Epidémiologie et aspects endoscopiques des adénomes festonnés coliques. Etude rétrospective comparative avec les adénomes classiques

Endoscopy ◽  
2013 ◽  
Vol 45 (03) ◽  
Author(s):  
A Thibault ◽  
C Pignodel ◽  
S Bastide ◽  
P Pouderoux
2001 ◽  
Vol 185 (6) ◽  
pp. 1113-1133 ◽  
Author(s):  
Charles Haas ◽  
Claire Le Jeunne ◽  
Pierre Choubrac ◽  
Hervé Durand ◽  
François-Claude Hugues

Endoscopy ◽  
2012 ◽  
Vol 44 (03) ◽  
Author(s):  
M Vincent ◽  
A Giraud ◽  
D Sautereau ◽  
A Le Sidaner ◽  
A Bouygues

Endoscopy ◽  
2013 ◽  
Vol 45 (03) ◽  
Author(s):  
X Dray ◽  
P Gonzalez Carro ◽  
C Fristrup ◽  
S Kantsevoy ◽  
D Wengrower ◽  
...  

Author(s):  
T. Pavlovsky ◽  
B. Tache ◽  
E. Casalino ◽  
D.A. Ghazali

Introduction : En traumatologie, la ceinture pelvienne stabilise le bassin en réduisant le volume pelvien, ce qui permet de tamponner l’hémorragie. L’objectif principal de l’étude était d’évaluer le respect des indications théoriques de pose de ceinture pelvienne dans la prise en charge des traumatisés sévères en préhospitalier. Méthode : Une étude rétrospective, monocentrique, observationnelle a été réalisée en 2017–2018 afin d’évaluer les pratiques professionnelles en termes de respect des indications d’immobilisation et la fiabilité de l’évaluation clinique. Les critères d’inclusion étaient les interventions prenant en charge des patients pour accident de la route ou chute. L’analyse de la concordance entre pose de ceinture pelvienne et indication théorique a été réalisée avec un test du kappa de Cohen. L’intensité de la liaison entre cette évaluation et la confirmation d’une fracture par tomodensitométrie a été analysée par le coefficient Q de Yule. Résultats : Cent soixante-seize dossiers ont été analysés, dont 98 ont été inclus dans l’étude. La ceinture a été posée chez 26 % d’entre eux. Le coefficient d’agrément kappa de Cohen était de à 0,08, avec un pourcentage d’agrément de 57 %. L’intensité de la liaison entre l’évaluation clinique et la présence d’une fracture à la tomodensitométrie était très forte avec un coefficient de Q de Yule calculé à 0,92. Conclusion : Il n’y avait pas d’agrément entre l’indication théorique et la décision de poser la ceinture démontrant un recours insuffisant à la contention pelvienne lors de la prise en charge des patients traumatisés sévères en préhospitalier.


2019 ◽  
Vol 9 (2) ◽  
pp. 81-88
Author(s):  
L.M. Bérard

Objectifs : De nombreux traitements anti-infectieux sont débutés dans les services d’urgences (SU). Nous avons étudié la qualité de la prescription d’antibiotiques dans le traitement probabiliste des infections urinaires (IU) au SU d’un centre hospitalier général français. Matériels et méthodes : Nous avons conduit une étude rétrospective monocentrique du 1er janvier au 30 juin 2017. Tous les patients pour lesquels une IU a été diagnostiquée au SU ont été inclus. Les traitements hospitaliers et ambulatoires des IU ont été analysés au regard des recommandations de 2015 de la Société d’infectiologie française. Le critère principal d’évaluation a été le classement des antibiothérapies probabilistes en deux catégories : « conforme » ou « non conforme » à ce référentiel. Le critère secondaire d’évaluation a été l’adéquation du traitement antibiotique initial à la sensibilité des souches bactériennes identifiées. Résultats : Cent quatre-vingt-onze patients ont été inclus : 99 pyélonéphrites (52 %), 18 prostatites (9 %), 48 cystites (25 %) et 26 infections urinaires de siège non précisé (14 %). L’âge moyen a été de 52 ans avec 26 % d’hommes et 74 % de femmes. Au total, 114 antibiothérapies (60 %) ont été considérées conformes aux recommandations. Des antibiotiques ont été prescrits par excès dans 35 cas. La souche identifiée n’était pas sensible au traitement instauré au SU dans neuf situations. Conclusion : Cette étude met en exergue les difficultés pour la mise en application des recommandations en thérapeutique anti-infectieuse au SU dans 40 % des situations. Un rappel et une évaluation continue des bonnes pratiques de prescription des antibiotiques au SU sont nécessaires.


