courbes de survie
Recently Published Documents


TOTAL DOCUMENTS

13
(FIVE YEARS 1)

H-INDEX

3
(FIVE YEARS 0)

2019 ◽  
Vol 38 (6) ◽  
pp. 425
Author(s):  
L. Chiche ◽  
C. Lazerges ◽  
B. Coulet ◽  
M. Chammas
Keyword(s):  

2018 ◽  
Vol 2 (2) ◽  
Author(s):  
Farouk Boukerche ◽  
Leila Hammou

Introduction - La stratification du risque chez les patients atteints de syndromecoronarien aigu (SCA) sans sus décalage du segment ST est l’étape primordiale dela prise en charge et il n’y a pas de données sur les patients algériens. Nos objectifsétaient l’identification et l’analyse des facteurs prédictifs d’événements cardiovasculaireset cérébrovasculaires majeurs à un an.Matériels et méthodes - Étude prospective incluant tous les patients admis au servicede cardiologie du CHU Oran pour SCA sans sus-décalage du segment ST (ST-) deNovembre 2015 à Octobre 2016 et avec un suivi d’une année. Les caractéristiquesdes patients recueillies individuellement et avec le calcul des différents scores derisque et angiographiques, ont été corrélés aux ECVM (évènements cardiovasculaireset cérébrovasculaires majeurs) à 1 an en analyse univariée et multivariée. Ona procédé également à une analyse des courbes de survie, de survenue des ECVMet à des courbes de ROC .Résultats - Deux cent quatre-vingt-seize (296) patients ont été inclus, les taux deECVM à 30 jours et à 1 an ont été respectivement de 5.1% et 13.2%, les taux demortalité d’origine cardiovasculaire à 30 jours et à 1 an respectivement de 2.4%et 5.4%.Les facteurs pronostiques issus de l’analyse multivariée sont l’angor persistant etrécidivant, les complications tardives, le sous décalage du segment ST descendant,les troubles du rythme ventriculaire, une créatinine sanguine > 12.1 mg/l, un Syntaxscore ? 20 et un traitement médical avec lésions non revascularisées.Conclusion - La promesse d’une médecine personnalisée passe par l’intégrationdes résultats des différentes études dans la prise en charge réelle de nos patients.


2017 ◽  
Vol 1 (4) ◽  
Author(s):  
Kheira Kheira ◽  
Khadidja Mahmoudi

Le rétinoblastome est la tumeur maligne intraoculaire la plus fréquente chez l’enfant, avec une incidence de 1 sur 15000 à 20000 naissances dans le monde. L’incidence exacte du rétinoblastome en Algérie n’est pas connue. Il est cité parmiles cancers de l’enfant et occupe de ce fait la 3ème place avec 6,3% après les leucémies et les lymphomes. Son diagnostic est souvent tardif. Des décès liés à la maladie sont encore enregistrés. L’objectif de cette étude est d’étudier le profilépidémiologique et clinique du rétinoblastome dans l’Ouest Algérien.Matériels et méthodes Nous avons effectué une étudedescriptive, rétrospective sur une période de 14 ans, du 1er mars 2002 au 31 décembre 2015. Elle regroupe tous les cas de rétinoblastome originaires dela région Ouest Algérien, recrutés au service d’ophtalmologiepédiatrique de l’EHS Canastel à Oran. L’analyse statistique a été réalisée en utilisant le test Chi2 pour la comparaison des pourcentages et un test « t » de student pour la comparaison des moyennes. Les courbes de survie ont été réaliséesselon la méthode Kaplan-Meier et comparées par un test de log-Rank.Résultats Au total, 140 cas de rétinoblastome ont été diagnostiqués, 91 cas unilatéraux (65%), 48 cas bilatéraux (34,3%) et un cas trilatéral (0,7%). La moyenne enregistréeétait de10 cas/an. Le sexe ratio M/F=1,25. L’âge moyen au diagnostic était de 26,56 mois.74% de ces malades vivaient en milieu rural. Les cas familiaux représentaient 8,57 %. Le premier signe d’appel était la leucocorie dans 58%, la buphtalmie 15%, le strabisme vient en 3ème position avec 13,5% suivi de la celluliteorbitaire avec 10%. Le retard de consultation était en moyenne de 4,1mois. 97% des rétinoblastomes unilatérauxont été diagnostiqués au stade IV ou Vet 20% des yeux des bilatéraux aux stades IV ou V. Le strabisme et la leucocorie sont associés à un meilleur taux de survie par rapport à la cellulite orbitaire et la buphtalmie (p=0,018).ConclusionLe profil clinique des rétinoblastomes dans l’Ouest Algérien ressemble à celui des pays en développement notamment maghrébins. Le diagnostic est souvent tardif par manque de dépistage et méconnaissance des signes révélateurs précoces de la maladie. Les efforts doivent être concentrés sur la vulgarisation des signes d’appels les plus précoces de la maladie au sein de la population et des médecins de santé primaire.


