scholarly journals Le butin de guerre et la tunique de Nessus: traduire le rapport au français chez Malika Mokeddem et Assia Djebar.

2009 ◽  
Vol 2 (24) ◽  
Author(s):  
Désirée Schyns
Keyword(s):  
2009 ◽  
Vol 1 (2) ◽  
pp. 69-93
Author(s):  
Roswitha Geyss

En 1977, au moment où il inaugure son enseignement au Collège de France, Roland Barthes s’interroge sur le pouvoir et le savoir. Il propose une définition volontairement provocatrice de la langue comme « fasciste » et constate qu’il faut « tricher avec la langue » et « tricher la langue », pour entendre la « langue hors-pouvoir » : « Cette tricherie salutaire, cette esquive, ce leurre magnifique, qui permet d’entendre la langue hors-pouvoir, dans sa splendeur d’une révolution permanente du langage, je l’appelle pour ma part : littérature. » (15) La littérature est donc et doit être un merveilleux terrain d’expérimentation. Nous proposons d’analyser dans cet article l’œuvre d’écrivaines algériennes dont la langue maternelle est l’arabe parlé, l’arabe féminin, et qui écrivent en français, qui est la langue de l’école et la langue qu’elles « trichent » pour entendre « la langue hors-pouvoir » (Assia Djebar, Malika Mokeddem). Nous analysons aussi l’œuvre de l’écrivaine tunisienne Nine Moati, qui perpétue dans ses textes le souvenir de son père Serge Moati.


2018 ◽  
Author(s):  
Renee Walsh
Keyword(s):  

Mémoire de master écrit en 2007-2008. Ce mémoire traite de la poétique transfrontalière dans deux romans: Les nuits de Strasbourg d'Assia Djebar et N'zid de Malika Mokeddem.


2013 ◽  
Vol 87 (2) ◽  
pp. 33-45
Author(s):  
Laura Klein
Keyword(s):  

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