Gestion de la toxicité cutanée induite par les inhibiteurs du récepteur du facteur de croissance épidermique (iEGFR) dans les carcinomes épidermoïdes de la tête et du cou, le cancer colorectal ou le cancer du poumon

2021 ◽  
Vol 1 (8) ◽  
pp. A340
Author(s):  
Jérome Fayette ◽  
Sophie Seité ◽  
Azita Sarve ◽  
Ann’laure Demessant ◽  
Caroline Hernandez ◽  
...  
2013 ◽  
Vol 33 (2) ◽  
pp. 80-92
Author(s):  
L Kachuri ◽  
P De ◽  
LF Ellison ◽  
R Semenciw ◽  

Introduction La surveillance des tendances concernant le cancer peut aider à évaluer les progrès réalisés dans la lutte contre le cancer ainsi qu'à renforcer les activités de prévention. La présente étude, fondée sur les données des bases de données nationales, consiste en un examen des tendances à long terme relatives à certains cancers au Canada. Méthodologie Nous avons examiné les changements annuels dans les tendances relatives aux taux d'incidence et de mortalité normalisés selon l'âge observés entre 1970 et 2007 selon le sexe pour tous les cancers combinés, pour les quatre cancers les plus courants (cancer de la prostate, cancer du sein, cancer du poumon, cancer colorectal) et pour les cancers dont les tendances ont été marquées par les changements les plus importants au cours des dernières années. Le rapport de survie relative à cinq ans pour les années 1992 à 2007 a également été calculé. Résultats Pendant la période visée par l'étude, les taux d'incidence de l'ensemble des cas de cancer primitif combinés ont augmenté de 0,9 % par année chez les hommes et de 0,8 % par année chez les femmes. Les taux concernant le mélanome, le cancer de la thyroïde, le cancer du foie, le cancer de la prostate, le cancer du rein, le cancer colorectal, le cancer du poumon, le cancer du sein et le cancer de la vessie ont augmenté à des rythmes variables, et les taux concernant le cancer du larynx, le cancer de la bouche, le cancer de l'estomac et le cancer du col de l'utérus ont diminué. Pour l'ensemble des cancers combinés et pour la plupart des cancers examinés, à l'exception du mélanome et du cancer du poumon chez les femmes, les taux de mortalité ont diminué significativement. Les taux de survie qui ont le plus augmenté sont ceux du cancer de la prostate, du cancer du foie, du cancer colorectal et du cancer du rein. Bien que les tendances globales concernant les taux de mortalité et la survie indiquent que des progrès notables ont été réalisés dans la lutte contre le cancer, la tendance à la hausse des taux d'incidence de certains cancers soulignent la nécessité de poursuivre les efforts dans le domaine de la prévention.


2017 ◽  
Author(s):  
A López-Serrano ◽  
A Polanco ◽  
P Latorre ◽  
A Pascual ◽  
MJ Suárez ◽  
...  
Keyword(s):  

Endoscopy ◽  
2006 ◽  
Vol 38 (03) ◽  
Author(s):  
S Manfredi ◽  
C Piette ◽  
G Durand ◽  
G Plihon ◽  
G Mallard ◽  
...  

2011 ◽  
Vol 31 (2) ◽  
pp. 82-89
Author(s):  
J Nowatzki ◽  
B Moller ◽  
A Demers
Keyword(s):  

Introduction Projeter le fardeau du cancer est important pour l’évaluation des stratégies de prévention et la gestion prévisionnelle aux centres d’oncologie. Méthodologie Nous avons projeté le taux d’incidence du cancer et le nombre de cas de cancer pour la population du Manitoba à l’aide de projections démographiques provenant du Bureau des statistiques du Manitoba pour la période 2006-2025 et de données sur l’incidence du cancer issues du Registre du cancer du Manitoba pour la période 1976-2005. Les données ont été analysées au moyen d’une version modifiée du modèle âge-période-cohorte élaborée et évaluée dans les pays nordiques. Résultats Selon les projections, l’incidence globale du cancer au Manitoba ne devrait pas varier considérablement entre 2006 et 2025. L’incidence du cancer du poumon normalisée selon l’âge devrait diminuer, en particulier chez les hommes, ce qui met en évidence l’importance de la prévention en matière de tabagisme. Le nombre total de nouveaux cas de cancer par année devrait augmenter de 36 % pendant la période visée par les projections, une augmentation attribuable principalement aux changements démographiques. Conclusion La planification des ressources et des infrastructures devra tenir compte de l’augmentation prévue des cas de cancer, en lien avec l’accroissement de la population du Manitoba.


