scholarly journals Stimulation de la moelle épinière: solution de rechange non opioïde à la gestion de la douleur chronique

2021 ◽  
Vol 193 (1) ◽  
pp. E30-E33
Author(s):  
Aaron Hong ◽  
Vishal Varshney ◽  
Gregory MT Hare ◽  
C. David Mazer
2020 ◽  
Vol 33 (1) ◽  
pp. 19-23
Author(s):  
B. Leroy ◽  
C. Demoulin

La douleur chronique touche 20 % des Européens. Une prise en charge interdisciplinaire apparaît nécessaire en raison des facteurs cognitifs et affectivomotivationnels qui deviennent prédominants sur les facteurs sensoridiscriminatifs. Dans les programmes de gestion de la douleur, différentes disciplines interagissent de façon à aider le patient à atteindre un objectif fonctionnel qu’il s’est fixé. Le patient sera encouragé à faire des activités en dehors du centre afin de rendre pérenne son changement de comportement.


Author(s):  
Anne Carswell

Résumé«Chronic Pain in Old Age» porte sur les mythes qui entourent la compréhension et la gestion de la douleur chronique chez les aînés. Onze essais, regroupés en trois sections, présentent une large perspective sur les aspects sociaux, physiques, psychologiques et épidémiologiques de la douleur, les effets de la douleur chronique sur la dynamique familiale et une approche interdisciplinaire de la gestion de la douleur. Il s'agit d'un ouvrage informatif de lecture facile, qui présente des idées concrètes pour l'évaluation de la douleur chronique et des stratégies d'intervention efficaces.


2018 ◽  
Vol 23 (suppl_1) ◽  
pp. e2-e3
Author(s):  
Stephanie Proulx-Cabana ◽  
Louis Picard ◽  
Marie-Claude Fortin ◽  
Jo-Anne Couillard ◽  
Danielle Taddeo ◽  
...  

Abstract BACKGROUND La douleur chronique, d’origine organique ou somatique, représente un fardeau financier important au niveau du système de santé. L’intervention multidisciplinaire a été démontrée efficace pour améliorer cliniquement l’impact fonctionnel de cette condition. OBJECTIVES Étude de l’impact d’une prise en charge multidisciplinaire pédiatrique et psychologique sur les symptômes douloureux fonctionnels et leur retentissement dans une population adolescente référée pour échec de prise en charge nitiale. DESIGN/METHODS Analyse rétrospective de dossiers d’adolescents, de 14 à 18 ans, suivis en clinique des adolescents pour des symptômes douloureux fonctionnels entre janvier 2016 et juin 2017. L’équipe multidisciplinaire est composée de pédiatre, psychologue en suivi individuel ou lors du groupe d’intervention en gestion de la douleur, physiothérapeute et infirmière. RESULTS 24/36 adolescents ayant des symptômes réfractaires avaient des dossiers exploitables. L’âge médian était de 15,9 ans [14,9; 16,3] avec 87,5% de filles dans l’échantillon. Les principales plaintes rapportées étaient des céphalées (50%), nausées/vomissements (50%), douleurs abdominales (37,5%), douleurs musculo-squelettiques (37,5%), fatigue (37,5%) et symptômes neurologiques (20,8%). Le nombre médian de plaintes étaient de 2 par patient. À la consultation initiale, pour le symptôme principal, la durée médiane écoulée depuis l’apparition était de 13 mois [3,75; 34,5], l’intensité médiane de 6/10 et la fréquence médiane de 7 jours/semaine. Le nombre médian de consultations médicales avant la prise en charge spécialisée était de 3 [2; 5], dont 76,6% d’entre elles en surspécialité pédiatrique. Les patients avaient un nombre médian d’intervenants psychosociaux impliqués au dossier initial de 1, dont un psychologue dans 42,4%. Initialement, 83,3% des patients présentaient un absentéisme scolaire significatif. Suite à la prise en charge, nous avions une amélioration des symptômes pour 70,8% et de l’absentéisme scolaire pour 63,6%. Les symptômes de nausées/vomissements étaient les plus persistants. Sur notre petit groupe d’adolescents, il n’a pas été possible de mettre en évidence de différence significative entre ceux qui avaient bénéficié du groupe d’intervention et les autres. CONCLUSION Dans une population d’adolescents avec symptômes douloureux fonctionnels dont la prise en charge en première ligne n’a pas été efficace, une prise en charge multidisciplinaire spécialisée permet une amélioration des symptômes et de la fréquentation scolaire dans 2/3 des cas.


