Ostéotomie de corrections des cals vicieux de l’extrémité distale du radius : résultat fonctionnel d’une série de patients et critiques a posteriori de la prise en charge

2014 ◽  
Vol 33 (6) ◽  
pp. 439
Author(s):  
Stéphanie Delclaux ◽  
Michel Rongieres ◽  
Costel Apredoaei ◽  
Paul Bonnevialle ◽  
Pierre Mansat
2019 ◽  
Vol 28 (4) ◽  
pp. 333-338
Author(s):  
G. Penven ◽  
L. de Saint Blanquat ◽  
F. Bordet ◽  
S. Dray ◽  
M. Série ◽  
...  

Une prophétie autoréalisatrice (PAR) [self-fulfilling prophecy] désigne le fait que la croyance en une situation entraîne sa réalisation, renforçant alors la croyance initiale. D’abord décrite en sociologie, la notion de PAR a également une pertinence en médecine, car la pratique clinique se fonde en grande partie sur le pronostic des patients et de leurs maladies. Ainsi, la croyance en un pronostic péjoratif peut être à l’origine d’une prise en charge médicale qui aboutira à une évolution défavorable ou ne l’empêchera pas. Ce risque est particulièrement aigu en médecine intensive-réanimation où les pratiques de limitation ou d’arrêt des thérapeutiques (LAT) conduisent fréquemment au décès du patient. Il est d’autant plus prégnant que les grandes séries de données à partir desquelles le pronostic d’un patient est évalué incluent des malades ayant fait l’objet de décisions de LAT. Cela peut aboutir à un raisonnement circulaire, difficile à interrompre. Les patients de neuroréanimation, victimes d’accidents vasculaires cérébraux, d’encéphalopathies anoxo-ischémiques postarrêt cardiaque, ou de traumatismes crâniens, sont particulièrement sujets au risque de PAR, car la perspective de séquelles neurologiques sévères motive souvent une décision de LAT. Prendre le contre-pied des PAR nécessite de trouver un compromis entre le temps d’observation indispensable pour établir un pronostic le plus précis possible et la prolongation de traitements invasifs qui s’avérerait a posteriori inutile chez des patients sans espoir d’amélioration neurologique.


2019 ◽  
Vol 38 (6) ◽  
pp. 410
Author(s):  
P. Curings ◽  
H. Tilliet Le Dentu ◽  
A. Leduc ◽  
P. Ridel ◽  
P. Perrot ◽  
...  

2019 ◽  
Vol 35 (1) ◽  
pp. 1-4
Author(s):  
B. Lanouar ◽  
H. Makhlouf ◽  
A. Ben Hassine ◽  
S. Bouhdiba ◽  
K.H. Kherfani ◽  
...  

Les difficultés de la double arthrodèse dans les pieds plats valgus reposent sur la fusion de l’arthrodèse acquise dans des délais raisonnables, et la bonne position du pied et de la cheville, pour permettre aux patients de retrouver leur fonction. Notre étude rétrospective comporte 19 pieds plats valgus acquis de l’adulte, colligés à l’institut M-T-Kassab sur une période de dix ans, traités par une arthrodèse de la médiotarsienne et de la sous-talienne, associée à des gestes de correction de l’avant-pied. La consolidation radiologique de l’arthrodèse est obtenue dans 89,5 % des cas à cinq mois. Les paramètres radiologiques préopératoires sont corrigés de manière significative par l’arthrodèse. La double arthrodèse garde sa place comme intervention de référence pour l’obtention d’un bon résultat fonctionnel dans la prise en charge chirurgicale du pied plat valgus.


