Chapter^>12: Sarcocystosis in Camels (Camelus dromedarius and Camelus bactrianus)

2015 ◽  
pp. 278-283
Author(s):  
J.D. Souteyrand Boulenger

L'Auteur poursuivant l'étude systématique de la myologie de la région glutéale chez les mammifères rapporte quelques observations concernant la morphologie et l'innervation du muscle articulaire de la hanche des Camélidés (Camelus bactrianus L., Camelus dromedarius L., Lama glama L.). Une planche originale de la région coxo-fémorale de Lama glama illustre le texte


Author(s):  
E. Gharib Mombeni ◽  
M. Gharib Mombeini ◽  
H. R. Varshovi ◽  
M. Khalaj ◽  
M. Kenarkohi ◽  
...  

L’ecthyma contagieux du chameau (ECC) est une maladie de peau très contagieuse des ovins, des caprins et des chameaux causée par un Parapoxvirus. Cette étude rapporte une épidémie d’ECC dans un troupeau de 34 chameaux/dromadaires, dont 24 étaient infectés. Les animaux malades ont présenté des lésions papuleuses importantes sur les lèvres et les pattes, une augmentation de la température corporelle, un ptyalisme, une halitose et un œdème facial. Staphylococcus aureus a été identifié dans certains échantillons. Les taux de morbidité et de mortalité ont été respectivement de 70,6 et de 6 p. 100. Les chameaux infectés ont reçu un traitement de soutien. La plupart des chameaux se sont rétablis dans les trois semaines. L’analyse de la peau par la réaction de polymérisation en chaîne a mis en évidence la présence du gène B2L de la souche CE Kerman/2000. Il s’agit de la deuxième mention de la présence d’ECC en Iran. Comme il n’y a pas de program de vaccination pour les chameaux contre le virus de l’ecthyma contagieux en Iran, cette étude pourrait servir de base pour établir ce type de programme.


2020 ◽  
Vol 84 (3) ◽  
Author(s):  
A. Ryskalieva ◽  
Z. Krupova ◽  
C. Henry ◽  
B. Faye ◽  
G. S. Konuspayeva ◽  
...  

2014 ◽  
Vol 405 ◽  
pp. 35-46 ◽  
Author(s):  
Laura M. Griffin ◽  
James R. Snowden ◽  
Alastair D.G. Lawson ◽  
Ulrich Wernery ◽  
Jorg Kinne ◽  
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Author(s):  
Seyed Mohammad Barani ◽  
Mohammad Reza Mohebbi ◽  
Hamid Reza Varshovi ◽  
Amir Niasari-Naslaji ◽  
Mohammad Agha-Ebrahimian ◽  
...  

2021 ◽  
Vol 8 ◽  
Author(s):  
Taylor R. Locklear ◽  
Ricardo Videla ◽  
Ryan M. Breuer ◽  
Pierre-Yves Mulon ◽  
Mary Passmore ◽  
...  

Old World Camelids (OWC) represent two species (Camelus bactrianus and Camelus dromedarius) with increasing numbers in North America. Gastrointestinal (GI) parasitism is a major cause of clinical disease in camelids and leads to significant economic impacts. Literature reporting on clinical parasitism of camels is localized to India, Africa, and the Middle East, with limited information available on OWCs in North America. Objectives of this study were to report on clinical presentation and diagnostic findings in Camelus bactrianus and Camelus dromedarius with GI parasitism and provide a comparative analysis between geographic regions. Medical records of OWCs presenting to two veterinary teaching hospitals (of the University of Tennessee and University of Wisconsin) were evaluated. Thirty-one camels including 11 Bactrians and six dromedaries (14 species not recorded) were included for the clinical component of this study, reporting on signalment, presenting complaint, and clinical pathology. Anorexia, weight loss, and diarrhea were the most common presenting complaint. Clinical pathology findings included eosinophilia, hypoproteinemia, and hyponatremia. For the second component of this study, a total of 77 fecal parasite examination results were evaluated for parasite identification and regional variation. Trichuris, Capillaria, Strongyloides, Nematodirus, Dictyocaulus, Moniezia, and protozoan parasites (Eimeria, Cryptosporidium, Giardia) were recorded. Strongyle-type eggs predominated, followed by Trichuris and Eimeria spp. There was a statistically significant variation in prevalence of coccidia between the two regions, with fecal examinations from Tennessee more likely to contain Eimeria (P = 0.0193). Clinicians treating camels in North America should recognize anorexia, weight loss, and diarrhea combined with clinical pathologic changes of hypoproteinemia, eosinophilia and hyponatremia as possible indications of GI parasitism. Clinicians should also consider the potential for regional variation to exist for GI parasites of camels in different areas of North America.


