Apport de la vidéocapsule endoscopique (VCE) dans le diagnostic et la prise en charge des douleurs abdominales inexpliquées

Endoscopy ◽  
2007 ◽  
Vol 39 (03) ◽  
Author(s):  
S Hommel ◽  
M Antonietti ◽  
E Ben Soussan ◽  
S Ramirez ◽  
E Lerebours ◽  
...  
2018 ◽  
Vol 12 (4) ◽  
Author(s):  
Rakin Jamal ◽  
Caroline Mariano

Humoral hypercalcemia of malignancy is common in many cancers but is rarely present in colorectal cancers with only 24 documented cases in the literature. In this report, we present a case of a 67-year-old woman complaining of right sided abdominal pain and diarrhea. Imaging showed an obstructing cecal mass and the pathological diagnosis was poorly differentiated adenocarcinoma. After a hemicolectomy, she developed humoral hypercalcemia of malignancy which was treated with intravenous bisphosphonates. She continued to worsen due to her rapid progression of disease and died less than one month after her initial diagnosis. We reviewed the 24 other documented cases to investigate the prognosis of hypercalcemia in colorectal cancers along with reviewing the clinical presentation and management of humoral hypercalcemia of malignancy. Résumé L’hypercalcémie humorale maligne est courante dans de nombreux cas de cancers, mais elle est rare dans les cancers colorectaux; la documentation recense 24 cas seulement. Dans le présent article, nous décrivons le cas d’une femme de 67 ans se plaignant de douleurs abdominales du côté droit et de diarrhée. Un examen d’imagerie indiqua la présence d’une masse caecale obstructive dont le diagnostic pathologique s’est avéré être celui d’un adénocarcinome peu différencié. À la suite d’une hémicolectomie, la patiente a développé une hypercalcémie humorale maligne qui a été traitée à l’aide de bisphosphonates intraveineux. Son état a continué de se détériorer en raison de la progression rapide de la maladie et la patiente est décédée moins d’un mois après le diagnostic initial. Nous passons en revue les 24 cas documentés pour analyser les pronostics d’hypercalcémie dans les cas de cancers colorectaux, tout en examinant le tableau clinique et la prise en charge de l’hypercalcémie humorale maligne.    


2006 ◽  
Vol 143 (1) ◽  
pp. 6-14 ◽  
Author(s):  
L. Chiche ◽  
E. Roupie ◽  
P. Delassus

2007 ◽  
Vol 20 (1) ◽  
pp. 107
Author(s):  
M. Kozlik ◽  
F. Prévost ◽  
S. Marquis ◽  
C. Gaillard ◽  
C. Leroux ◽  
...  

2018 ◽  
Vol 23 (suppl_1) ◽  
pp. e2-e3
Author(s):  
Stephanie Proulx-Cabana ◽  
Louis Picard ◽  
Marie-Claude Fortin ◽  
Jo-Anne Couillard ◽  
Danielle Taddeo ◽  
...  

Abstract BACKGROUND La douleur chronique, d’origine organique ou somatique, représente un fardeau financier important au niveau du système de santé. L’intervention multidisciplinaire a été démontrée efficace pour améliorer cliniquement l’impact fonctionnel de cette condition. OBJECTIVES Étude de l’impact d’une prise en charge multidisciplinaire pédiatrique et psychologique sur les symptômes douloureux fonctionnels et leur retentissement dans une population adolescente référée pour échec de prise en charge nitiale. DESIGN/METHODS Analyse rétrospective de dossiers d’adolescents, de 14 à 18 ans, suivis en clinique des adolescents pour des symptômes douloureux fonctionnels entre janvier 2016 et juin 2017. L’équipe multidisciplinaire est composée de pédiatre, psychologue en suivi individuel ou lors du groupe d’intervention en gestion de la douleur, physiothérapeute et infirmière. RESULTS 24/36 adolescents ayant des symptômes réfractaires avaient des dossiers exploitables. L’âge médian était de 15,9 ans [14,9; 16,3] avec 87,5% de filles dans l’échantillon. Les principales plaintes rapportées étaient des céphalées (50%), nausées/vomissements (50%), douleurs abdominales (37,5%), douleurs musculo-squelettiques (37,5%), fatigue (37,5%) et symptômes neurologiques (20,8%). Le nombre médian de plaintes étaient de 2 par patient. À la consultation initiale, pour le symptôme principal, la durée médiane écoulée depuis l’apparition était de 13 mois [3,75; 34,5], l’intensité médiane de 6/10 et la fréquence médiane de 7 jours/semaine. Le nombre médian de consultations médicales avant la prise en charge spécialisée était de 3 [2; 5], dont 76,6% d’entre elles en surspécialité pédiatrique. Les patients avaient un nombre médian d’intervenants psychosociaux impliqués au dossier initial de 1, dont un psychologue dans 42,4%. Initialement, 83,3% des patients présentaient un absentéisme scolaire significatif. Suite à la prise en charge, nous avions une amélioration des symptômes pour 70,8% et de l’absentéisme scolaire pour 63,6%. Les symptômes de nausées/vomissements étaient les plus persistants. Sur notre petit groupe d’adolescents, il n’a pas été possible de mettre en évidence de différence significative entre ceux qui avaient bénéficié du groupe d’intervention et les autres. CONCLUSION Dans une population d’adolescents avec symptômes douloureux fonctionnels dont la prise en charge en première ligne n’a pas été efficace, une prise en charge multidisciplinaire spécialisée permet une amélioration des symptômes et de la fréquentation scolaire dans 2/3 des cas.