2013 ◽  
Vol 3 (5) ◽  
pp. 393 ◽  
Author(s):  
Andrea G. Lantz ◽  
Nicholas Power ◽  
Brian Hutton ◽  
Rekha Gupta

Introduction: Testicular lymphoma is a rare and deadly diseaserepresenting 1% to 2% of all non-Hodgkin lymphomas (NHLs)and approximately 5% of all testicular neoplasms. Our objectiveis this study was to identify the presenting signs and symptoms,treatment and outcome of patients with testicular lymphoma diagnosedat our institution from 1992 to 2005, and to identify anydifferences in survival based on Ann Arbor Stage and InternationalPrognostic Index (IPI).Methods: A retrospective chart review was performed to identifydemographic characteristics, presenting signs and symptoms, treatmentand outcomes. Survival was assessed using Kaplan-Meiersurvival curves and log-rank testing.Results: Thirteen cases were identified; 1 of these cases was ultimatelyexcluded due to a diagnosis of lymphoma a year beforehe presented with testicular involvement. Of the remaining 12cases, the mean age was 65 years. Most patients presented withtesticular and scrotal swelling or mass. B symptoms (weight loss,fever, night sweats) were present in 1 case. Of the 12 cases,7 cases were stage I, 1 stage II and 4 stage IV. InternationalPrognostic Index was low risk (≤1) in 7 cases and high risk (>1)in 4 cases. Orchiectomy was performed in all cases. Three patientsreceived no further treatment. Of the remaining 9 patients, overall7 received systemic chemotherapy, and 7 radiation therapy(prophylactic in 6). Three patients received intrathecal chemotheraphyprophylaxis. Seven patients achieved complete remission.Four patients (57%) relapsed following complete remission. Mediantime to relapse was 32 months (range 11 to 73 months). Six patientsdied. Median survival was 29 months, and was significantly differentbetween early versus advanced stage (stage I/II disease: 71months; stage IV: 5 months p = 0.007).Conclusion: Testicular lymphoma is a rare and deadly form of extranodallymphoma. Survival was significantly different in early stageI/II and IPI low-risk versus advanced stage IV and IPI high-riskdisease. Randomized, prospective treatment trials may help toestablish better treatment strategies.Introduction : Le lymphome testiculaire est une maladie rare etmeurtrière représentant de 1 à 2 % de tous les lymphomes nonhodgkiniens (LNH) et environ 5 % des cancers testiculaires.L’objectif de notre étude était de dégager les signes et symptômesinitiaux, le traitement et les résultats possibles liés au lymphometesticulaire chez les patients ayant reçu un tel diagnostic à notreétablissement entre 1992 et 2005, et de déterminer les différencesdans les taux de survie en fonction de la classification de AnnArbor et de l’Indice pronostique international (IPI).Méthodologie : Un examen rétrospectif de dossiers a été effectuéafin de dégager les caractéristiques démographiques, les signeset symptômes initiaux, les méthodes de traitement et les résultats.La survie a été évaluée à l’aide des courbes de survie deKaplan-Meier et de la méthode de Mantel-Haenzel.Résultats : Treize cas ont été cernés; un des cas a plus tard étéexclus de notre étude en raison d’un diagnostic de lymphomeétabli un an avant la découverte de l’atteinte testiculaire. Chezles 12 cas restants, l’âge moyen était de 65 ans. La plupart despatients présentaient une enflure ou une masse testiculaires ouscrotales. Des symptômes B (perte de poids, fièvre, sueurs nocturnes)ont été notés dans un cas. Sur les 12 cas, 7 étaient destade I, 1, de stade II et 4, de stade IV. L’IPI indiquait un faiblerisque (≤ 1) dans 7 cas, et un risque élevé (> 1) dans 4 cas. Tousles patients ont subi une orchidectomie. Trois patients n’ont reçuaucun autre traitement, tandis que chez les 9 autres patients, 7ont reçu une chimiothérapie systémique et 7, une radiothérapie(prophylactique dans 6 cas). Trois patients ont reçu un traitementprophylactique par chimiothérapie intrathécale. Sept patients ontobtenu une rémission complète, parmi lesquels quatre patients(57 %) ont présenté plus tard une récidive. Le délai médian avantla récidive était de 32 mois (écart : 11 à 73 mois). Six patientssont décédés. La survie médiane était de 29 mois; une différencesignificative a été notée sur le plan de la survie médiane entreles patients de stade précoce et les patients de stade avancé (stadesI ou II : 71 mois; stade IV : 5 mois; p = 0,007).Conclusion : Le lymphome testiculaire est une forme rare et meurtrièrede lymphome extraganglionnaire. La survie s’est révéléesignificativement différente entre les stades précoces (I/II) et unIPI associé à un faible risque d’une part et un stade avancé (IV)et un IPI associé à un risque élevé d’autre part. Des essais prospectifsavec répartition aléatoire pourraient aider à élaborer demeilleures stratégies thérapeutiques.


Author(s):  
Jacques Guerry ◽  
François Sirveaux ◽  
Didier Oudet ◽  
Daniel Molé ◽  
Gilles Walch ◽  
...  
Keyword(s):  

1994 ◽  
Vol 91 ◽  
pp. 1092-1106 ◽  
Author(s):  
J Gueulette ◽  
V Grégoire ◽  
A Wambersie
Keyword(s):  

Sign in / Sign up

Export Citation Format

Share Document