Remember Mongo Beti (1932-2001)

2002 ◽  
Vol 33 (2) ◽  
pp. 1-3
Author(s):  
Ambroise Kom
Keyword(s):  
2018 ◽  
Vol 6 ◽  
pp. 94-102
Author(s):  
Ibrahim Boumazzou
Keyword(s):  

Cet article se veut une étude analytique de l’identité et de la culture africaine dans Mission terminée de Mongo Beti. Il a pour objectif de faire la lumière sur la spécificité de cette société, la place que l’individu y occupe et les transformations qu’elle a subies avec l’arrivée du colonisateur. Il est centré d’abord sur les personnages du roman et leurs attributions afin de savoir comment est constitué, structuré et hiérarchisé le groupe social auquel appartiennent ces entités. Il reconstitue ensuite les aspects culturels de la vie de l’homme noir tels qu’ils sont suggérés par le texte.


2001 ◽  
Vol 163-164 (1) ◽  
pp. 41
Author(s):  
Romuald Fonkoua
Keyword(s):  

2019 ◽  
Vol 7 (2) ◽  
pp. 140-166
Author(s):  
Eric Nsuh Zuhmboshi

Abstract The relationship that exists between the state and her citizens has been described by Jean Jacques Rousseau as “a social contract.” In this contractual agreement, citizens are bound to respect state authority while the state, in turn, has the bounden duty to protect her citizens and guide them in their aspirations. In fact, any state that does not perform this duty is guilty of violating the fundamental rights of her citizens. This, however, is not the case in most postcolonial societies where the citizens see the state as an aggressive apparatus against their wellbeing because the state is not fulfilling its own part of the social contract, which requires them to protect the citizens and guide them in their aspirations. This unfortunate situation has laid the foundation for protest and anti-establishment writings in post-colonial societies – especially in Africa. Since literature, as a semiotic resource, is coterminous with its socio-political context, this attitude of the state has drawn inimical criticism from key postcolonial African writers such as Chinua Achebe, Wole Soyinka, Ngugi wa Thiong’o, Mongo Beti, and Nadine Gordimer. Using Helon Habila’s Waiting for an Angel and John Nkemngong Nkengasong’s Across the Mongolo, this essay shows the relationship between state-terrorism and the traumatic conditions of the citizens in contemporary Africa. From the perspective of trauma theory, the essay defends the premise that the postcolonial subjects/characters, in the novels under study, are traumatized and depressed because of their continuous victimization by the state. Due to this state-imposed terror and hardship, the citizens are forced to indulge in political agitation, radicalism and violence in response to their destitute and impoverished conditions.


2002 ◽  
Vol 33 (2) ◽  
pp. 4-8
Author(s):  
Abiola Irele
Keyword(s):  

Books Abroad ◽  
1963 ◽  
Vol 37 (2) ◽  
pp. 156
Author(s):  
C. H. Wake
Keyword(s):  

2017 ◽  
pp. 55-66
Author(s):  
Phyllis Taoua
Keyword(s):  

Dans cet essai, je considère le retour de Mongo Beti au Cameroun après son exil en France comme une expérience d’aliénation que l’auteur cherche à surmonter en raison de son besoin d’appartenance à sa communauté d’origine. Si les conséquences de son éloignement et la souffrance de se sentir marginalisé dans une société soumise à la dictature sont bien compréhensibles, il faut cependant reconnaître que l’aliénation est aussi une source de motivation, un dilemme à dépasser et une interpellation à laquelle répondre. La volonté de dépassement de Mongo Beti est justement liée à sa croyance d’appartenir à un projet plus vaste que sa personne : celui d’une véritable libération nationale, d’une lutte pour la démocratie et l’avènement de la justice sociale.


2018 ◽  
pp. 51-67
Author(s):  
Bernard Mouralis
Keyword(s):  

À la différence de Mongo Beti ou de Tchicaya U Tam’si, Henri Lopes, dans ses romans, n’a pas cherché à retracer une histoire avec la périodisation qu’un tel projet implique. Dans un premier temps, on examinera l’intérêt que Lopes porte à l’écriture d’une chronique sociale nettement insérée dans le contexte de l’Afrique des années 1960-1970, avec le recueil de nouvelles Tribaliques (1971), La Nouvelle Romance (1976) et Sans tam-tam (1977). Puis, avec Le Pleurer-rire (1982), il sort du cadre strict de la chronique en proposant, dans la lignée de Rabelais et M.A. Asturias, le portrait d’un dictateur, truculent, cruel, obscène. L’article s’interroge enfin sur la façon dont Lopes ne cesse d’entrelacer l’histoire et l’Histoire, en s’appuyant notamment sur le cas de Marie-Ève, l’héroïne peintre de Sur l’autre rive (1992), et sur des textes plus nettement autobiographiques (Ma grand-mère bantoue et mes ancêtres les Gaulois, 2003) ou relevant de l’autofiction (Le Méridional, 2015).


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