2012 ◽  
Vol 25 (4-5) ◽  
pp. 214-218 ◽  
Author(s):  
P. Fréchette ◽  
P. Bouchard

2021 ◽  
Author(s):  
S. Salas ◽  
M. Bruge-Ansel

Introduction : La douleur est un symptôme commun chez 30 à 40 % des patients atteints d’un cancer, tous stades confondus de la maladie ; 15 à 30 % d’entre eux souffrent d’une douleur dite réfractaire aux opioïdes. La littérature de ces dernières années a décrit la kétamine, à dose subanesthésique, comme un intéressant adjuvant aux opioïdes, pour la prise en charge des douleurs cancéreuses réfractaires. L’objectif de cette revue de la littérature est d’évaluer l’état actuel des connaissances sur l’efficacité et la tolérance de la kétamine dans la gestion de la douleur chronique liée au cancer. Méthode : Nous avons analysé 12 articles publiés entre 1999 et 2019, traitant de l’utilisation de la kétamine pour la gestion des douleurs cancéreuses. Résultats : Parmi les articles sélectionnés, quatre remplissaient des critères méthodologiques scientifiquement validés. Trois de ces essais cliniques randomisés, en double insu, contrôlés par placebo, concluaient à une absence d’efficacité de la kétamine. Les populations analysées et les protocoles d’administration de la kétamine étaient très hétérogènes. Les bénéfices suggérés concerneraient principalement l’épargne morphinique, dans une certaine population de patients, apparaissant comme bons répondeurs, mais dont les caractéristiques semblent imprécises. La kétamine paraît plutôt bien tolérée dans la plupart de ces études, avec des effets secondaires légers, réversibles à l’arrêt du traitement. Conclusion : Il subsiste de nombreuses questions sans réponse, quant à l’efficacité de la kétamine dans la gestion de la douleur cancéreuse. Des études supplémentaires doivent être menées dans les prochaines années afin d’y répondre et d’apporter un bénéfice en pratique clinique.


2015 ◽  
Vol 20 (2) ◽  
pp. 101-106 ◽  
Author(s):  
Dave A Bergeron ◽  
Patricia Bourgault ◽  
Frances Gallagher

INTRODUCTION: Thousands of people treated in primary care are currently experiencing chronic pain (CP), for which management is often inadequate. In Quebec, nurses in family medicine groups (FMGs) play a key role in the management of chronic health problems.OBJECTIVE: The present study aimed to describe the activities performed by FMG nurses in relation to CP management and to describe barriers to those activities.METHOD: A descriptive correlational cross-sectional postal survey was used. The accessible population includes FMG nurses on theOrdre des infirmières et infirmiers du Québeclist. All nurses on the list who provided consent to be contacted at home for research purposes were contacted. A self-administered postal questionnaire (Pain Management Activities Questionnaire) was completed by 53 FMG nurses.RESULTS: Three activities most often performed by nurses were to establish a therapeutic relationship with the client; discuss the effectiveness of therapeutic measures with the physician; and conduct personalized teaching for the patient. The average number of individuals seen by interviewed nurses that they believe suffer from CP was 2.68 per week. The lack of knowledge of possible interventions in pain management (71.7%) and the nonavailability of information on pain management (52.8%) are the main barriers perceived by FMG nurses.CONCLUSION: FMG nurses are currently performing few activities in CP management. The nonrecognition of CP may explain this situation.


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