Pierre Alexandre, Le climat en Europe au moyen âge: Contribution à l'histoire des variations climatiques de 1000 à 1425 d'après les sources narratives de l'Europe occidentale. (Recherches d'histoire et de sciences sociales/Studies in History and the Social Sciences, 24.) Paris: Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales, 1987. Paper. Pp. 827; 16 figures, 17 maps, and 10 tables. F 290.

Speculum ◽  
1988 ◽  
Vol 63 (04) ◽  
pp. 1020
1968 ◽  
Vol 7 (6) ◽  
pp. 199-212

Cette bibliographie a été prépa rée par le Service d'Échange d'Infor mations Scientifiques de la Maison des Sciences de l'Honmme à Paris, sous la responsabilité de Mme M.F. Essyad, et prend la suite de celle qui a été publiée dans le volume 6 (6), décembre 1967. Elle recense les prin cipales études qui traitent explicite ment de concepts utilisés dans les sciences sociales. Ces concepts sont présentés en français et en anglais de manière à faciliter un dépistage dans ces deux langues.


2010 ◽  
Vol 51 (2) ◽  
pp. 305-321 ◽  
Author(s):  
Yves Gingras ◽  
Sébastien Mosbah-Natanson

AbstractIn the current context of a growing internationalization of scientific exchanges, the issue of the language of scientific publications – settled in the natural sciences since the 1980s – has now become a central issue for the Social Sciences. Our paper discusses this topical issue through a detailed analysis of the linguistic strategies adopted by two major French social science journals, Population and Revue française de sociologie (RFS), which have chosen to translate into English a selection (RFS) or all (Population) of their articles. In view of the measured effects in terms of visibility in the international scientific field – increasing visibility for the journal Population at the expense of its French edition and a marginal effect for the RFS – we raise questions about the role of national social sciences journals and recall that the specific intellectual mission of these journals lies beyond the pursuit of internationalization.


2019 ◽  
Vol 74 (1) ◽  
pp. 25-41
Author(s):  
Clément Lenoble ◽  
Valentina Toneatto

RésumésCet article présente l’œuvre de Giacomo Todeschini, historien des « lexiques médiévaux de la pensée économique ». Les travaux de ce médiéviste italien portent sur la formation et la transmission des langages, des façons de parler et des expressions qui ont façonné le vocabulaire de l’économie et des sciences sociales, depuis l’Antiquité tardive jusqu’au début de l’époque moderne. Todeschini propose une nouvelle lecture des écrits scolastiques traitant de faits économiques. Son œuvre propose de reconsidérer le sens de ces textes, leurs rapports aux transformations économiques médiévales ainsi que leur place dans l’histoire de la pensée économique. L’histoire écrite par Todeschini n’est ni celle des origines du capitalisme et de la société de marché ni celle des rapports entre christianisme et économie. Il ne s’agit pas non plus d’une histoire de la pensée économique. Son analyse de la matérialité des lexiques transmis par le Moyen Âge à la science économique moderne permet, en revanche, de mieux saisir le sens de ceux-ci et de restituer les contextes dans lesquels ils se sont formés. Sa réflexion débouche à la fois sur une histoire du gouvernement et sur une histoire des discours justifiant les inégalités sociales et la domination, économique et politique, des grands marchands dans les cités italiennes. C’est pourquoi il est utile de lire aujourd’hui Todeschini à la lumière des discussions entre les historiens, les sociologues, les théologiens, les économistes et les philosophes qui ont élaboré, dans le cadre des débats autour des origines du capitalisme et des rapports entre économie et religion, les principales thèses auxquelles il s’oppose.


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