Traitement de la spasticité focale du membre supérieur par toxine botulinique après accident vasculaire cérébral (AVC). Intérêt d'une approche au cas par cas

2004 ◽  
Vol 47 (8) ◽  
pp. 555-562 ◽  
Author(s):  
J. Luauté ◽  
E. Landrault ◽  
S. Jacquin-Courtois ◽  
P. Mertens ◽  
G. Rode ◽  
...  
2021 ◽  
Vol 177 ◽  
pp. S79
Author(s):  
Hasnaa Boutalja ◽  
Sanaa Mdarbi ◽  
Fatima Lmidmani ◽  
Abdellatif Elfatimi

2013 ◽  
Vol 169 ◽  
pp. A81
Author(s):  
M. El Bouchikhi ◽  
A. Khadir ◽  
H. Kassimi ◽  
F. Lmidmani ◽  
A. El Fatimi

Praxis ◽  
2003 ◽  
Vol 92 (5) ◽  
pp. 168-178
Author(s):  
Baumgartner ◽  
Georgiadis

Ce travail de revue présente la prévention secondaire des accidents vasculaire cérébraux par le traitement des facteurs de risque vasculaire, les inhibiteurs de l'agrégation plaquettaire, l'anticoagulation ou les thérapies endovasculaires. Deux études publiées récemment (PROtection aGainst Recurrent Stroke Study (PROGRESS) et la Heart Protection Study (HPS) ont pour la première fois pu démontrer l'efficacité d'un traitement contre l'hypertension et par statines dans la prévention secondaire après un accident vasculaire cérébral. PROGRESS a montré que la combinaison de perindopril et d'indapamide permet de réduire de 43% la survenue d'accidents vasculaires cérébraux ischémiques et hémorragiques chez les patients hypertendus ou normotendus alors que HPS a mis en évidence une diminution de 20% des accidents vasculaires cérébraux ischémiques chez les patients avec des taux sériques normaux ou élevés de cholestérol. Les sténoses carotidiennes symptomatiques avec un resserrement distal > ou égal à 70% sont opérées par endartérectomie; en cas de sténose distale de 50–69% une décision individuelle est prise; une endartérectomie n'est pas indiquée en cas de sténose < 50%. Les patients chez lesquels une source cardiaque d'embolie est mise en évidence doivent être anticoagulés (INR 2.5, intervalle: 2–3) à l'exception des myxomes cardiaques et des endocardites bactériennes. Si aucune intervention chirurgicale sur une artère cérébrale n'est indiquée ou si le patient ne doit pas être anticoagulé, on traite par un inhibiteur de l'agrégation plaquettaire: 100 mg d'aspirine ou la combinaison d'aspirine et de dipyridamol sont le traitement de choix. En cas de récidive d'ischémie sous aspirine ou d'intolérance à l'aspirine, le clopidogrel est prescrit. Comme alternative au clopidogrel en cas de récidive d'ischémie, une anticoagulation (INR 2.0, intervalle: 1.5–2.5) peut être prescrite.


Swiss Surgery ◽  
2001 ◽  
Vol 7 (2) ◽  
pp. 76-81 ◽  
Author(s):  
Borens ◽  
Mouhsine ◽  
Chevalley

Un collectif de neuf patients traités par enclouage centro-médullaire rétrograde d'une fracture diaphysaire de l'humérus a été étudié avec un recul moyen de 15.3 mois. Six patients avec fracture de l'humérus sans lésion neurologique montrent une bonne mobilité de l'épaule et du coude lors du dernier contrôle. Les trois autres souffrent de séquelles de leur lésion nerveuse traumatique et ont une mobilité restreinte non-liée à l'intervention chirurgicale. Lors de l'opération et en postopératoire aucune complication neurologique conséquente au type d'implant n'a été observée, à l'exception d'une lésion intraopératoire du nerf radial qui a été provoquée lors de la réduction en traction forcée de la fracture et qui a récupéré complètement lors du dernier contrôle. Une fracture iatrogène de l'humérus n'a pas été rencontrée. Toutes les fractures ont consolidé sans réintervention sauf chez un patient avec lésion plexuelle et plégie du membre supérieur complète et lésion artérielle qui a évolué vers une pseudarthrose atrophique. Cette dernière a été traitée par greffe osseuse et plaque. Le clou rétrograde de l'humérus est un bon implant et doit être considéré dans nos plans de traitement au même titre que le traitement orthopédique ou chirurgical par plaque, par clou antérograde ou fixateur externe afin de faire profiter le patient du traitement le mieux adapté à sa fracture.


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