neuroleptiques atypiques
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Author(s):  
Fadoua Oueriagli Nabih ◽  
Abdeslam Benali ◽  
Imane adali ◽  
Fatiha Manoudi ◽  
Fatima Asri

2008 ◽  
Vol 166 (2) ◽  
pp. 93-101 ◽  
Author(s):  
M. Biotteau ◽  
C. Receveur-Doucet ◽  
I. Suzanne ◽  
P. Gaillard ◽  
V. Camus

2008 ◽  
Vol 84 (5) ◽  
pp. 417
Author(s):  
Yessonguilana Jean-Marie Yéo-Tenena ◽  
Yavo Patrice Yao ◽  
Mamadou Kamagaté ◽  
Morifodé Doukouré ◽  
Peuwetchou Chamberlin Gaîtan Kadji ◽  
...  

2005 ◽  
Vol 50 (7) ◽  
pp. 423-428 ◽  
Author(s):  
Sophie Faucher ◽  
Roland Dardennes ◽  
Olivier Ghaëm ◽  
Julien-Daniel Guelfi

Les symptômes obsessionnels et compulsifs (SOC) sont fréquents, dans la schizophrénie, et semblent aggraver le pronostic. Plusieurs études de cas suggèrent l'apparition ou l'aggravation des SOC lors de traitements neuroleptiques atypiques (rispéridone, olanzapine et clozapine). Il semble donc souhaitable de rechercher des antécédents familiaux ou personnels de SOC avant d'initier un tel traitement, et de surveiller l'apparition des SOC après l'avoir instauré. Une grande partie de ces cas concerne la clozapine. En cas d'apparition de SOC sous clozapine, on peut diminuer les doses de clozapine et adjoindre un traitement par inhibiteur du recaptage de la sérotonine. Les travaux actuels suggèrent que les patients souffrant de schizophrénie avec des SOC devraient bénéficier d'un traitement neuroleptique et d'un traitement anti-obsessionnel. Il existe 2 études contrôlées portant sur le traitement des SOC dans la schizophrénie: l'une avec la clomipramine, l'autre avec la fluvoxamine. Toutes 2 ont démontré leur efficacité. Cependant, ces essais comprennent un faible nombre de patients aux caractéristiques hétérogènes.


PSN ◽  
2003 ◽  
Vol 1 (4) ◽  
pp. 13-18
Author(s):  
Michel Petit ◽  
Jean-Michel Azorin

Praxis ◽  
2002 ◽  
Vol 91 (11) ◽  
pp. 455-463 ◽  
Author(s):  
Hepp

Le délire est une complication psychiatrique fréquente chez les patients somatiques en hôpital aiguë et comporte une morbidité et mortalité élevées, une durée plus longue de l'hospitalisation et des coûts de traitement plus hauts. Le délire est souvent méconnu et, par conséquence, pas traité. Ce travail présente les facteurs de risque les plus importants, le diagnostic différentiel, les possibilités de prévention primaire et secondaire ainsi que les recommandations de traitements pharmacologiques et non-pharmacologiques. L'halopéridol reste toujours le médicament de choix pour le délire non provoqué par l'alcool alors qu'en cas de délire de sevrage d'alcool, les benzodiazépines et le chlométhiazol sont recommandés. D'autres possibilités de traitement, en particulier les neuroleptiques atypiques sont également présentés.


1996 ◽  
Vol 41 (3) ◽  
pp. 161-166 ◽  
Author(s):  
Gary J Remington ◽  
Donald Addington ◽  
Evan J Collins ◽  
Barry D Jones ◽  
Pierre Lalonde ◽  
...  

Objective: This study evaluates clozapine and its present role in the pharmacotherapy of schizophrenia. Method: Clozapine's current clinical status is reviewed, as is its position with respect to other treatment options. Results: Clozapine represents the prototype of “atypical” neuroleptics, with evidence of clinical efficacy in both positive and negative symptoms, as well as a diminished risk of extrapyramidal side effects. It is the only neuroleptic to date that has established itself as having little, if any, risk of tardive dyskinesia. More recent research has focused on its potential for overall savings in health care costs, as well as possible benefits in the area of neuropsychological functioning. Conclusion: Evidence suggesting that the course of schizophrenia can be altered by effective treatment favours a systematic approach that optimizes treatment options. While clozapine does not represent a 1st-line agent because of its risk of agranulocytosis, it has an integral role to play in treatment-resistant schizophrenia or in individuals experiencing intolerable side effects with conventional neuroleptics. Objectif: La présente étude vise à évaluer la clozapine et son rôle actuel dans la pharmacothérapie de la schizophrénie. Méthode: On évalue l'emploi clinique actuel de la clozapine ainsi que sa position par rapport à d'autres options de traitement. Résultats: La clozapine constitue le prototype des neuroleptiques «atypiques,» révélant une efficacité clinique autant sur les symptômes positifs que négatifs ainsi qu'un risque réduit d'effets secondaires extrapyramidaux. Elle constitue le seul neuroleptique à ce jour associé à peu, voire pas du tout, de risque de dyskinésie tardive. De récentes recherches se sont penchées sur son potentiel d'économies globales en soins de santé ainsi que sur ses avantages en matière de fonctionnement neuropsychologique. Conclusion: L'information qui suggère que l'évolution de la schizophrénie peut être modifiée par un traitement efficace encourage une approche systématique optimisant les options de traitement. Bien que la clozapine ne soit pas un médicament d'élection étant donné le risque d'agranulocytose, elle joue un rôle important dans le traitement de la schizophrénie résistante au traitement ou chez les personnes pour qui les effets secondaires des neuroleptiques conventionnels sont intolérables.


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