Author(s):  
Louis Touratier

(Texte intégral)Les principaux trypanosomes pathogènes peuvent contaminer les camélidés dans les zones à glossines, mais seul Trypanosoma evansi est répandu dans tous les pays de l'aire d'expansion des deux espèces : Camelus dromedarius et Camelus bactrianus, en Afrique et en Asie. Il est bien admis désormais que sa transmission a lieu par diverses espèces d'insectes piqueurs, les tabanidés ayant un rôle de premier plan. Les pertes provoquées par les infections à T. evansi chez les camélidés sont certes dues à la mort des animaux infectés après une longue évolution. Mais la maladie, communément désignée par Surra, surtout en Asie, et par diverses autres appellations, comme Debab et M'bori en Afrique, évoluant de façon insidieuse dans un troupeau, se traduit surtout par un amaigrissement important des sujets atteints, des troubles de la reproduction (avortements, mortinatalités, naissances prématurées) bien étudiés récemment en Mauritanie, en Inde, au Soudan et au Kenya. En outre, on observe parallèlement une diminution de la sécrétion lactée et in fine une dévalorisation des carcasses. Les moyens de lutte contre le Surra font essentiellement appel à la détection des animaux infectés par des méthodes de diagnostic appropriées, à l'administration raisonnée de trypanocides et à la lutte contre les vecteurs. Le groupe ad hoc de l'OIE sur les Tantg s'est efforcé, depuis sa création en 1983, de recommander des solutions efficaces à ces trois exigences, aussi bien lors de ses réunions annuelles à Paris, pendant les sessions générales de l'OIE, que lors de deux réunions spécialisées : le séminaire international d'Annecy en octobre 1992 et le symposium Rcpmi/OIE d'Obihiro, Japon en août 1998. Les recommandations de ces deux réunions internationales ont tenu compte des nombreux rapports présentés et des différents travaux entrepris dans les laboratoires en Europe, en Afrique et en Asie ainsi que sur le terrain. Ainsi, il a été estimé qu'après les multiples essais effectués sur plusieurs milliers de camélidés en Asie et en Afrique, le test d'agglutination sur carte (Catt) / T. evansi pouvait être recommandé pour dépister l'affection (décision de la 20e réunion du Groupe, Paris, 19 mai 1999), le test au latex (LAT) devant encore subir des évaluations supplémentaires pour apprécier sa valeur en tant que méthode de diagnostic « au pied de l'animal ». Les trypanocides utilisables sont en nombre restreint : isométamidium, quinapyramine, di-acéturate de diminazène, mélarsomine spécifique de T. evansi des camélidés. Il faut signaler par ailleurs : la sensibilité particulière des souches de T. ninae-kohljakimovae (variété de T. evansi du chameau bactrien d'Asie centrale déterminant le su-auru), résistantes à la suramine mais très sensibles à l'isométamidium; l'apparition rapide de résistances à la quinapyramine ; une meilleure tolérance des camélidés à une association de diminazène, d'antipyrine et de procaïne (en cours de confirmation). La lutte contre les vecteurs reste limitée à l'emploi d'insecticides en vaporisation ou en pour-on. L'utilisation de pièges semble donner des résultats prometteurs.


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