The politics of language and ethnicity

2001 ◽  
Vol 1 (2) ◽  
pp. 67-73
Author(s):  
Camille C. O'Reilly
2000 ◽  
Vol 30 (First Serie (1) ◽  
pp. 92-110
Author(s):  
Sarah Gore ◽  
John McInnes
Keyword(s):  

1981 ◽  
Vol 14 (3) ◽  
pp. 459-485 ◽  
Author(s):  
William D. Coleman

Les deux grandes réformes linguistiques des années 1970 au Québec, la Loi des langues officielles de 1974 et la Charte de la langue française de 1977, sont issues de la Révolution tranquille. Ces deux lois ont pour origine l'idée que la société francophone doit jouer son rôle dans l'économie nord-américaine et que tous les groupes culturels du Québec doivent être harmonisés. Ces deux lois tentent aussi de remédier à la crise démographique des années 1960, au déclin de la culture traditionnelle canadienne-française, à l'arrivée massive de diplômés en commerce et en génie dans les années 1970. Cependant, malgré leurs points communs, ces deux lois ont été promulguées par deux gouvernements différents basées sur des clientèles elles aussi différentes.Le présent article compare les remèdes proposés par le Parti québécois aux problèmes linguistiques à ceux du Parti libéral du Québec. L'évolution de l'attitude du Parti québécois se révèle assez complexe, allant du radicalisme de la Loi l, première version de la Charte, pour aboutir à la version plus modérée de la Loi 101. Au bout du compte, en ce qui concerne l'administration publique et l'éducation, le Parti québécois a considérablement amplifié les dispositions prises par le Parti libéral, alors qu'en ce qui concerne le monde des affaires les changements ont été rares et secondaires. Il en résulte que la société francophone du Québec a nettement placé sous sa houlette les autres groupes culturels de la province, mais que son emprise sur les hautes sphères des affaires est faible.


2011 ◽  
Vol 31 (4) ◽  
pp. 562-582 ◽  
Author(s):  
Christine Kelly

Disability scholars and activists argue that ‘care’ is a complex form of oppression and reject it as a term and concept. I explore the possibility of salvaging care from its oppressive medical and charitable legacies through a discussion of personal assistance. While not arguing for a return to terming personal assistance ‘care’, I argue care can be made accessible in policies and discussions of attendant services and in more general discussions related to care. Like the built environment, care requires ‘retrofitting’ as in updating existing structures to fully include disability perspectives. This requires redefining care as a complex tension. Accessibility also evokes the sense of ‘at hand’; keeping care at hand in policy discussions allows us to consider transformative feminist conceptualizations of care and captures intricate relationships between attendants and disabled people, including people with intellectual disabilities. Most importantly, accessible versions of care always acknowledge the oppressive legacies and coercive potentials of care.


2004 ◽  
Vol 2 (2) ◽  
pp. 231-236 ◽  
Author(s):  
Antonia Darder
Keyword(s):  

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