Taking advantage of natural regeneration potential in secondary forests to recover commercial tree resources in Côte d’Ivoire

2021 ◽  
Vol 493 ◽  
pp. 119240
Author(s):  
Goualo Y.A. Doua-Bi ◽  
Irie C. Zo-Bi ◽  
Bienvenu H.K. Amani ◽  
Aka G.M. Elogne ◽  
Justin K. N’dja ◽  
...  
2006 ◽  
Vol 157 (2) ◽  
pp. 31-36 ◽  
Author(s):  
Constant Yves Adou Yao ◽  
Edouard Kouakou N'Guessan

The inventory and the analysis of the woody species preserved in the different categories of cocoa and coffee plantations showed that they are relatively diversified (presence of endemic, rare and threatened species). They also preserved high tree density and high basal areas. The young plantations are especially diversified. Their number of species,density and basal areas and diversity index are similar to those of the neighbouring old growth and secondary forests. Older plantations display a sharp decline of diversity over time. Agricultural practices in the region represent a threat in the medium term to the preservation of biodiversity.


2015 ◽  
Vol 323 (323) ◽  
pp. 19
Author(s):  
André Aubréville ◽  
Ilona Bossanyi

La « brousse  secondaire  »  s’oppose  à la « forêt primaire », forêt « noble » aux grands arbres. C’est une forêt exubérante, inextricable, avec plus de lianes et de petits bois que d’arbres, succédant à l’agricul- ture sur brûlis. Dans les régions habitées, elle entoure communément les villages et borde les routes, la forêt primaire étant reléguée aux collines rocheuses et maré- cages. En Afrique équatoriale, la « brousse secondaire » représente actuellement 50 à 75 % des surfaces forestières. La forma- tion des brousses secondaires procède en trois phases : (i) l’apparition de semis d’es- pèces héliophiles (Musanga sp., Vernonia sp., Anthocleista sp.) à croissance rapide, qui diffèrent des espèces de « forêt pri- maire » et dont les graines sont dispersées sur de longues distances ; (ii) la formation d’un sous-bois, constitué cette fois des mêmes espèces arbustives qu’en « forêt primaire », et où se mêle un second groupe d’espèces héliophiles banales, caractéris- tiques de la « brousse secondaire » et rat- trapant le précédent, voire le surcimant ;(iii) la lente reconstitution de la « forêt primaire », riche en sapotacées, guttifères et légumineuses au bois dur, capables de se régénérer dans les sous-bois, et parmi lesquelles de très grands arbres finissent par percer la voûte des cimes. L’okoumé (Aucoumea klaineana), essence précieuse typique des « brousses secondaires », est ainsi fréquent dans les prétendues « forêts primaires » du Gabon, forêts qui ont été en réalité autrefois défrichées. On ne saurait admettre aujourd’hui que le fort potentiel des « brousses secondaires » soit inva- riablement réduit en cendres. Il faut au contraire apprendre à guider et hâter leur évolution en faveur d’espaces à haute va- leur économique.Résumé adapté par la rédaction de la revue.


2019 ◽  
Vol 13 (4) ◽  
pp. 369-374
Author(s):  
A. Yao ◽  
A. Hué ◽  
J. Danho ◽  
P. Koffi-Dago ◽  
M. Sanogo ◽  
...  

2009 ◽  
Vol 48 (4) ◽  
pp. 323-325
Author(s):  
Drissa Kone ◽  
Amani N’Goran ◽  
Diomandé Ve

Author(s):  
Danho Pascal Abrogoua ◽  
N’Do Marie Stella Ahanin ◽  
Élisée Doffou ◽  
Brou Jerôme Kablan

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