  
F. Majdoub ◽  
M. Tfifha ◽  
S. Nouir ◽  
...  
Keyword(s):  

2021 ◽  
Vol 11 (4) ◽  
pp. 212-220
Author(s):  
P. Léaute ◽  
O. Pettinotti ◽  
P. Pes ◽  
L. Meresse-Prost ◽  
F. Toulgoat ◽  
...  

Introduction : La justification des demandes de tomodensitométrie (TDM) faites aux urgences est mal connue. Notre objectif était d’évaluer la justification des demandes de TDM dans un service d’urgences adultes. Méthodes : La justification des demandes de scanner a été mesurée prospectivement de deux façons complémentaires. L’adéquation aux recommandations a été évaluée pour l’ensemble des demandes de TDM par confrontation à une liste préétablie de syndromes et d’hypothèses diagnostiques. La pertinence des demandes a été évaluée par un comité d’experts sur la base du dossier médical des urgences pour 100 de ces dossiers. Résultats : Les 273 TDM incluses concernaient le crâne (52%), l’abdomen (17%), le thorax (11%) ou une autre localisation (20%). Elles étaient en adéquation avec les recommandations dans 215 cas (79%). Pour 100 dossiers analysés par le comité d’experts, la pertinence a été adjugée à l’unanimité pour 95 cas ; 67 TDM (71%) ont été jugées pertinentes. La concordance entre l’adéquation aux recommandations et la pertinence évaluée par le comité d’expert était faible (kappa, 0,27, intervalle de confiance à 95%, de 0,06 à 0,47). Le seul facteur associé significativement à la pertinence était l’opinion du clinicien en charge du patient que la TDM ne pouvait pas être reportée (OR=6,7 avec IC95% [1,6-28,1], p=0,01). Conclusion : La proportion des demandes de TDM qui ne sont pas en adéquation avec les recommandations et la proportion de demandes non pertinentes sont élevées. Elles suggèrent que le nombre de TDM demandées par les services d’urgences pourrait être diminué.


2021 ◽  
Vol Vol. 35 (1) ◽  
pp. 5-12
Author(s):  
Catherine Bollondi-Pauly ◽  
Eliane Dalex ◽  
Florence Rochon ◽  
Nathalie Dieudonné-Rham ◽  
Maria Goreti Da Rocha Rodrigues

Author(s):  
T. Santiago ◽  
M. Oberlin ◽  
J. Contenti ◽  
P. Bilbault ◽  
J. Levraut

Introduction : La prise en charge de l’épidémie de Covid-19 dans un service d’urgences (SU) requiert une évaluation de ses critères de gravité. La Covid-19 est évolutive et l’aggravation respiratoire détermine le pronostic. Notre objectif était de rechercher les facteurs prédictifs de gravité en fonction du délai d’initiation d’une oxygénothérapie dans une population française atteinte de Covid-19 au sein d’un SU. Matériels et méthode : L’étude observationnelle rétrospective aux Hôpitaux Universitaires de Strasbourg, durant la première vague de la pandémie, incluait les patients hospitalisés depuis le SU en 2020 pour infection au SARS-CoV-2. Elle évaluait les délais entre le début des symptômes (J0) et l’initiation d’une oxygénothérapie, et entre J0 et l’apparition des complications hospitalières. L’analyse multivariée recherchait les facteurs associés à l’oxygénothérapie précoce et à la mortalité intra-hospitalière. Résultats : 699 patients ont été inclus. L’oxygénothérapie était initiée le 7 ± 4e jour, la ventilation mécanique le 9 ± 4e jour. L’initiation précoce d’oxygénothérapie (avant le 6e jour) était significativement et indépendamment associée à l’immunosuppression, à l’âge ≥ 75 ans, à l’hypertension artérielle, et au sexe féminin. La mortalité intra-hospitalière était significativement et indépendamment associée à un âge ≥ 75 ans, une immunosuppression, une cardiopathie ischémique, et une oxygénothérapie précoce. Conclusion : Parmi les patients hospitalisés pour la Covid-19 durant la première vague, le jour moyen d’initiation d’oxygénothérapie était le septie jour. Une oxygénothérapie précoce, un âge ≥ 75 ans, une immunosuppression et une cardiopathie ischémique étaient associés à une forme grave de la Covid-19.


2020 ◽  
Vol 55 (2) ◽  
pp. 127-135
Author(s):  
A. Mrani Alaoui ◽  
N. Madani ◽  
J. Belayachi ◽  
J. Taoufik ◽  
R. Abouqal ◽  
...  
Keyword(s):  

2019 ◽  
Vol 1 ◽  
pp. S102
Author(s):  
S. Alaux-Cantin ◽  
B. Angerville ◽  
C. Ammirati ◽  
M. Naassila ◽  
A. Dervaux
Keyword(s):  

2019 ◽  
Vol 40 (324) ◽  
pp. 21-24
Author(s):  
Anne-Kristelle Trebalag ◽  
Emmanuel Breuer-Wirbel ◽  
Hélène K’ourio ◽  
Alexandra Pham-Scottez ◽  
Dominique Silliau ◽  
...  

2019 ◽  
Vol 67 ◽  
pp. S86
Author(s):  
I. Chouba ◽  
T. Arbaoui ◽  
L. Amodeo ◽  
F. Yalaoui ◽  
P. Blua ◽  
...  
Keyword(s):  

2019 ◽  
Vol 9 (2) ◽  
pp. 81-88
Author(s):  
L.M. Bérard

Objectifs : De nombreux traitements anti-infectieux sont débutés dans les services d’urgences (SU). Nous avons étudié la qualité de la prescription d’antibiotiques dans le traitement probabiliste des infections urinaires (IU) au SU d’un centre hospitalier général français. Matériels et méthodes : Nous avons conduit une étude rétrospective monocentrique du 1er janvier au 30 juin 2017. Tous les patients pour lesquels une IU a été diagnostiquée au SU ont été inclus. Les traitements hospitaliers et ambulatoires des IU ont été analysés au regard des recommandations de 2015 de la Société d’infectiologie française. Le critère principal d’évaluation a été le classement des antibiothérapies probabilistes en deux catégories : « conforme » ou « non conforme » à ce référentiel. Le critère secondaire d’évaluation a été l’adéquation du traitement antibiotique initial à la sensibilité des souches bactériennes identifiées. Résultats : Cent quatre-vingt-onze patients ont été inclus : 99 pyélonéphrites (52 %), 18 prostatites (9 %), 48 cystites (25 %) et 26 infections urinaires de siège non précisé (14 %). L’âge moyen a été de 52 ans avec 26 % d’hommes et 74 % de femmes. Au total, 114 antibiothérapies (60 %) ont été considérées conformes aux recommandations. Des antibiotiques ont été prescrits par excès dans 35 cas. La souche identifiée n’était pas sensible au traitement instauré au SU dans neuf situations. Conclusion : Cette étude met en exergue les difficultés pour la mise en application des recommandations en thérapeutique anti-infectieuse au SU dans 40 % des situations. Un rappel et une évaluation continue des bonnes pratiques de prescription des antibiotiques au SU sont nécessaires.


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