Troubles du sommeil et maladies cardio-cérébrovasculaires chez les personnes âgées : une étude longitudinale en population générale

2013 ◽  
Vol 10 (2) ◽  
pp. 53
Author(s):  
I. Jaussent ◽  
J.-P. Empana ◽  
M.-L. Ancelin ◽  
A. Besset ◽  
C. Helmer ◽  
...  
Author(s):  
Brian P. O'Connor ◽  
Heather Davidson ◽  
Robert Gifford

RÉSUMÉDeux études ont examiné la relation entre l'environnement physique et ses conséquences sur l'état des résidents de centre d'accueil pour personnes âgées. La première, une étude longitudinale, a établi qu'une vue plus naturelle avec des fenêtres extérieures était associée à des conséquences négatives, alors qu'un emplacement en contact avec les autres donnait des résultats positifs, en ce qui concerne les résidents nouvellement admis. Ces résultats qui entrent en contradiction avec ceux d'une précédente recherche laissent entendre que l'« emplacement social » est important au cours de la première période d'adaptation à la vie en centre d'accueil. Cependant, une étude sur dossiers, portant sur d'anciens résidents du même centre d'accueil, a établi que l'« emplacement social » était associé à des séjours plus courts, juste avant un décès ou un transfert pour des soins hospitaliers. L'« emplacement social » apparaît alors comme un facteur positif au cours de la période initiale d'adaptation, mais comme un élément négatif à plus long terme.


2021 ◽  
Vol 18 (1) ◽  
pp. 25-26
Author(s):  
Clémence Cavailles ◽  
Claudine Berr ◽  
Catherine Helmer ◽  
Audrey Gabelle ◽  
Isabelle Jaussent ◽  
...  

L Encéphale ◽  
2006 ◽  
Vol 32 (4) ◽  
pp. 615-621 ◽  
Author(s):  
M.-L. Ancelin ◽  
S. Artero ◽  
I. Beluche ◽  
A. Besset ◽  
J.-P. Boulenger ◽  
...  

Author(s):  
M. Miszkurka ◽  
C. Steensma ◽  
S. P. Phillips

Introduction La connaissance des corrélats personnels et interpersonnels de la violence chez les aînés canadiens est limitée. Cette étude établit les corrélats de la violence actuelle et passée infligée par un conjoint ou un membre de la famille chez les aînés canadiens résidant dans la collectivité, en tenant compte des conditions défavorables dans l’enfance. Méthodologie Nous avons procédé à une analyse de régression logistique des données de base d’une étude longitudinale sur des personnes de 65 à 74 ans résidant dans la collectivité à Kingston (Ontario) et à Saint-Hyacinthe (Québec). La violence familiale a été mesurée avec l’outil d’évaluation du risque Frapper-Insulter-Menacer-Crier (FIMC) (Hurt-Insult-Threaten-Scream, HITS). Les rapports de cotes (RC) ont été établis avec un intervalle de confiance (IC) à 95 %. Résultats Dix-huit pour cent des sujets de l’échantillon ont déclaré subir de la violence de nature psychologique. Les femmes présentaient un risque plus élevé que les hommes de subir ou d’avoir subi de la violence de la part d’un membre de leur famille (violence actuelle : RC ajusté ¼ 1,83; IC à 95 % : 1,02 à 3,30) et de la part d’un conjoint au cours de leur vie (RC ajusté ¼ 2,48; IC à 95 % : 1,40 à 4,37). Les facteurs de risque accumulés au cours de la vie associés systématiquement à la violence actuelle et passée sont d’avoir été témoin de violence domestique dans l’enfance (violence au cours de la vie infligée par un membre de la famille : RC ajusté ¼ 9,46; IC à 95 % : 5,11 à 17,52) ainsi que des relations de mauvaise qualité avec le conjoint, la famille et les amis. Conclusion Notre recherche documente les conséquences à long terme de conditions défavorables dans l’enfance sur la violence conjugale et familiale au Canada. Nos résultats isolent certains facteurs évitables associés à la violence psychologique actuelle et passée chez les personnes âgées résidant dans la collectivité au Canada.


Author(s):  
Laurel A. Strain

RÉSUMÉCet article porte sur la participation des aîné(e)s aux centres du troisième âge, la fréquence de fréquentation, les changements en matière de participation sur une période de quatre ans et sur les facteurs connexes. Les données proviennent d'une étude longitudinale menée à Winnipeg et dans huit petits centres du Manitoba auprès de 1 399 personnes âgées de 65 ans et plus interviewées en 1991/92 et 956 interviewées de nouveau en 1995. Environ une personne sur cinq avait fréquenté un centre du troisième âge dans les six mois précédant l'interview, la fréquence des visites variant considérablement d'une personne à l'autre. Seulement 8 pour cent des personnes ont adhéré à un centre et 13 pour cent ont mis fin à leur participation pendant la période de quatre ans. L'influence des facteurs socio-démographiques, de l'état de santé et de l'intégration sociale variait selon la mesure de la participation et en fonction du lieu de résidence. Les facteurs sociaux, par exemple les conditions de logement, avaient tendance à être plus importants que l'état de santé. L'article aborde également la question de l'orientation de la recherche à venir dans ce domaine.


1988 ◽  
Vol 3 (4) ◽  
pp. 227-244
Author(s):  
M. Choquet ◽  
S. Ledoux ◽  
H. Menke

RésuméUne étude longitudinale auprès de 327 adolescents scolarisés suivis de 16 à 18 ans a permis de mettre en évidence l’évolution de la consommation de drogue illicite et les facteurs liés à cet usage. Au total, à 18 ans, 26% des garçons et 16% des filles ont essayé la drogue au moins une fois dans leur vie, et respectivement 10 et 8% en ont pris urant plusieurs périodes de l’enquête. L’expérimentation d’une drogue illicite est peu corrélée aux variables socioemographiques de la famille, ce que traduit l’homogénéisation de la population qui en fait l’essai. En revanche, les jeunes consommateurs se caractérisent par un mode de vie centré sur les relations avec les pairs, mettant l’accent sur la sphère relationnelle au détriment des relations familiales et de l’intérêt pour leur scolarité. L’alcoolisation et le tabagisme précoce sont des facteurs prédictifs de l’usage (unique mais surtout répété) d’une drogue illicite. De même que le cumul des problèmes de santé (dépressivité, troubles du sommeil, troubles somatiques). Toutefois, pour l’ensemble e ces variables corrélées à l’essai d’une drogue illicite, une prédictivité différentielle selon le sexe est observée. La consultation médicale augmente après l’usage répété de drogue. Les jeunes expérimentateurs conservent un contact Privilégié avec leurs parents et avec les jeunes en cas de problèmes (scolaire, santé, sentimentaux, graves). Il est discuté a Place des parents, des adultes responsables (médecins, professionnels de la santé, enseignants) et des pairs dans une Prévention précoce des difficultés de l’adolescent.


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