BLAY, Jacqueline (2016) Histoire du Manitoba français, t. 3 : De Gabrielle Roy à Daniel Lavoie (1916-1968), Winnipeg, Éditions des Plaines, 467p.

2021 ◽  
Vol 33 (1-2) ◽  
pp. 335-339
Author(s):  
Michel Verrette
Keyword(s):  
1969 ◽  
Vol 2 (2) ◽  
pp. 177
Author(s):  
Gérard Bessette
Keyword(s):  

1986 ◽  
Vol 4 ◽  
pp. 194-205 ◽  
Author(s):  
Myrna Delson-Karan
Keyword(s):  

2017 ◽  
Vol 29 (2) ◽  
pp. 411-427
Author(s):  
Carol J. Harvey
Keyword(s):  

Depuis la parution en 1970 du sixième roman de Gabrielle Roy, La rivière sans repos, ni la critique littéraire ni le public ne lui a accordé beaucoup d’attention. Dans cet article, nous proposons une relecture du roman en vue de montrer à quels égards Gabrielle Roy était en avance sur son temps en mettant Elsa, une femme inuite, au centre de son texte. Après avoir rappelé brièvement la genèse du roman, nous étudierons les éléments-clés de la thématique: le conflit identitaire et le désarroi qui se produisent chez Elsa quand deux cultures sont en contact, l’ancienne et la moderne; la confrontation entre les valeurs traditionnelles des Inuit perçues comme inférieures et la culture moderne jugée supérieure qui représente le progrès, les sciences, la médecine et le matérialisme. Nous dégagerons par la suite certaines composantes des paysages du Nord qui appuient symboliquement Elsa et ses proches. Il ressort de cette étude que Roy voyait clairement le racisme et autres injustices du système colonial du Canada. Sans les dénoncer ouvertement, pourtant, l’auteure nous invite à lire entre les lignes de son roman et à en voir la portée idéalogique.


Semiotica ◽  
2019 ◽  
Vol 2019 (226) ◽  
pp. 243-269
Author(s):  
Pierre-Antoine Navarette

Résumé Le présent article analyse d’un point de vue sémiotique les rapports entre la /lumière/ et l’/obscurité/ et les catégories discursives au sein d’un corpus de quatre textes de la littérature du dix-neuvième et vingtième siècle. Il s’agit de montrer que les propriétés physiques et sensibles fondent les structures sémio-narratives et orientent les catégories axiologiques, thymiques, spatiales et temporelles. Autrement dit, on observe une primauté de la lumière et de l’obscurité en tant que catégories organisées en structure élémentaire qui génère, par un système de conversion, les unités abstraites et concrètes aux niveaux successifs du parcours génératif.


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