2019 ◽  
Vol 35 (3) ◽  
pp. 41-46
Author(s):  
J. Lombard ◽  
O. Barbier ◽  
C. Bauer ◽  
B. Grignon ◽  
D. Mainardy

Introduction : L’insertion distale du corps musculaire des muscles fibulaires est une entité anatomique rare (6 à 22 % de la population générale), le plus souvent asymptomatique. Parfois, elle peut engendrer un conflit au niveau de la gouttière rétromalléolaire latérale, entraînant une symptomatologie douloureuse chronique. Hypothèse : L’exérèse chirurgicale du corps musculaire présent dans la gouttière rétromalléolaire latérale permet la disparition des douleurs. Patients et méthodes : Il s’agit d’une étude rétrospective monocentrique et mono-opérateur des patients souffrant d’un conflit postérieur de cheville associé à une insertion trop distale d’un corps musculaire des tendons fibulaires opérés sur une période de dix ans. Étaient exclus les patients souffrant d’une pathologie inflammatoire chronique associée. Une évaluation clinique et fonctionnelle avec le score AOFAS était réalisée en pré- et en postopératoire. Résultats : Neuf patients ont été inclus, avec un suivi moyen de 59 mois en postopératoire. Le score AOFAS au contrôle final était de 83,6 points avec un gain moyen de 24 points. Sept patients se disaient très satisfaits de l’intervention. Discussion : L’insertion distale du corps musculaire des tendons fibulaires ou la présence d’un muscle accessoire fibulaire peut être une cause de conflit postérolatéral de cheville. L’exérèse chirurgicale des fibres musculaires insérées distalement dans la gaine des tendons fibulaires est une technique fiable et efficace dans le traitement des douleurs postérolatérales chroniques de cheville (niveau de preuve : IV étude rétrospective).


2020 ◽  
Vol 36 (3) ◽  
pp. 65-74
Author(s):  
K. Soudy ◽  
T. Amouyel ◽  
C. Szymanski ◽  
C. Maynou

L’ostéome ostéoïde (OO) représente 10 à 12 % des tumeurs osseuses bénignes. Le pied et la cheville sont concernés dans 2 à 15 % des cas. La résection chirurgicale à ciel ouvert est maintenant supplantée par les techniques percutanées guidées par le scanner qu’il s’agisse de la thermocoagulation par radiofréquence, de la photocoagulation laser ou de la cryoablation. Cette étude a pour but d’évaluer l’efficacité thérapeutique de la thermocoagulation scanoguidée (TPS). Il s’agit d’une étude rétrospective monocentrique incluant tous les OO traités par TPS au CHRU de Lille entre 2003 et 2015, ayant un recul minimum d’un an. Dix-sept patients ont été inclus, dix hommes et sept femmes, d’âge moyen 24 ans. Quinze patients ont fait l’objet d’une évaluation par questionnaire téléphonique au recul moyen de 93 mois. Les douleurs ont disparu dans un délai moyen de 4,5 jours. La reprise du travail se faisait en 11 jours en moyenne. Le degré de satisfaction moyen est de 92 %, le score SF-36 de 93, le score FAAM de 177. Une seule récidive est à signaler, mais aucune complication cutanée ou vasculonerveuse. Le traitement des OO localisés au pied et à la cheville par TPS permet d’excellents résultats sans morbidité.


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