2020 ◽  
Author(s):  
J.-B. Delhorme ◽  
D. Goéré

Malgré l’efficacité des chimiothérapies systémiques actuelles associées aux thérapies ciblées et les différents traitements locorégionaux ayant permis d’augmenter la médiane de survie des patients atteints demétastases péritonéales d’origine colorectale (MPCCR) jusqu’à 41 mois, les MPCCR restent une maladie de mauvais pronostic, dont l’étendue (score PCI) et la possibilité d’une cytoréduction complète sont les facteurs pronostiques majeurs de survie. L’idée d’un traitement prophylactique est donc de prévenir la survenue de MPCCR ou de les traiter à un stade le plus précoce possible, idéalement encore infraclinique. Ce type de traitement peut s’envisager chez les patients à risque élevé de MPCCR. Malgré les bons résultats de survie sans récidive péritonéale observés lors d’études comparatives publiées dans les 20 dernières années, les deux essais randomisés récents évaluant la place d’une chimiothérapie hyperthermique intrapéritonéale à l’oxaliplatine adjuvante après résection d’un cancer colorectal à risque élevé de récidive péritonéale n’ont pas montré de bénéfice en termes de survie sans récidive, notamment péritonéale, en comparaison aux traitements standards. La place des traitements prophylactiques reste encore à l’étude, et d’autres essais randomisés sont nécessaires pour déterminer à quels patients ce type de traitement pourrait être bénéfique.


2019 ◽  
Vol 13 (2) ◽  
pp. 105-111 ◽  
Author(s):  
R. Bouriga ◽  
M. Mahjoub ◽  
MA Chaouch ◽  
M. Hochlef ◽  
Y. El Kissi ◽  
...  

Introduction : Le cancer est à l’origine de détresse psychologique alourdissant les morbidités des patients. Le cancer colorectal constitue un problème de santé publique de par son ampleur et sa gravité, en plus de son retentissement psychologique chez les patients et chez leur entourage. Notre objectif est de déterminer la prévalence de la dépression et de l’anxiété chez un groupe de patients tunisiens atteints de cancer colorectal et d’en rechercher les éventuelles relations avec les données cliniques. Patients et méthodes : Nous avons mené une étude observationnelle longitudinale prospective durant six mois (de mars à août 2017) colligeant tous les patients présentant un cancer colorectal et suivis à la consultation d’oncologie médicale au CHU Farhat-Hached à Sousse (Tunisie). En plus d’une grille à remplir par l’enquêteur se rapportant aux données épidémiologiques et cliniques du patient après l’entretien et la consultation du dossier médical, la mesure de l’anxiété et de la dépression a été faite à l’aide d’un autoquestionnaire validé en langue arabe : l’Hospital Anxiety and Depression Scale (HADS). La saisie et l’analyse des données ont été faites par le logiciel SPSS V20.0. Résultats : Cinquante-deux patients ont accepté de répondre à notre questionnaire. Ils étaient répartis en 28 femmes et 24 hommes ; l’âge moyen était de 57 ± 13 ans, la durée moyenne de la maladie était de 3,2 ± 1 ans. Les patients inclus dans l’étude étaient au stade métastatique (stade IV) de leur maladie dans 27%des cas. Nos patients ont bénéficié d’un traitement curatif dans 54 % des cas, d’une chirurgie de la tumeur primitive dans 88,6 %, d’une chimiothérapie dans 94,3 %, d’une radiothérapie dans 34,6 %, et 15,5 % ont reçu le cetuximab. La dépression détectée auprès de nos patients était douteuse dans 17,3 %et certaine dans 13,5 %. L’anxiété était douteuse chez 13,5 % et certaine dans 7,5 %. Une corrélation positive significative a été mise en évidence entre d’une part la symptomatologie dépressive et d’autre part le stade métastatique de la maladie (r = 0,741, p = 0,042), la présence de stomie (r = 0,811 ; p = 0,005), la fatigue (r = 0,720 ; p = 0,005) et les effets indésirables à type de nausée et vomissement (r = 0,653 ; p = 0,045). Conclusion : Il existe une forte prévalence de la dépression et de l’anxiété chez les patients atteints de cancer colorectal dans notre travail. Ces troubles psychiques devraient être systématiquement recherchés afin de préconiser une prise en charge adéquate de ces patients dans leur parcours de soins.


ONCOLOGIE ◽  
2020 ◽  
Author(s):  
C. Lepage

Les données disponibles concernant l’incidence et les facteurs pronostiques des tumeurs neuroendocrines (TNE) digestives sont souvent fragmentaires. Les TNE digestives sont rares et représentent environ 1 % des cancers digestifs. En France, l’incidence des TNE digestives malignes est estimée à 1,1/100 000 chez l’homme et à 0,9/100 000 chez la femme. L’incidence augmente au cours du temps. Du fait de leur longue survie, les TNE constituent, après le cancer colorectal, le cancer digestif dont la prévalence est la plus élevée. La plupart des TNE sont bien différenciées, les carcinomes neuroendocrines peu différenciés représentent moins de 20 % des TNE digestives. Parmi les TNE bien différenciées intestinales, les localisations les plus fréquentes sont l’intestin grêle et le colorectal. Plus de la moitié des TNE sont diagnostiquées au stade métastatique, principalement au niveau hépatique. Le degré de différenciation, le grade histologique, la localisation du primitif et le stade sont les principaux facteurs pronostiques. Les taux de survie relative à cinq ans étaient de 4,5 % pour les tumeurs peu différenciées versus plus de 55 % pour les TNE bien différenciées.


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