2013 ◽  
Vol 28 (S2) ◽  
pp. 104-104
Author(s):  
C. Lameira ◽  
H. Javelot

Mme S. est traitée depuis quatre ans pour un trouble anxiodépressif. La prise en charge médicamenteuse dans notre établissement, débutée il y a presque deux ans, intègre la mirtazapine (15 mg/j) et le prazépam (20 mg/j). La patiente ne présente aucune allergie connue dans ses antécédents. Il y a un an et demi, une première prescription d’agomélatine (25 mg/j) est faite par un médecin généraliste. Mme S. émet régulièrement des plaintes somatiques et psychologiques multiples. Cependant, elle décrit la majoration de douleurs diffuses suite à l’introduction de ce nouvel antidépresseur. La patiente se voit alors de nouveau prescrire son traitement antérieur, à savoir la mirtazapine, toujours associée au prazépam, aux mêmes posologies. Il y a environ six mois, Mme S. présente une recrudescence anxieuse qui amène son médecin traitant à lui prescrire de l’étifoxine (150 mg/j), puis dix jours plus tard de l’agomélatine (25 mg/j) en complément de son traitement antérieur. La patiente décrit a posteriori une insomnie totale suite à la première prise d’agomélatine. Mme S. présente également quatre jours après l’introduction de l’antidépresseur une éruption cutanée hautement prurigineuse, touchant le visage, les bras, les genoux et les pieds. L’étifoxine et l’agomélatine sont alors stoppés immédiatement, tandis que la mirtazapine et le prazépam sont maintenus. La valeur des transaminases (gamma-GT) a été multipliée par 1,5 entre le contrôle à l’introduction de l’agomélatine et après cinq jours de traitement ; cette valeur se normalisant progressivement sur les semaines suivantes. L’apparition de l’effet indésirable décrit peut plaider en faveur soit d’une imputabilité exclusive de l’agomélatine, soit d’une imputabilité conjointe de l’antidépresseur et de l’étifoxine. La première hypothèse pourrait être favorisée par l’intolérance initiale à l’antidépresseur, le décours temporel entre l’introduction du traitement et l’apparition de l’effet indésirable, et la plus haute fréquence d’effets indésirables cutanés et hépatiques sous agomélatine [1,2].


Author(s):  
Arno J. Bleeker ◽  
Mark H.F. Overwijk ◽  
Max T. Otten

With the improvement of the optical properties of the modern TEM objective lenses the point resolution is pushed beyond 0.2 nm. The objective lens of the CM300 UltraTwin combines a Cs of 0. 65 mm with a Cc of 1.4 mm. At 300 kV this results in a point resolution of 0.17 nm. Together with a high-brightness field-emission gun with an energy spread of 0.8 eV the information limit is pushed down to 0.1 nm. The rotationally symmetric part of the phase contrast transfer function (pctf), whose first zero at Scherzer focus determines the point resolution, is mainly determined by the Cs and defocus. Apart from the rotationally symmetric part there is also the non-rotationally symmetric part of the pctf. Here the main contributors are not only two-fold astigmatism and beam tilt but also three-fold astigmatism. The two-fold astigmatism together with the beam tilt can be corrected in a straight-forward way using the coma-free alignment and the objective stigmator. However, this only works well when the coefficient of three-fold astigmatism is negligible compared to the other aberration coefficients. Unfortunately this is not generally the case with the modern high-resolution objective lenses. Measurements done at a CM300 SuperTwin FEG showed a three fold-astigmatism of 1100 nm which is consistent with measurements done by others. A three-fold astigmatism of 1000 nm already sinificantly influences the image at a spatial frequency corresponding to 0.2 nm which is even above the point resolution of the objective lens. In principle it is possible to correct for the three-fold astigmatism a posteriori when through-focus series are taken or when off-axis holography is employed. This is, however not possible for single images. The only possibility is then to correct for the three-fold astigmatism in the microscope by the addition of a hexapole corrector near the objective lens.


2018 ◽  
Vol 17 (132) ◽  
pp. 16-19
Author(s):  
Laurence Foix-L’hélias ◽  
Pascal Boileau
Keyword(s):  

2016 ◽  
Vol 200 (6) ◽  
pp. 1101-1113
Author(s):  
Jean-Marc Léger ◽  
Bahram Haghi ◽  
Raquel Guimarães-Costa

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