2016 ◽  
Vol 3 (2) ◽  
pp. 129-131
Author(s):  
Ouanassa Hamouda ◽  
◽  
Mohamed Mouhoub ◽  
Ammar Haouimi ◽  
◽  
...  

Le kyste hydatique est une parasitose qui sévit à l’état endémique en Algérie. Nous rapportons un cas rare d’une patiente de 16 ans, admise aux urgences chirurgicales pour des douleurs abdominales suite à un traumatisme. Le diagnostic d’hydatidose à la fois hépatique et péritonéale a été posé par la radiologie et confirmé par la sérologie hydatique et l´examen parasitologique du liquide péritonéal. Le traitement chirurgical a été instauré, avec bonne évolution. Nous essayons à partir de ce cas et à travers une revue de littérature, de préciser les difficultés diagnostiques et thérapeutiques rencontrées dans la prise en charge des kystes hydatiques, surtout compliquées suite à un traumatisme.


Author(s):  
T. Hary ◽  
F. Amiot ◽  
F.-X. Laborne ◽  
T. Delomas

Objectif : Déterminer si la réalisation d’une échographie clinique en médecine d’urgence (ECMU) modifie la prise en charge des patients présentant une douleur abdominale aiguë d’origine non traumatique. Matériel et méthodes : Étude rétrospective, monocentrique, incluant les patients qui ont consulté aux urgences pour douleur abdominale aiguë d’origine non traumatique entre le 1er juin 2019 et le 31 octobre 2019. Les données recueillies étaient le nombre d’examens complémentaires d’imagerie réalisés, le temps de prise en charge, le taux d’hospitalisation, le diagnostic et le taux de reconsultation à 30 jours. Le critère de jugement principal était le recours aux examens complémentaires d’imagerie spécialisée (parmi lesquels : échographie spécialisée, tomodensitométrie abdominopelvienne et abdomen sans préparation) chez les patients ayant bénéficié d’une échographie clinique (groupe « ECMU ») comparativement aux patients n’ayant pas bénéficié d’échographie (groupe « sans ECMU »). Résultats : Mille cinquante-trois patients ont été inclus. Parmi ces patients, 16 % ont bénéficié d’une échographie clinique par le médecin urgentiste. Il existait une réduction significative du recours à l’échographie spécialisée dans le groupe ECMU (4 % dans le groupe « avec ECMU » versus 9 % dans le groupe « sans ECMU », OR = 0,45, IC 95 % : [0,17–1,00], p = 0,04), sans différence significative entre les deux groupes concernant le temps de prise en charge, l’orientation, le taux de reconsultation à 30 jours et la concordance diagnostique. Conclusion : La réalisation d’une ECMU dans l’exploration des douleurs abdominales aiguës d’origine non traumatique entraînait une réduction significative du nombre d’échographies spécialisées, sans pour autant diminuer le temps de prise en charge ni la concordance entre le diagnostic posé aux urgences et celui en fin d’hospitalisation.


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